POurquoi paniquer
sylvie24
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22 mai 2009 à 16:24
Silvye24 - 27 mai 2009 à 00:47
Silvye24 - 27 mai 2009 à 00:47
A voir également:
- POurquoi paniquer
- Comment ne pas paniquer - Accueil - Collège et lycée
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PHIPHIJESS
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mardi 26 mai 2009
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26 mai 2009
26 mai 2009 à 17:35
26 mai 2009 à 17:35
Silvye24 ! Tout d'abord, bonjour ; et après, bravo !
Quel beau "témoignagne" (si je puis me permettre) de courage ! Mais quelle peste tu dois être ! Mais j'aime çà !!! Pourquoi se dire que bon, çà y est, c'est fini, j'arrête de me battre ? C'est tellement plus facile ! Je ne vais plus rien faire, je ne prends plus aucune décision, les autres auront qu'à faire pour moi, etc ... ! Non ! Et bravo encore pour ta réaction ! Je ne suis pas tout à fait dans ton cas (je me permets de te tutoyuer depuis le début, pardon, mais c'est aussi simple), moi, c'est un cancer il y a cinq ans et demi. Je suis toujours en phase de rémission comme on dit. 9à va, j'ai juste failli ne plus être là pour t'écrire aujourd'hui. Ce que je croyais être à l'origine un mal de dent qui pouvait attendre (le boulot, tout çà ... (je passe les épisodes biopsies, scanners, Irm et opération -tout çà en moins d'un mois) a bien failli venir à bout d'un grand gaillard de 1.96m pour 96 kg ! (Beau bébé, non ?). A quelques semaines près, c'était trop tard pour m'opérer ! Je m'en sort bien, défiguré, mais vivant ! Il me manque juste une demi-mâchoire, 16 kg et 20 dents ! Sans compter tous les """"amis"""" que j'avais ! Ceux que j'avais et que j'ai conservés se comptent maintenant sur les doigts d'une main !!! Et le plus étonnant là-dedans, c'est que la plus fidèle de mes amis, c'est une gamine de vingt ans aujourd'hui qui m'a connu un an et demi après l'opération ! (Je viens d'écrire pour elle sur le forum -si elle le sait, elle me tue !!!). Je ne sais pas si j'avais un si sale caractère que çà avant, mais il faut dire que çà n'a rien arrangé. Seulement, voilà, j'ai toujours dit merde à tous ceux qui me disait : "Ah ! Tu sais, je comprends, çà doit pas être facile, mais, t'inquiètes pas, çà change rien, Etc... etc ...". Bizarre, c'est ceux-là même que je ne vois plus ! Tout çà pour dire que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! Et les autres, n'ayez pas peur, on peut en parler, c'est pas tabou ; mais par pitié, justement, pas de pitié !!! Cà peut vous arriver !
J'arrête, y a plus de place ! J'aurais pourtant bien des choses à dire ... Bisous
Quel beau "témoignagne" (si je puis me permettre) de courage ! Mais quelle peste tu dois être ! Mais j'aime çà !!! Pourquoi se dire que bon, çà y est, c'est fini, j'arrête de me battre ? C'est tellement plus facile ! Je ne vais plus rien faire, je ne prends plus aucune décision, les autres auront qu'à faire pour moi, etc ... ! Non ! Et bravo encore pour ta réaction ! Je ne suis pas tout à fait dans ton cas (je me permets de te tutoyuer depuis le début, pardon, mais c'est aussi simple), moi, c'est un cancer il y a cinq ans et demi. Je suis toujours en phase de rémission comme on dit. 9à va, j'ai juste failli ne plus être là pour t'écrire aujourd'hui. Ce que je croyais être à l'origine un mal de dent qui pouvait attendre (le boulot, tout çà ... (je passe les épisodes biopsies, scanners, Irm et opération -tout çà en moins d'un mois) a bien failli venir à bout d'un grand gaillard de 1.96m pour 96 kg ! (Beau bébé, non ?). A quelques semaines près, c'était trop tard pour m'opérer ! Je m'en sort bien, défiguré, mais vivant ! Il me manque juste une demi-mâchoire, 16 kg et 20 dents ! Sans compter tous les """"amis"""" que j'avais ! Ceux que j'avais et que j'ai conservés se comptent maintenant sur les doigts d'une main !!! Et le plus étonnant là-dedans, c'est que la plus fidèle de mes amis, c'est une gamine de vingt ans aujourd'hui qui m'a connu un an et demi après l'opération ! (Je viens d'écrire pour elle sur le forum -si elle le sait, elle me tue !!!). Je ne sais pas si j'avais un si sale caractère que çà avant, mais il faut dire que çà n'a rien arrangé. Seulement, voilà, j'ai toujours dit merde à tous ceux qui me disait : "Ah ! Tu sais, je comprends, çà doit pas être facile, mais, t'inquiètes pas, çà change rien, Etc... etc ...". Bizarre, c'est ceux-là même que je ne vois plus ! Tout çà pour dire que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! Et les autres, n'ayez pas peur, on peut en parler, c'est pas tabou ; mais par pitié, justement, pas de pitié !!! Cà peut vous arriver !
