Envie de tout lâcher
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lekabilien Messages postés 21294 Date d'inscription jeudi 18 décembre 2014 Statut Contributeur Dernière intervention 21 février 2020 - 16 juin 2017 à 09:59
lekabilien Messages postés 21294 Date d'inscription jeudi 18 décembre 2014 Statut Contributeur Dernière intervention 21 février 2020 - 16 juin 2017 à 09:59
Bonjour/Bonsoir.
A ceux qui prendront le temps de me lire et de me répondre, je dis merci en avance.
Je ne vous bassinerai pas avec le bavardage habituel sur le quand et comment s'est développé ma dépression.
Personnellement, je ne sais même plus comment je trouve les mots pour décrire ce je je ressens. Pour faire simple je dirais que je tends vers la folie.
28 ans, bientôt 29, homme, quatre tentatives de suicide, des brûlures au fer à repasser sur le bras, une vingtaine de cicatrices (pas des moindres) de coupures faites au cutter -tout ça en 12 mois- une envie irrépressible de me faire du mal, le crâne qui fonctionne comme une boîte dans laquelle des questions sans réponses rebondissent en permanence, les nuits sans sommeil, les troubles de l'alimentation, une envie ou une soif inexpliquée de Savoir.
Deux ans que je cherche le bouton On/Off.
J'arrive de moins en moins à gérer mes émotions. Au travail j'arrive de moins en moins à faire semblant. Le sentiment d'être un raté, bon à rien, et paradoxalement, pendant les courtes périodes de répit, l'esprit qui foisonne d'idées et de concepts. Cette attirance pour l'abstrait, la langue Française, la philosophie, les sciences de tout bord, pour le dessin, la musique, ces questions que je trouve importantes et dont la plupart des personnes s'en foutent, ce sentiment de haine envers le genre humain, et l'incapacité paradoxale de haïr.
Ces "proches" qui disent qu'ils comprennent, mais qui n'en donnent pas vraiment l'impression, l'envie de me couper de tout et de tous, de temps en temps phagocyté par l'envie d'être proche des "miens".
Un an que je vois une psy.
Un long moment que je me dis que peut-être que le seul moyen de fuir ces visions de mort, ce serait peut-être tout simplement de mourir.
A ceux qui prendront le temps de me lire et de me répondre, je dis merci en avance.
Je ne vous bassinerai pas avec le bavardage habituel sur le quand et comment s'est développé ma dépression.
Personnellement, je ne sais même plus comment je trouve les mots pour décrire ce je je ressens. Pour faire simple je dirais que je tends vers la folie.
28 ans, bientôt 29, homme, quatre tentatives de suicide, des brûlures au fer à repasser sur le bras, une vingtaine de cicatrices (pas des moindres) de coupures faites au cutter -tout ça en 12 mois- une envie irrépressible de me faire du mal, le crâne qui fonctionne comme une boîte dans laquelle des questions sans réponses rebondissent en permanence, les nuits sans sommeil, les troubles de l'alimentation, une envie ou une soif inexpliquée de Savoir.
Deux ans que je cherche le bouton On/Off.
J'arrive de moins en moins à gérer mes émotions. Au travail j'arrive de moins en moins à faire semblant. Le sentiment d'être un raté, bon à rien, et paradoxalement, pendant les courtes périodes de répit, l'esprit qui foisonne d'idées et de concepts. Cette attirance pour l'abstrait, la langue Française, la philosophie, les sciences de tout bord, pour le dessin, la musique, ces questions que je trouve importantes et dont la plupart des personnes s'en foutent, ce sentiment de haine envers le genre humain, et l'incapacité paradoxale de haïr.
Ces "proches" qui disent qu'ils comprennent, mais qui n'en donnent pas vraiment l'impression, l'envie de me couper de tout et de tous, de temps en temps phagocyté par l'envie d'être proche des "miens".
Un an que je vois une psy.
Un long moment que je me dis que peut-être que le seul moyen de fuir ces visions de mort, ce serait peut-être tout simplement de mourir.
A voir également:
- Envie de tout arreter
- Envie de manger tout le temps - Accueil - Régimes et équilibre alimentaire
- Envie de faire pipi tout le temps sans douleur - Accueil - Symptômes et questions diverses
- Envie de faire l'amour - Guide
- Salivation excessive et envie de vomir - Accueil - Symptômes et questions diverses
- Acupuncture pour arrêter de fumer - Accueil - Acupuncture
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12 juin 2017 à 12:50
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Bonjour et bienvenue,
Tu dis :
"Un an que je vois une psy. "
Pourrais tu en dire un peu plus , médecin psychiatre ? psychologue ? psychanalyste ?
Tu semble souffrir d'une dépression chronique, as tu senti une évolution? même légère ?
Tu dis :
"Un an que je vois une psy. "
Pourrais tu en dire un peu plus , médecin psychiatre ? psychologue ? psychanalyste ?
Tu semble souffrir d'une dépression chronique, as tu senti une évolution? même légère ?
lekabilien
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12 juin 2017 à 13:43
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Bonjour HopeKills
Tu ne veux pas nous bassiner avec le pourquoi et le comment de tes problèmes, mais une explication quand même nous permettrait d'y voir un peu clair, en tout cas, puisque tu vois une psy, que pour elle tu dis tout ce que tu penses être la ou les causes de tes problèmes.
