Des douleurs thoraciques, j'ai quoi ?
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nicolasjorel
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27 juil. 2009 à 22:20
Docteur Pierrick Hordé Messages postés 42084 Date d'inscription vendredi 21 décembre 2007 Statut Webmaster Dernière intervention 28 novembre 2024 - 28 juil. 2009 à 15:42
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La dimention psychologique de votre problème semble bien entendu très importante.Mais il me parfait capital de reprendre toutes les investigations avec un médecin, ce que je vous ait dit plus haut. Consulter un psy vous apportera une aide supplementaire.
Docteur Pierrick Hordé
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28 juil. 2009 à 08:43
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Tout a fait d accord avec toi.., donc le mieux reste une prise en charge globale par le mêle médecin qui orientera vers divers spécialistes.
Docteur Pierrick Hordé
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27 juil. 2009 à 22:48
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As tu exploré la piste "pneumologique"...chez un pneumologue avec la pratique d'une EFR, examen du souffle?
Est tu pris en charge par un médecin traitant? Il faut peut être que tu consultes un médecin de médecin interne, dans un centre hospitalier...
A mon avis, il ya encore beaucoup de pistes à explorer car tu es jeune et les manifestations que tu décrits semblent t'empêcher de vivre normalement...
Est tu pris en charge par un médecin traitant? Il faut peut être que tu consultes un médecin de médecin interne, dans un centre hospitalier...
A mon avis, il ya encore beaucoup de pistes à explorer car tu es jeune et les manifestations que tu décrits semblent t'empêcher de vivre normalement...
nicolasjorel
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28 juil. 2009 à 14:53
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Mon médecin traitant m'a prescrit un antidépresseur pensant que c'était le stress. C'est du séroplex, ca fait maintenant un mois et demi que j'en prends et cela n'a rien changé. Comme il ne faut pas l'arrêter, je continue. Mes symptomes sont arrivés en dehors de tout contexte anxiogène (que ce soit au travail ou ailleurs), j'avais aucune raison pour cela.
Sincèrement, malgré ces douleurs, je continue d'avoir le moral, pourtant, c'est vraiment handicapant. J'ai eu pendant un moment des anxiolytiques pour dormir, je ne me souviens plus du nom. La nuit, c'était encore plus l'enfer, j'avais une dyspnée encore plus forte qu'à l'habitude, c'était l'horreur. Alors depuis, en traitement, je n'ai que du séroplex le matin, et le propofan qui est le seul médicament à véritablement me soulager en ce qui concerne les douleurs. Je sens de toute façon qu'il y a un problème au niveau respiratoire, j'ai fait assez de course à pied dans ma vie pour connaître mon état quand on est en résistance dans l'effort. Là, pour moi, la marche est devenu un travail de résistance.
Mon kinésithérapeute qui a passé beaucoup de temps avec moi ce dernier mois a vu qu'il y avait des tensions fortes au niveau du thorax. Ils pensent qu'ils sont passés à côté de quelque chose et n'a pas l'air de retenir la cause psychique. J'explique cela dans un article sur mon journal http://cascardiologie.blogspot.com/2009/07/ils-sont-passes-cote-de-quelque-chose.html C'est vrai que je fais ma propre investigation mais c'est le seul moyen que je trouve pour faire avancer les choses. Je suis de plus en plus convaincu que ca va empirer, ce n'est pas pour cela que je n'ai pas le moral.
Et puis d'ailleurs, tous mes problèmes sont arrivés après de grosses crises d'asthme. A partir de ce moment, j'ai toujours eu des douleurs que j'ai géré. Mais depuis 2 mois, c'est devenu l'enfer car lié à l'effort.