J'arrête, y a plus de place ! J'aurais pourtant bien des choses à dire ... Bisous
bonsoir et merci
je suppose que ton prénom est philippe. Pour le tutoiment pas de problème.
QUand tu parles de pitié, je suis plus que d'accord, il ne faut pas l'accepter, sinon c'est le début de la fin, pour soi même, c'est qu'on n'accepte plus rien. Et ceux qui on pitié, ils connaissent au moins le problème.? ceux là ne savent pas ce que c'est que l'amitié au autre, leurs sentiments sont froide. Ceux qui aiment n'ont pas de pitié, ils aiment et restent et on pas peur en plus de régarder les choses en face.
j'ai aussi fait le tri dans mes relations, surtout une, masi je me suis offerte un moment de bonheur en lui reletant certaines choses et en mettant un kleenex dans l'enveloppe, vu que qu'elle refusait le face à face. Ba moi j'ai pas épongé les larmes, si celle de bonheur. C'est pas cool, mais au moins ca remet les choses à leur place.
Tu as de la force et de la volonté, alors que c'est pas rose l'avenir. Et ca, ca te permets d'avancer au lieu de reculer, alors continue, ca permet de te tenir toi et de voir les yeux des tiens heureux, alors qu'ils savent. Mais au moins tout le monde profite de ces moments.
Pour ma part, la seule chose qui ferait tout arreter, c'est une phase finale dans la douleur. Lors de ma 1ere période de maladie, on m'a parlé de cancer. J'ai si bien goûter à l'enfer de la souffance, que je n'aurais pas accepter de finir dans cette douleur, ni de voir les miens la voir. Je ne pense pas que c'est de la lacheté, que seul(e) soit même peu décider. Quand j'ai appris que je n'en avais pas, j'ai compris bien des choses.
Avant de savoir, j'ai voulu le faire, la pensée de am fille m'y a empéché. On dit bien l'espoir fait vivre. Je le confirme et ca vaut le coup de se battre jusqu'au bout. CONTINUE !!!!!
il y a les bons jours et les mauvais,mais il y a cette force.
Je ne suis pas dans ton cas, mais je le comprends
et pour ce qui est du caractère, et oui le mien il est de cochon, ca me pèse parfois, mais je l'aime bien, il est à moi et c'est ma force. Je suis presque certaine que tant a un aussi, et que tu voudrais pas tant séparer, il est en grande partie ta force ? Garde le bien.
Je finirais en te disant que celui qui est plsu fort que l'autre face à ce qu'on a, et qui n'est pas de la même empleur : c'est toi.
Et continues à dire ce que tu penses, même par écrit. C'est un plaisir de répondre et de leur à des mots comme ca
Une grosse bise à toi et plein de bons moments
Sylvie
je suppose que ton prénom est philippe. Pour le tutoiment pas de problème.
QUand tu parles de pitié, je suis plus que d'accord, il ne faut pas l'accepter, sinon c'est le début de la fin, pour soi même, c'est qu'on n'accepte plus rien. Et ceux qui on pitié, ils connaissent au moins le problème.? ceux là ne savent pas ce que c'est que l'amitié au autre, leurs sentiments sont froide. Ceux qui aiment n'ont pas de pitié, ils aiment et restent et on pas peur en plus de régarder les choses en face.
j'ai aussi fait le tri dans mes relations, surtout une, masi je me suis offerte un moment de bonheur en lui reletant certaines choses et en mettant un kleenex dans l'enveloppe, vu que qu'elle refusait le face à face. Ba moi j'ai pas épongé les larmes, si celle de bonheur. C'est pas cool, mais au moins ca remet les choses à leur place.
