Suite atrodesses du poignet
Résolu
Bonjour,
operation il y 3semaines artrodese totale du poignet et je sens un truc me piqué sous la peau et bouger lorsque je bouge ma main
chirugien en vacances quelqu' un a t il eut cette sensation
merci
operation il y 3semaines artrodese totale du poignet et je sens un truc me piqué sous la peau et bouger lorsque je bouge ma main
chirugien en vacances quelqu' un a t il eut cette sensation
merci
A voir également:
- Forum prothèse poignet
- Tendinite poignet durée - Accueil - Blessures
- Os poignet - Guide
- Pisiforme poignet - Guide
- Prothèse dentaire amovible partielle sans crochet prix - Accueil - Dents
- Poignet - Guide
1 réponse
Bonjour,
Une arthrodese demande obligatoirement la pose de plaques/vis/broches et autres éléments métalliques destinés à immobiliser l'articulation le temps que les surfaces "rabotées" de celle ci puissent fusionner et se greffer l'une à l'autre.
Ce matériel métallique peut dans bon nombre de cas être enlevé 6 à 12 mois après l'intervention, si la "soudure" osseuse est satisfaisante.
Dans l'intervalle il est tout à fait normal de ressentir des sensations inhabituelles liées aussi bien à la présence des ces éléments métalliques (tête des vis par ex.) qu'aux modifications apportées aux surfaces articulaires.
" On retrouve beaucoup plus de vieux ivrognes que de vieux médecins" (François Rabelais)
Une arthrodese demande obligatoirement la pose de plaques/vis/broches et autres éléments métalliques destinés à immobiliser l'articulation le temps que les surfaces "rabotées" de celle ci puissent fusionner et se greffer l'une à l'autre.
Ce matériel métallique peut dans bon nombre de cas être enlevé 6 à 12 mois après l'intervention, si la "soudure" osseuse est satisfaisante.
Dans l'intervalle il est tout à fait normal de ressentir des sensations inhabituelles liées aussi bien à la présence des ces éléments métalliques (tête des vis par ex.) qu'aux modifications apportées aux surfaces articulaires.
" On retrouve beaucoup plus de vieux ivrognes que de vieux médecins" (François Rabelais)