Tu es perdu dans tes réfléxions, tu veux donner, faire, agir, ect...mais tu ne peux y arriver, tu te sens prisonnier en toi même. En fait tu veux, quelque chose en toi veut aller au delà de ce que peut faire l'humain de façon rationnel. Tu voudrais faire tellement de chose qu'il n'est pas possible de faire que tu es oppressé, blessé, te fait croire que tu es inutile, un vaurien, alors que tout cela bien sûr est faut.
Tu n'es qu'un simple mortel, un humain avec ses qualités et ses défauts. Ses capacités sur certaines choses et d'autres inaccessibles. L'humain n'a pas pouvoir sur tout et il dois s'y faire. Alors cette envie de savoir, de toucher a tout, d'être acteur de tout ce qui vie et qui bouge, de la création a l'imaginaire, il faut faire des choix possibles et pourquoi pas passer un temps, le libre que te permet ta vie de tout les jours pour satisfaire cette soif de connaissance et de faire. Mais bien sûr avoir des troubles, en être malade de ne pas être celui qui est. Fait tout ça, ce n'est pas normal, bien sûr je n'ai pas un soupçon d'explication a te donner a cela.
Juste au passage, en ce qui me concerne j'ai eu des moments difficile dans ma vie, je me suis remis a la musique et l'écriture, chose dont tu parles, alors pourquoi ne pas t'occuper l'esprit a l'écriture et la musique entre autre.
"Ce sentiment de haine envers le genre humain, et l'incapacité paradoxale de hair". Tu n'as pas de haine envers le genre humain mais envers toi même, relire ce que tu dis plus haut. La haine de ne pas pouvoir ce que tu voudrais. Pourquoi ?? Aucune idée.
Tu n'es pas un mauvais garçon non plus je le pense vraiment. Tu essaies de te fondre dans la foule, de faire semblant, ce sui veut dire, ne pas attirer l'attention, ne pas créer de problèmes, être comme tu le monde tout simplement, cela est de la sociabilité, mais bien sûr tout cela est difficile a gérer.
Tu ne peux en vouloir a ces gens de te dire on te comprend alors que qu'il est vrai, ils se trompent complétement. Du fait que tu sais qu'ils se trompent, ils sont pardonnables, tu n'as rien a attendre d'eux si ce n'est l'amitié, le reste les dépasse.
Tu as un boulot, des amis, une famille, gardes les. Ils ne te comprennent pas mais ils ne peuvent pas grands choses si ce n'est par leur présence. Par contre ta psy est la mieux placée pour te comprendre et c'est avec elle que tu dois faire coprs, avoir confiance et rentrer dans le moindre détail de ton ressenti, ce sue tu sais, de ce qui ne va pas.
As-tu une copine, une femme, des enfants ?
Tu ne veux pas nous bassiner avec le pourquoi et le comment de tes problèmes, mais une explication quand même nous permettrait d'y voir un peu clair, en tout cas, puisque tu vois une psy, que pour elle tu dis tout ce que tu penses être la ou les causes de tes problèmes.
Tu es perdu dans tes réfléxions, tu veux donner, faire, agir, ect...mais tu ne peux y arriver, tu te sens prisonnier en toi même. En fait tu veux, quelque chose en toi veut aller au delà de ce que peut faire l'humain de façon rationnel. Tu voudrais faire tellement de chose qu'il n'est pas possible de faire que tu es oppressé, blessé, te fait croire que tu es inutile, un vaurien, alors que tout cela bien sûr est faut.
Tu n'es qu'un simple mortel, un humain avec ses qualités et ses défauts. Ses capacités sur certaines choses et d'autres inaccessibles. L'humain n'a pas pouvoir sur tout et il dois s'y faire. Alors cette envie de savoir, de toucher a tout, d'être acteur de tout ce qui vie et qui bouge, de la création a l'imaginaire, il faut faire des choix possibles et pourquoi pas passer un temps, le libre que te permet ta vie de tout les jours pour satisfaire cette soif de connaissance et de faire. Mais bien sûr avoir des troubles, en être malade de ne pas être celui qui est. Fait tout ça, ce n'est pas normal, bien sûr je n'ai pas un soupçon d'explication a te donner a cela.
Juste au passage, en ce qui me concerne j'ai eu des moments difficile dans ma vie, je me suis remis a la musique et l'écriture, chose dont tu parles, alors pourquoi ne pas t'occuper l'esprit a l'écriture et la musique entre autre.
"Ce sentiment de haine envers le genre humain, et l'incapacité paradoxale de hair". Tu n'as pas de haine envers le genre humain mais envers toi même, relire ce que tu dis plus haut. La haine de ne pas pouvoir ce que tu voudrais. Pourquoi ?? Aucune idée.
Tu n'es pas un mauvais garçon non plus je le pense vraiment. Tu essaies de te fondre dans la foule, de faire semblant, ce sui veut dire, ne pas attirer l'attention, ne pas créer de problèmes, être comme tu le monde tout simplement, cela est de la sociabilité, mais bien sûr tout cela est difficile a gérer.
Tu ne peux en vouloir a ces gens de te dire on te comprend alors que qu'il est vrai, ils se trompent complétement. Du fait que tu sais qu'ils se trompent, ils sont pardonnables, tu n'as rien a attendre d'eux si ce n'est l'amitié, le reste les dépasse.
Tu as un boulot, des amis, une famille, gardes les. Ils ne te comprennent pas mais ils ne peuvent pas grands choses si ce n'est par leur présence. Par contre ta psy est la mieux placée pour te comprendre et c'est avec elle que tu dois faire coprs, avoir confiance et rentrer dans le moindre détail de ton ressenti, ce sue tu sais, de ce qui ne va pas.
