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patdereims
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19 août 2009 à 13:18
19 août 2009 à 13:18
bonjour, je n'y connais pas grand chose en psy...chologie ou psy...chiatrie, difficile pour nous de faire la différence, la seule chose que je peux me permettre de te conseiller, est d'en changer si celui ci ne te convient pas, et ne répond pas à tes attentes. si il y bien une chose que l'on nous apprend dans les revues, les médias, c'est qu'il faut se sentir "bien" avec son médecin, si tu y vas à reculon ou tu n'as pas l'impression de n'être qu'entendu et non pas écouté, le mieux est de voir ailleurs s'il y a mieux. bien souvent ce sont les psychologues qui traitent les problèmes comportementaux, et seulement quelques psychiatres, peut être est ce toute la différence? l'un ne fait qu'écouter, l'autre pose des questions et apporte des réponses...
PAT
Ah non, je vais pas changer de psy, Quel gachis, de tous reprencre à zero, je me voi mal réétaller toute son histoire de + là ou je suis en campagne, sa proximité me convient bien.
DCI
Effectivement c'est jamais une partie de plaisir de se replonger dans des tragédies, néanmoins nous parlons beaucoup plus de mes réactions, comment j'ai assimilé, et de ce que j'envisage. Je sais qu'il n'est pas là pour faire dans les sentiments, toutefois sa neutralité ne m'aide pas à relativiser.
le hic, c'est moi qui parle, bien sur il m'influence par sa prestance, donc je lui dit ce qu'il a envie d'entendre mais rentre chez moi je me retrouve face à mon dilemme,.
En fait au lieu de me donner de la motivation, il me donne des raisons d'être médiocre, me stigmatise dans mon passé , ces consultations m'ont donc juste fait perdre un peu plus chaque jour l'estime que j'avai pour moi.
Avant d'aller le voir ce psy j'etait plutôt confiante en mon avenir, et je me battait pour justement fuir ces cliches que me renvoyai mon passé malheureux, c'est l'opposé de cet fatalité qu'il me laisse présager.
Non vraiment je me m'attendait pas à ça, je doute maintenant que si je lui avait raconte une enfance rose et doré, il aurait eté plus engage, et optimiste avec moi.
Ah non, je vais pas changer de psy, Quel gachis, de tous reprencre à zero, je me voi mal réétaller toute son histoire de + là ou je suis en campagne, sa proximité me convient bien.
DCI
Effectivement c'est jamais une partie de plaisir de se replonger dans des tragédies, néanmoins nous parlons beaucoup plus de mes réactions, comment j'ai assimilé, et de ce que j'envisage. Je sais qu'il n'est pas là pour faire dans les sentiments, toutefois sa neutralité ne m'aide pas à relativiser.
le hic, c'est moi qui parle, bien sur il m'influence par sa prestance, donc je lui dit ce qu'il a envie d'entendre mais rentre chez moi je me retrouve face à mon dilemme,.
En fait au lieu de me donner de la motivation, il me donne des raisons d'être médiocre, me stigmatise dans mon passé , ces consultations m'ont donc juste fait perdre un peu plus chaque jour l'estime que j'avai pour moi.
Avant d'aller le voir ce psy j'etait plutôt confiante en mon avenir, et je me battait pour justement fuir ces cliches que me renvoyai mon passé malheureux, c'est l'opposé de cet fatalité qu'il me laisse présager.
Non vraiment je me m'attendait pas à ça, je doute maintenant que si je lui avait raconte une enfance rose et doré, il aurait eté plus engage, et optimiste avec moi.
DCI
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20 août 2009 à 16:28
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Re-
La "neutralité" est le propre d'un psy !
Elle est même nécessaire.
La "neutralité" est le propre d'un psy !
Elle est même nécessaire.
Merci DCI, ton point de vue me rappel qu'on est dans le médical, certainement qu'au fond de moi je cherche justice et reconnaissance, chose que je ne peu envisager car j'ai le don de me retrouver dans des cercles vicieux, ou les protagonistes sont crédule .
Finalement c'est peut-être pour cela que ma thérapie me laisse perplexe, je me comprend mieux meme si je n'accepte toujours pas ma condition.
Bonne journee
Finalement c'est peut-être pour cela que ma thérapie me laisse perplexe, je me comprend mieux meme si je n'accepte toujours pas ma condition.
Bonne journee
19 août 2009 à 13:59
On n'est pas forcément "bien" avec un psy !
Celui ci aide souvent à faire resurgir des éléments de la vie ou du passé dont l'évocation est parfois douloureuse...
Le relationnel avec un psy n'a rien à voir avec le relationnel avec un médecin généraliste par exemple, dans lequel la notion de sympathie et d'un certain degré de partage émotionnel sont souvent utiles.