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4 réponses
Il faut leur laisser du temps et vous occuper de vous même. Si vous êtes parvenu à avouer quelque chose, c'est que ça en valait la peine. Il ne faut pas vous en vouloir. Faite de nouvelles activités pour vous changer les idées!
charlesmuller
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mercredi 28 octobre 2009
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28 janvier 2010
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28 janv. 2010 à 23:30
28 janv. 2010 à 23:30
Bonsoir
Oui, quelle que soit "la faute", l'aveu est une bonne chose, même s'il faut du temps pour excuser ou pardonner. Avec le temps tout s'en va, n'est-ce pas. Donc il est inutile de culpabiliser sur vos actes. Si vous sentez que vous êtes en train de "décrocher" et de risquer une dépression, vous devez réagir. D'abord, parler de vos soucis à d'autres personnes (famille, amis, collègues de confiance, voire psy ou médecin) pour ne pas ruminer en les gardant pour vous. Ensuite, reprendre confiance en vous et construire votre existence "après l'aveu", en vous répétant que vous avez bien fait de dire la vérité (car c'est le cas). Et comme dit tangerine, en vous changeant les idées, en faisant des choses que vous n'avez pas l'habitude de faire (en le faisant vraiment : vous prenez une bonne résolution d'activités nouvelles, vous vous y tenez, et vous verrez, cela occupe l'esprit).
Si vous voyez arriver des symptomes comme des crises de larme, des insomnies, des manques de motivation répétés, voyez rapidement un médecin car plus vous tardez et plus vous risquez un épisode dépressif.
Enfin, selon vos rapports avec cette partie de la famille qui vous en veut, vous pouvez essayer d'avoir une explication franche et directe avec eux. C'est à vous de voir s'il est possible de "crever l'abcès" ainsi, en évitant la colère, la haine ou le mépris que vous ressentez de leur part.
Bon courage.
Oui, quelle que soit "la faute", l'aveu est une bonne chose, même s'il faut du temps pour excuser ou pardonner. Avec le temps tout s'en va, n'est-ce pas. Donc il est inutile de culpabiliser sur vos actes. Si vous sentez que vous êtes en train de "décrocher" et de risquer une dépression, vous devez réagir. D'abord, parler de vos soucis à d'autres personnes (famille, amis, collègues de confiance, voire psy ou médecin) pour ne pas ruminer en les gardant pour vous. Ensuite, reprendre confiance en vous et construire votre existence "après l'aveu", en vous répétant que vous avez bien fait de dire la vérité (car c'est le cas). Et comme dit tangerine, en vous changeant les idées, en faisant des choses que vous n'avez pas l'habitude de faire (en le faisant vraiment : vous prenez une bonne résolution d'activités nouvelles, vous vous y tenez, et vous verrez, cela occupe l'esprit).
Si vous voyez arriver des symptomes comme des crises de larme, des insomnies, des manques de motivation répétés, voyez rapidement un médecin car plus vous tardez et plus vous risquez un épisode dépressif.
Enfin, selon vos rapports avec cette partie de la famille qui vous en veut, vous pouvez essayer d'avoir une explication franche et directe avec eux. C'est à vous de voir s'il est possible de "crever l'abcès" ainsi, en évitant la colère, la haine ou le mépris que vous ressentez de leur part.
Bon courage.