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12 juin 2017 à 15:31
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On a beau vivre nos dépressions chacun à sa manière, elles ont quand même toutes les mêmes types de déclencheurs. C'est pour ça que j'ai dit que je ne voulais pas vous bassiner avec le pourquoi.
Je n'ai pas forcément l'ambition de tout faire, je suis juste intéressé par plein de choses à la fois. Je sais que ça peut paraître ambigu.
La raison pour laquelle je garde encore mon travail, c'est parce qu'en plus des factures que j'ai à payer, je dois payer aussi mes séances hebdomadaires chez la psy. Et dire que j'ai des amis... Je les cherche toujours. Ils sont tous occupés, ou n'ont pas d'Internet, ce que je ne peux bien sûr pas leur reprocher. Ils mènent leur vie, et se battent pour leur bonheur. Il n'y rien de particulier qui justifie qu'ils fassent une pause dans leur quête pour se préoccuper d'avantage de mon sort. En gros c'est à moi de me demerder. Même les promesses qu'ils m'ont faites d'être toujours là, ils ne sont pas contraints de les tenir.
Connaître quelques personnes qui sont au courant de ce que je traverse, ne signifie donc pas forcément que je ne me sente pas seul.
Dire que j'ai mal est un euphémisme. Avoir mal est de loin plus paisible que ce que je ressens.
Il y a tellement de choses dont je pourrais faire des hobbies, mais j'éprouve toujours un certains désintérêt quelques semaines après avoir commencé quelque chose de nouveau.
Oui j'ai une copine, qui a comme tous mes "proches" ses problèmes à gérer, non je n'ai pas d'enfant.
Je n'ai pas forcément envie de mourir. C'est juste une chaque fois que j'ai voulu m'ôter la vie, comme je me prépare à le faire prochainement, je me suis senti écrasé par cette sensation. Si j'ai longtemps refusé de retourner aux antidépresseurs, c'est parce que je ne voulais pas refaire une tentative avec, mais aussi parce que je voulais faire le travail sur moi, en sachant que ça ne serait pas facile.
Je n'ai pas forcément l'ambition de tout faire, je suis juste intéressé par plein de choses à la fois. Je sais que ça peut paraître ambigu.
La raison pour laquelle je garde encore mon travail, c'est parce qu'en plus des factures que j'ai à payer, je dois payer aussi mes séances hebdomadaires chez la psy. Et dire que j'ai des amis... Je les cherche toujours. Ils sont tous occupés, ou n'ont pas d'Internet, ce que je ne peux bien sûr pas leur reprocher. Ils mènent leur vie, et se battent pour leur bonheur. Il n'y rien de particulier qui justifie qu'ils fassent une pause dans leur quête pour se préoccuper d'avantage de mon sort. En gros c'est à moi de me demerder. Même les promesses qu'ils m'ont faites d'être toujours là, ils ne sont pas contraints de les tenir.
Connaître quelques personnes qui sont au courant de ce que je traverse, ne signifie donc pas forcément que je ne me sente pas seul.
Dire que j'ai mal est un euphémisme. Avoir mal est de loin plus paisible que ce que je ressens.
Il y a tellement de choses dont je pourrais faire des hobbies, mais j'éprouve toujours un certains désintérêt quelques semaines après avoir commencé quelque chose de nouveau.
Oui j'ai une copine, qui a comme tous mes "proches" ses problèmes à gérer, non je n'ai pas d'enfant.
Je n'ai pas forcément envie de mourir. C'est juste une chaque fois que j'ai voulu m'ôter la vie, comme je me prépare à le faire prochainement, je me suis senti écrasé par cette sensation. Si j'ai longtemps refusé de retourner aux antidépresseurs, c'est parce que je ne voulais pas refaire une tentative avec, mais aussi parce que je voulais faire le travail sur moi, en sachant que ça ne serait pas facile.
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"Je n'ai pas forcément envie de mourir. C'est juste une chaque fois que j'ai voulu m'ôter la vie, comme je me prépare à le faire prochainement, je me suis senti écrasé par cette sensation."
Je t'avoue ne pas trop comprendre, que veux tu dire ?
" parce que je voulais faire le travail sur moi, en sachant que ça ne serait pas facile."
C'est tout à ton honneur, mais le travail risque d'être long mais ce n'est pas impossible
Et aussi :
"Je ne m'attendais pas à ce que ce soit facile sans, mais j'ai le sentiment d'avoir tout donné. Je suis claqué."
Non, ce n'est pas facile et c'est effectivement épuisant et il ne te faut pas lâcher comme tu le dis en titre, tu vis sans doute des moments difficiles, des moments de doute et découragement, ce qui est logique et réactionnel mais je suis sur que tu as la ressource pour passer ce cap.
J'appelle un chat un chat *
*en Français dans le texte
Je t'avoue ne pas trop comprendre, que veux tu dire ?
" parce que je voulais faire le travail sur moi, en sachant que ça ne serait pas facile."
C'est tout à ton honneur, mais le travail risque d'être long mais ce n'est pas impossible
Et aussi :
"Je ne m'attendais pas à ce que ce soit facile sans, mais j'ai le sentiment d'avoir tout donné. Je suis claqué."
Non, ce n'est pas facile et c'est effectivement épuisant et il ne te faut pas lâcher comme tu le dis en titre, tu vis sans doute des moments difficiles, des moments de doute et découragement, ce qui est logique et réactionnel mais je suis sur que tu as la ressource pour passer ce cap.