Tu as de la force et de la volonté, alors que c'est pas rose l'avenir. Et ca, ca te permets d'avancer au lieu de reculer, alors continue, ca permet de te tenir toi et de voir les yeux des tiens heureux, alors qu'ils savent. Mais au moins tout le monde profite de ces moments.
Pour ma part, la seule chose qui ferait tout arreter, c'est une phase finale dans la douleur. Lors de ma 1ere période de maladie, on m'a parlé de cancer. J'ai si bien goûter à l'enfer de la souffance, que je n'aurais pas accepter de finir dans cette douleur, ni de voir les miens la voir. Je ne pense pas que c'est de la lacheté, que seul(e) soit même peu décider. Quand j'ai appris que je n'en avais pas, j'ai compris bien des choses.
Avant de savoir, j'ai voulu le faire, la pensée de am fille m'y a empéché. On dit bien l'espoir fait vivre. Je le confirme et ca vaut le coup de se battre jusqu'au bout. CONTINUE !!!!!
il y a les bons jours et les mauvais,mais il y a cette force.
Je ne suis pas dans ton cas, mais je le comprends
et pour ce qui est du caractère, et oui le mien il est de cochon, ca me pèse parfois, mais je l'aime bien, il est à moi et c'est ma force. Je suis presque certaine que tant a un aussi, et que tu voudrais pas tant séparer, il est en grande partie ta force ? Garde le bien.
Je finirais en te disant que celui qui est plsu fort que l'autre face à ce qu'on a, et qui n'est pas de la même empleur : c'est toi.
Et continues à dire ce que tu penses, même par écrit. C'est un plaisir de répondre et de leur à des mots comme ca
Une grosse bise à toi et plein de bons moments
Sylvie
27 mai 2009 à 00:47
Vu que je suis très douée HHA, je me suis envoyé la réponse à moi même, bon voilà je recommence t corrige le destinataire.
je suppose que ton prénom est philippe. Pour le tutoiment pas de problème.
QUand tu parles de pitié, je suis plus que d'accord, il ne faut pas l'accepter, sinon c'est le début de la fin, pour soi même, c'est qu'on n'accepte plus rien. Et ceux qui on pitié, ils connaissent au moins le problème.? ceux là ne savent pas ce que c'est que l'amitié au autre, leurs sentiments sont froide. Ceux qui aiment n'ont pas de pitié, ils aiment et restent et on pas peur en plus de régarder les choses en face.
j'ai aussi fait le tri dans mes relations, surtout une, masi je me suis offerte un moment de bonheur en lui reletant certaines choses et en mettant un kleenex dans l'enveloppe, vu que qu'elle refusait le face à face. Ba moi j'ai pas épongé les larmes, si celle de bonheur. C'est pas cool, mais au moins ca remet les choses à leur place.
Tu as de la force et de la volonté, alors que c'est pas rose l'avenir. Et ca, ca te permets d'avancer au lieu de reculer, alors continue, ca permet de te tenir toi et de voir les yeux des tiens heureux, alors qu'ils savent. Mais au moins tout le monde profite de ces moments.
Pour ma part, la seule chose qui ferait tout arreter, c'est une phase finale dans la douleur. Lors de ma 1ere période de maladie, on m'a parlé de cancer. J'ai si bien goûter à l'enfer de la souffance, que je n'aurais pas accepter de finir dans cette douleur, ni de voir les miens la voir. Je ne pense pas que c'est de la lacheté, que seul(e) soit même peu décider. Quand j'ai appris que je n'en avais pas, j'ai compris bien des choses.
Avant de savoir, j'ai voulu le faire, la pensée de am fille m'y a empéché. On dit bien l'espoir fait vivre. Je le confirme et ca vaut le coup de se battre jusqu'au bout. CONTINUE !!!!!
il y a les bons jours et les mauvais,mais il y a cette force.
Je ne suis pas dans ton cas, mais je le comprends
et pour ce qui est du caractère, et oui le mien il est de cochon, ca me pèse parfois, mais je l'aime bien, il est à moi et c'est ma force. Je suis presque certaine que tant a un aussi, et que tu voudrais pas tant séparer, il est en grande partie ta force ? Garde le bien.
Je finirais en te disant que celui qui est plsu fort que l'autre face à ce qu'on a, et qui n'est pas de la même empleur : c'est toi.
Et continues à dire ce que tu penses, même par écrit. C'est un plaisir de répondre et de leur à des mots comme ca
Une grosse bise à toi et plein de bons moments
Sylvie