L'auto-diagnostic n'est pas bon mais je n'ai pas d'autres solutions actuellement pour pouvoir gérer mes problèmes. C'est grâce à cet auto-diagnostic que je sais actuellement me lever, je choisis l'heure de ma prise de propofan, je sais ce que je ne peux pas faire, ce que je peux faire. Je sais que je ne peux plus courir actuellement, comment ai-je fait pour le savoir ? Il y a un mois, j'ai pris mes baskets et je suis parti dans la forêt courir, plus je courrais, et plus c'était l'enfer, je sentais ma poitrine brulait de plus en plus et le coeur tapait fort, je n'étais qu'à 9 km/h, j'ai fait ca 10 minutes. J'ai mis toute la journée pour voir mes symptomes revenir à la normal, j'ai passé ce jour là une journée horrible. Depuis, je ne cours plus, c'est comme ça que j'évalue mes possibilités et la gravité de la situation.
Maintenant, il est évident que lorsque je souffre énormément, j'ai moins le moral, et quand je souffre moins, ca va mieux. Mais ca, ca relève de la normalité psychique ou psychiatrique. Mais attention, je ne suis pas contre un avis d'un psychiatre, je souffre tellement que je suis prêt à tout.
Sincèrement, malgré ces douleurs, je continue d'avoir le moral, pourtant, c'est vraiment handicapant. J'ai eu pendant un moment des anxiolytiques pour dormir, je ne me souviens plus du nom. La nuit, c'était encore plus l'enfer, j'avais une dyspnée encore plus forte qu'à l'habitude, c'était l'horreur. Alors depuis, en traitement, je n'ai que du séroplex le matin, et le propofan qui est le seul médicament à véritablement me soulager en ce qui concerne les douleurs. Je sens de toute façon qu'il y a un problème au niveau respiratoire, j'ai fait assez de course à pied dans ma vie pour connaître mon état quand on est en résistance dans l'effort. Là, pour moi, la marche est devenu un travail de résistance.
Mon kinésithérapeute qui a passé beaucoup de temps avec moi ce dernier mois a vu qu'il y avait des tensions fortes au niveau du thorax. Ils pensent qu'ils sont passés à côté de quelque chose et n'a pas l'air de retenir la cause psychique. J'explique cela dans un article sur mon journal http://cascardiologie.blogspot.com/2009/07/ils-sont-passes-cote-de-quelque-chose.html C'est vrai que je fais ma propre investigation mais c'est le seul moyen que je trouve pour faire avancer les choses. Je suis de plus en plus convaincu que ca va empirer, ce n'est pas pour cela que je n'ai pas le moral.
Et puis d'ailleurs, tous mes problèmes sont arrivés après de grosses crises d'asthme. A partir de ce moment, j'ai toujours eu des douleurs que j'ai géré. Mais depuis 2 mois, c'est devenu l'enfer car lié à l'effort.
L'auto-diagnostic n'est pas bon mais je n'ai pas d'autres solutions actuellement pour pouvoir gérer mes problèmes. C'est grâce à cet auto-diagnostic que je sais actuellement me lever, je choisis l'heure de ma prise de propofan, je sais ce que je ne peux pas faire, ce que je peux faire. Je sais que je ne peux plus courir actuellement, comment ai-je fait pour le savoir ? Il y a un mois, j'ai pris mes baskets et je suis parti dans la forêt courir, plus je courrais, et plus c'était l'enfer, je sentais ma poitrine brulait de plus en plus et le coeur tapait fort, je n'étais qu'à 9 km/h, j'ai fait ca 10 minutes. J'ai mis toute la journée pour voir mes symptomes revenir à la normal, j'ai passé ce jour là une journée horrible. Depuis, je ne cours plus, c'est comme ça que j'évalue mes possibilités et la gravité de la situation.
Maintenant, il est évident que lorsque je souffre énormément, j'ai moins le moral, et quand je souffre moins, ca va mieux. Mais ca, ca relève de la normalité psychique ou psychiatrique. Mais attention, je ne suis pas contre un avis d'un psychiatre, je souffre tellement que je suis prêt à tout.
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