J'appelle un chat un chat *
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13 juin 2017 à 01:24
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Je n'arrête pas de me donner à moi même une nouvelle chance, jusqu'à ce que je replonge. J'ai l'impression que j'ai ouvert une porte que je n'arrive pas à refermer.
A l'époque où je prenais des antidépresseurs, j'avais la sensation d'être une coquille vide.
Le plus éprouvant, ce sont ces sinusoïdes que mon esprit fait. Et dans les moments où je suis au plus bas, j'ai envie de me faire de choses à peine concevables en temps normal
A l'époque où je prenais des antidépresseurs, j'avais la sensation d'être une coquille vide.
Le plus éprouvant, ce sont ces sinusoïdes que mon esprit fait. Et dans les moments où je suis au plus bas, j'ai envie de me faire de choses à peine concevables en temps normal
lekabilien
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La dépression on la vie chacun a sa manière mais mène si on n'y prend garde a la même chose, se détruire. Elle s'empare de nos facultés mentale, elle nous rends très souvent incapable de réagir, car pas d'issue, incapable d'entrevoir une solution. Alors tu veux en finir, pas que tu veuille vraiment mourir, mais c'est la seule issue qui te semble possible, tout ça, car tu es dépendant mentalement de ta dépression, le drame, c'est que la mort ne nous effraie pas.
Mais que toute les dépressions ont le mêmes déclancheur, cela peut être divers et varié, parfois même, on ne sait pas la cause. Mais peut importe, le résultat lui est le même.
Tu as quelqu'un qui te conseil mieux que moi, Andy...., écoutes ses conseils il sait de quoi il parle.
Moi c'est une expérience, un vécu, et ne pas suivre suivre un traitement je ne eux que te dire tu as tors. J'ai été en hopital, en psychiatrie, des médocs j'en ai pris, pas que je le voulais, on veut rien, même hostile a tout, mais je me suis dis, seul je ne vois pas quoi faire alors rien a perdre d'obéir et de faire. Et avec les premiers resultats, cela rend lucide et on se prend plus en charge, on accepte, on s'ouvre a tout ce sui nous paraissait inutile.
Tu semble lucide de tout ça a te lire vu mon vécu, je ne le dis pas du coté pro que je ne suis pas, mais tu refuses de faire, du moins un manque de volonté, et oui ta dépression "te maitrise" quelque peu. Alors qu'est-ce que tu as a perdre de de faire confiance a un pro de santé et de suivre traitement prescrit et ses recommandations.
C'est un paradoxe. Tu es intéressé par plein de chose mais tu ne fais rien, ou presque si je ne me trompe. Pourtant cela en soi est une très bonne chose que de pouvoir occuper l'esprit, pas grave si tu passes d'un sujet a un autre, au contraire le changement et un enrichissement. Occupes toi l'esprit.
Bosser pour payer ses factures, je ne raisonnais même pas ainsi a mon époque de mal-être, je m'en foutais, alors tu vois, un peu d'efforts et de combattivité de plus que maintenant et psychiatre et médocs, et respecter les prises, (j'ai la chance que je déteste les bonbons, toi tu dois faire un efforts pour ne pas abuser), et tu devrai u voir plus clair en toi sous peu. Quand aux amis, comme dit déjà, ne leur en veux pas, comme tu dis ils ont leur vie, mais surtout, ils sont sans doute embêté de ne pas savoir quoi faire, comment réagir, car toi tu penses être normal pour ne pas embêter tout le monde, mais la vérité eux ils la voit, ils voient que tu n'es pas bien, ils savent sans doute ta dépréssion, mais quoi faire c'est autre chose. Donc tu les vois moins, c'est normal ils sont peut-être mal a l'aise par moment.
Je ne sais pas comment vie cela ta copine mais si tu ne fais rien pour aller mieux tu la perdra, je pense que tu es conscient de ça. Elle est ton seul équilibre en ce moment, si tu la perds, tu n'auras plus a quoi t'accrocher.
Évidemment que ce n'est pas simple de se donner la mort, ta dépression te pousse a cela mais ton subconscient s'y refuse, alors cette sensation sans doute que tu décris qui "t'écrase".
Laisses faire les pros, suis ce qui doit être fait, et crois mois tu n'en tireras que tu bénéf, tu risques quoi en faisant confiance ?
Mais que toute les dépressions ont le mêmes déclancheur, cela peut être divers et varié, parfois même, on ne sait pas la cause. Mais peut importe, le résultat lui est le même.
Tu as quelqu'un qui te conseil mieux que moi, Andy...., écoutes ses conseils il sait de quoi il parle.
Moi c'est une expérience, un vécu, et ne pas suivre suivre un traitement je ne eux que te dire tu as tors. J'ai été en hopital, en psychiatrie, des médocs j'en ai pris, pas que je le voulais, on veut rien, même hostile a tout, mais je me suis dis, seul je ne vois pas quoi faire alors rien a perdre d'obéir et de faire. Et avec les premiers resultats, cela rend lucide et on se prend plus en charge, on accepte, on s'ouvre a tout ce sui nous paraissait inutile.
Tu semble lucide de tout ça a te lire vu mon vécu, je ne le dis pas du coté pro que je ne suis pas, mais tu refuses de faire, du moins un manque de volonté, et oui ta dépression "te maitrise" quelque peu. Alors qu'est-ce que tu as a perdre de de faire confiance a un pro de santé et de suivre traitement prescrit et ses recommandations.
C'est un paradoxe. Tu es intéressé par plein de chose mais tu ne fais rien, ou presque si je ne me trompe. Pourtant cela en soi est une très bonne chose que de pouvoir occuper l'esprit, pas grave si tu passes d'un sujet a un autre, au contraire le changement et un enrichissement. Occupes toi l'esprit.
Bosser pour payer ses factures, je ne raisonnais même pas ainsi a mon époque de mal-être, je m'en foutais, alors tu vois, un peu d'efforts et de combattivité de plus que maintenant et psychiatre et médocs, et respecter les prises, (j'ai la chance que je déteste les bonbons, toi tu dois faire un efforts pour ne pas abuser), et tu devrai u voir plus clair en toi sous peu. Quand aux amis, comme dit déjà, ne leur en veux pas, comme tu dis ils ont leur vie, mais surtout, ils sont sans doute embêté de ne pas savoir quoi faire, comment réagir, car toi tu penses être normal pour ne pas embêter tout le monde, mais la vérité eux ils la voit, ils voient que tu n'es pas bien, ils savent sans doute ta dépréssion, mais quoi faire c'est autre chose. Donc tu les vois moins, c'est normal ils sont peut-être mal a l'aise par moment.
Je ne sais pas comment vie cela ta copine mais si tu ne fais rien pour aller mieux tu la perdra, je pense que tu es conscient de ça. Elle est ton seul équilibre en ce moment, si tu la perds, tu n'auras plus a quoi t'accrocher.
Évidemment que ce n'est pas simple de se donner la mort, ta dépression te pousse a cela mais ton subconscient s'y refuse, alors cette sensation sans doute que tu décris qui "t'écrase".
Laisses faire les pros, suis ce qui doit être fait, et crois mois tu n'en tireras que tu bénéf, tu risques quoi en faisant confiance ?
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13 juin 2017 à 01:31
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Peut-être que je nourris moi-même le monstre, mais ce n'est pas faute d'avoir essayé de le sevrer.
J'ai fait un séjour en hôpital psychiatrique, et si je fuis autant les médicaments, c'est parce que je sais que je ne vais pas hésiter à tenter quelque chose avec même si je saurai que la dose n'aura pas grand effet.
Je vais le faire juste dans le but de me faire mal, juste pour le plaisir de tutoyer la sensation de mort.
J'ai fait un séjour en hôpital psychiatrique, et si je fuis autant les médicaments, c'est parce que je sais que je ne vais pas hésiter à tenter quelque chose avec même si je saurai que la dose n'aura pas grand effet.
Je vais le faire juste dans le but de me faire mal, juste pour le plaisir de tutoyer la sensation de mort.
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Bonjour
Mais quand veut se donner une chance on fait tout pour cela. Même si tu n'y crois tu sais ce qui est bon de ce qui ne l'est pas. Alors avoir un médicament prescrit, tu sais la dose a prendre et ne pas prendre.
Tu manques de volonté, tu sais ce qu'il faut faire, tu dis les choses rationnellement mais tu n'agis pas de façon rationnel, c'est un manque de volonté.
Tu as beau être suivi, tu peux faire tout les hôpitaux de France, si tu ne décides pas a prendre en charge la parti qui ne peut être prise que par toi, tu n'en finiras pas ta souffrance.
Tu as compris les choses, tu sais la ou ça te fait mal, mais tu agis a contre courant, parce que tu y crois peu ou pas du tout, et bien sûr tu surf au gré des vagues, la ou ça peu aller sans volonté de maitriser la trajectoire.
Il faut te battre bonhomme, ça ne suffit pas de se reposer sur la médecine et les pros qui la pratique. Il faut que tu acceptes cette médecine, il faut que tu suives avec sérieux et determination, il faut que tu fasses de gros efforts, c'est de ta vie qu'il s'agit, pas celle des autres, il faut croire qu'après cette mauvaise passe la vie est meilleure. Sans volonté dans quelque domaines que ce soit, on arrive jamais a un résultat satisfaisant.
Tu as une copine, si cela n'est pas déjà en soi une motivation, c'est qu'elle ne compte pas vraiment pour toi, c'est mademoiselle quantité négligeable. Elle est la parce qu'elle t'aime plus que tu t'aimes toi même. Alors pour toi, pour la considération pour l'amour pour ta copine, relèves la tête est prends les décisions qu'il faut pour vraiment sortir de ce trou noir dans lequel tu es.
Je sais ce n'est pas si simple, mais je sais ce que c'est aussi. C'est pour cela que j'insiste sur ta volonté, motivation personnel, et le respect des actes médicaux, les 2 sont indissociable pour arriver a sortir de ce que tu vies. Chacun, vie, réagit a sa dépression de façon différente c'est sur, chaque dépression a sa source, mais elles se rejoignent au fait qu'elles te mettent le moral a plat et sans envie de réagir sinon a disparaitre, et toutes ces dépressions se combattent par une aide médicale, et la volonté du malade lui même. Volonté ou en tout cas, se résoudre contre sa volonté du moment a s'en sortir, se laisser guider, faire, même contre sa propre volonté.
Mais quand veut se donner une chance on fait tout pour cela. Même si tu n'y crois tu sais ce qui est bon de ce qui ne l'est pas. Alors avoir un médicament prescrit, tu sais la dose a prendre et ne pas prendre.
Tu manques de volonté, tu sais ce qu'il faut faire, tu dis les choses rationnellement mais tu n'agis pas de façon rationnel, c'est un manque de volonté.
Tu as beau être suivi, tu peux faire tout les hôpitaux de France, si tu ne décides pas a prendre en charge la parti qui ne peut être prise que par toi, tu n'en finiras pas ta souffrance.
Tu as compris les choses, tu sais la ou ça te fait mal, mais tu agis a contre courant, parce que tu y crois peu ou pas du tout, et bien sûr tu surf au gré des vagues, la ou ça peu aller sans volonté de maitriser la trajectoire.
Il faut te battre bonhomme, ça ne suffit pas de se reposer sur la médecine et les pros qui la pratique. Il faut que tu acceptes cette médecine, il faut que tu suives avec sérieux et determination, il faut que tu fasses de gros efforts, c'est de ta vie qu'il s'agit, pas celle des autres, il faut croire qu'après cette mauvaise passe la vie est meilleure. Sans volonté dans quelque domaines que ce soit, on arrive jamais a un résultat satisfaisant.
Tu as une copine, si cela n'est pas déjà en soi une motivation, c'est qu'elle ne compte pas vraiment pour toi, c'est mademoiselle quantité négligeable. Elle est la parce qu'elle t'aime plus que tu t'aimes toi même. Alors pour toi, pour la considération pour l'amour pour ta copine, relèves la tête est prends les décisions qu'il faut pour vraiment sortir de ce trou noir dans lequel tu es.
Je sais ce n'est pas si simple, mais je sais ce que c'est aussi. C'est pour cela que j'insiste sur ta volonté, motivation personnel, et le respect des actes médicaux, les 2 sont indissociable pour arriver a sortir de ce que tu vies. Chacun, vie, réagit a sa dépression de façon différente c'est sur, chaque dépression a sa source, mais elles se rejoignent au fait qu'elles te mettent le moral a plat et sans envie de réagir sinon a disparaitre, et toutes ces dépressions se combattent par une aide médicale, et la volonté du malade lui même. Volonté ou en tout cas, se résoudre contre sa volonté du moment a s'en sortir, se laisser guider, faire, même contre sa propre volonté.
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13 juin 2017 à 15:18
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C'est bien que tu parles de volonté. Effectivement je n'en ai pas. Ou plus exactement je n'en ai plus. Parce que je pense à toutes ces fois où j'ai eu la volonté, où j'y ai cru dur comme fer, et où j'ai fait des effort pour que les choses avancent dans le bon sens, mais où rien ne s'est produit. Du coup, je pense (à tort peut-être) que ça ne ne servirait pas plus à grand chose d'avoir de la volonté cette fois. Il arrive un moment où non pas qu'on ait plus envie de faire d'efforts supplémentaires, mais où on en a tout simplement plus la force.
Andy31200
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Modifié le 13 juin 2017 à 15:26
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L'aboulie est un des symptômes de la dépression, et il te faudrait penser à te soigner sérieusement.( clique sur le lien en gras)
lekabilien
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Les choses avancent forcément, tu ne t'en rends pas compte, ou tu voudrais que ça aille plus vite c'est tout.
Et puis, tu attends quoi de la vie si tu penses que rien ne change ? La vie c'est toi qui lui donne tant bien que mal une orientation, tu n'attends pas qu'elle file en baissant les bras, en ayant pas ton propre but, objectif a atteindre. Tu fais tu as, tu ne fais rien t'as rien, c'est simple.
Et puis la volonté, l'envie d'avancer, c'est tout le temps. Il faut toujours faire des efforts pour avoir mieux, sans cela tu stagnes, tu t'ennuies et tu régresses aussi bien financièrement qu'intellectuellement.
Et puis, tu attends quoi de la vie si tu penses que rien ne change ? La vie c'est toi qui lui donne tant bien que mal une orientation, tu n'attends pas qu'elle file en baissant les bras, en ayant pas ton propre but, objectif a atteindre. Tu fais tu as, tu ne fais rien t'as rien, c'est simple.
Et puis la volonté, l'envie d'avancer, c'est tout le temps. Il faut toujours faire des efforts pour avoir mieux, sans cela tu stagnes, tu t'ennuies et tu régresses aussi bien financièrement qu'intellectuellement.
HopeKills
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13 juin 2017 à 23:24
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Je comprends parfaitement ce que tu dis.
Et au risque de me répéter, il arrive un moment où on estime avoir fait trop d'efforts. Non pas qu'on ait pas eu de résultats probant, mais qu'on ait pas eu de résultats tout court, aussi minimes soient-ils. Forcément ça épuise. Et même si on se dit que ce serait peut-être mieux au prochain coup, se relever à chaque fois devient de plus en plus pénible.
Il apparaît donc quelque part logique qu'on perde espoir dans une potentielle issue favorable après s'être relevé et avoir tenté une nouvelle approche pour la énième fois.
Je pourrais donner l'impression de justifier mon manque de volonté, mais je dis juste ce que je ressens.
Et au risque de me répéter, il arrive un moment où on estime avoir fait trop d'efforts. Non pas qu'on ait pas eu de résultats probant, mais qu'on ait pas eu de résultats tout court, aussi minimes soient-ils. Forcément ça épuise. Et même si on se dit que ce serait peut-être mieux au prochain coup, se relever à chaque fois devient de plus en plus pénible.
Il apparaît donc quelque part logique qu'on perde espoir dans une potentielle issue favorable après s'être relevé et avoir tenté une nouvelle approche pour la énième fois.
Je pourrais donner l'impression de justifier mon manque de volonté, mais je dis juste ce que je ressens.
lekabilien
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13 juin 2017 à 23:53
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Bonsoir
Tu as baissé les bras. Tu oublies ou tu t'en fout des personnes qui comptent pour toi, ou devrai-je dire, qui devraient compter pour toi.
La motivation peut être diverse et variée, mais apparemment rien ne ne motive. Tu fais un travail sans conviction avec un psy, tu attends que la lumière brille seule car ta vie tu ne lui donne pas d'importance, et ceux qui t'aiment tu les oublies au lieu qu'ils soient une des sources de motivation.
Il n'y a pas de secret ni de miracle possible. Si tu ne veut pas t'en sortir tu ne t'en sortira pas. Si tu veux vivre, tu dois te surpasser, la vie tu n'en a qu'une, un jour viendra ou tu auras passé ton tour, alors pourquoi précipiter cela ?
Ta vie t'appartient, a toi de voir quoi en faire, mais penses quand même un tout petit peu a ceux que tu vas laisser dans le désarroi total.
Tu as baissé les bras. Tu oublies ou tu t'en fout des personnes qui comptent pour toi, ou devrai-je dire, qui devraient compter pour toi.
La motivation peut être diverse et variée, mais apparemment rien ne ne motive. Tu fais un travail sans conviction avec un psy, tu attends que la lumière brille seule car ta vie tu ne lui donne pas d'importance, et ceux qui t'aiment tu les oublies au lieu qu'ils soient une des sources de motivation.
Il n'y a pas de secret ni de miracle possible. Si tu ne veut pas t'en sortir tu ne t'en sortira pas. Si tu veux vivre, tu dois te surpasser, la vie tu n'en a qu'une, un jour viendra ou tu auras passé ton tour, alors pourquoi précipiter cela ?
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14 juin 2017 à 02:18
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Quand on a toujours été celui qui a pensé aux anniversaires de ses proches, celui qui a accordé de son temps aux autres au détriment de son propre emploi du temps, celui qui a toujours fait le premier pas vers les gens pour entretenir ces liens, qu'on a pris sur soit parce qu'on se disait que ces liens étaient au delà de petites querelles, mais qu'on se rend compte que même si on ne s'attendait pas à quelque sorte d'équivalent, ces gens là ont été les premiers à vous juger, que bien qu'ils vous avaient promis qu'ils seraient toujours là, ils ont quand même patiemment pris leurs distances (ce que encore une fois je ne leur reproche pas), est ce qu'il n'est pas un peu normal qu'on finisse par cultiver un certain enfermement, et une certaine distance vis à vis de ces gens?
On peut toujours me dire et m'expliquer que si ils ont pris leur distance c'est parce qu'ils ne savaient plus quoi faire et quoi dire. Je l'avais prévu et je l'avais ouvertement dit. Mais ils ont tout dit pour me faire croire le contraire, mais n'ont pas forcément agis dans ce sens.
On peut aussi me dire que mon attitude est égoïste. Ce que je comprend tout à fait. Comme il est tout à fait égoïste aussi de leur part de penser à leur desarroi, quand je ne serai plus là. C'est juste comme si chacun tirait la couverture de son côté.
Peut-être que j'ai tort. J'espère que j'ai tort.
Oui j'ai envie de vivre. Je me demande que ça. J'ai gardé en revanche les bras hauts tellement longtemps que j'en ai eu des crampes.
On peut toujours me dire et m'expliquer que si ils ont pris leur distance c'est parce qu'ils ne savaient plus quoi faire et quoi dire. Je l'avais prévu et je l'avais ouvertement dit. Mais ils ont tout dit pour me faire croire le contraire, mais n'ont pas forcément agis dans ce sens.
On peut aussi me dire que mon attitude est égoïste. Ce que je comprend tout à fait. Comme il est tout à fait égoïste aussi de leur part de penser à leur desarroi, quand je ne serai plus là. C'est juste comme si chacun tirait la couverture de son côté.
Peut-être que j'ai tort. J'espère que j'ai tort.
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16 juin 2017
14 juin 2017 à 02:51
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On va aussi me dire que c'est la vie et que c'est comme ça. Sauf que je trouve ça léger comme réponse
lekabilien
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14 juin 2017 à 10:32
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Bonjour Hopkills
Eh bé dis-donc !!! Tu as mis du temps pour t'ouvrir un peu et parler du pourquoi, tu ne vas pas, en tout cas, une partie important de tes problêmes.
Dans la vie tu fait du bien si l'on le dire ainsi, si tu le fais c'est que c'est dans ta personnalité. Tu ne dois rien attendre en retour, tu ne prêtes rien, tu donnes.
A celui qui est comme toi et savoir, a celui qui ne l'est pas ne le fait pas. Mais si tu attendais un retour, ce que tu as donné était un geste calculé, a la limite malsain. Il faut seulement savoir faire un tri dans don entourage avec le temps, de gens profiteurs volontaires de ceux qui sont innocents, qui n'ont pas la même culture des choses que toi mais qui ne profitent pas.
Il faut savoir rester celui qu'on est et prendre des distances de certains, mais si tu es dans la culture de "je te donne tu me rend", alors tu es comme ceux a qui tu fais des reproches.
Ses amis ont les choisit, sa famille, on peu mettre certaines barrières quand c'est necessaire. A toi de savoir t'entourer et faire du balai pour avoir la paix.
Mais tu te trompes d'attendre un retour obligé sur des actions que toi même tu as faites. Si tu fais c'est pour faire plaisir, te faire plaisir, tu n'as rien investi.
Eh bé dis-donc !!! Tu as mis du temps pour t'ouvrir un peu et parler du pourquoi, tu ne vas pas, en tout cas, une partie important de tes problêmes.
Dans la vie tu fait du bien si l'on le dire ainsi, si tu le fais c'est que c'est dans ta personnalité. Tu ne dois rien attendre en retour, tu ne prêtes rien, tu donnes.
A celui qui est comme toi et savoir, a celui qui ne l'est pas ne le fait pas. Mais si tu attendais un retour, ce que tu as donné était un geste calculé, a la limite malsain. Il faut seulement savoir faire un tri dans don entourage avec le temps, de gens profiteurs volontaires de ceux qui sont innocents, qui n'ont pas la même culture des choses que toi mais qui ne profitent pas.
Il faut savoir rester celui qu'on est et prendre des distances de certains, mais si tu es dans la culture de "je te donne tu me rend", alors tu es comme ceux a qui tu fais des reproches.
Ses amis ont les choisit, sa famille, on peu mettre certaines barrières quand c'est necessaire. A toi de savoir t'entourer et faire du balai pour avoir la paix.
Mais tu te trompes d'attendre un retour obligé sur des actions que toi même tu as faites. Si tu fais c'est pour faire plaisir, te faire plaisir, tu n'as rien investi.
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16 juin 2017
14 juin 2017 à 14:46
14 juin 2017 à 14:46
Non je n'ai pas fait tout ce que j'ai fait de manière calculée. Et je ne suis même pas croyant de quelque religion que ce soit, pour dire que je l'ai fait dans l'espoir d'aller au paradis. Je l'ai fait parce qu'il fallait que quelqu'un le fasse, parce que je suis comme ça, parce que je m'imagine difficilement dire non.
J'expliquais juste, peut-être maladroitement à quel point ça a été naïf de ma part de me confier à ces gens.
Ce que j'ai fait pour eux, je l'aurais fait peut-être pour un parfait inconnu. S'ils m'avaient dit dès le départ, ou tout du moins s'ils avaient admis qu'ils ne seraient pas toujours ou plus là aujourd'hui, je ne me serai pas bercé de l'espoir que j'aurais des proches vers lesquels me tourner.
J'expliquais juste, peut-être maladroitement à quel point ça a été naïf de ma part de me confier à ces gens.
Ce que j'ai fait pour eux, je l'aurais fait peut-être pour un parfait inconnu. S'ils m'avaient dit dès le départ, ou tout du moins s'ils avaient admis qu'ils ne seraient pas toujours ou plus là aujourd'hui, je ne me serai pas bercé de l'espoir que j'aurais des proches vers lesquels me tourner.
lekabilien
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14 juin 2017 à 16:04
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Quand on fait quelque chose pour quelqu'un, c'est qu'on a voulu le fait, et donc rien a attendre. Mais si cette personne abuse, trop demandeur ou demandeur de chose hors du commun ou même on a pas envie de faire, il faut savoir dire non. La personne se fâche, c'est son problême.
Ce que tu as fait a été fait de bon coeur, a partir de la l'affaire est classée, ensuite ils ne sont pas reconnaissant, tu n'as rien a foutre, tu n'attendais rien, non ?
De toute toute façon la gentilles trop poussée est une forme de naïveté. J'ai fait bien des choses moi même en me disant y'a de l'abus, mais tant que je veux le faire je fais le naïf, mais le jour ou je le juge opportun je sais dire stop, tant pis de ce que cela engendrera, c'est comme ça qu'il faut être.
"S'ils m'avaient dit dès le départ, ou tout du moins s'ils avaient admis qu'ils ne seraient pas toujours ou plus la aujourd'hui, je ne me serai pas bercé de l'espoir que j'aurai des proches vert lesquels me tourner".
La, tu te contredis totalement. Tu n'es pas calculateur, mais ce dernier passage tu dis vraiment l'inverse. Tu as fait des choses espérant avoir fait un bon investissement.
Revois ta vision des choses, en tout cas, sois en harmonie entre ce que tu veux de ce que tu dis, c'est un de tes problèmes, mais comme tu dis les choses au compte goute et rien de ton environnement, juste les faits mais pas la scène, tout cela devient mystérieux.
J'ai comme le sentiment qu'avec cette façon de narrer que ce qui puisse t'être favorable, tu n'es pas exempt de reproches, d'erreurs aussi de ta part envers cet "entourage" qui n'a pas de nom.
Nous faisons tous des erreurs, ouvres ton esprit a une véritable analyse des faits et tu verras que des erreurs ont probablement étaient faites de par et d'autres.
Si tu vois un psy et que tu lui dit les choses de la même manière que ce que tu as écrit ici jusqu'a présent, pardon de te le dire, tu ne lui dut rien, de ce fait vous n'avancez pas, et toi, tu restes dans tes tourments.
Vois ton psy, dis les choses telles qu'elles ont existaient, pas comme tu voudrais les dire, faire exister, c'est ainsi que tu avanceras.
Si tu n'as pas un suivi actuellement, fais le. Un forum a ses limites, il faut voir un pro en face a face, et il faut absolument s'ouvrir et dire les faits réels et ton ressenti. C'est pour ton propre bien.
Ce que tu as fait a été fait de bon coeur, a partir de la l'affaire est classée, ensuite ils ne sont pas reconnaissant, tu n'as rien a foutre, tu n'attendais rien, non ?
De toute toute façon la gentilles trop poussée est une forme de naïveté. J'ai fait bien des choses moi même en me disant y'a de l'abus, mais tant que je veux le faire je fais le naïf, mais le jour ou je le juge opportun je sais dire stop, tant pis de ce que cela engendrera, c'est comme ça qu'il faut être.
"S'ils m'avaient dit dès le départ, ou tout du moins s'ils avaient admis qu'ils ne seraient pas toujours ou plus la aujourd'hui, je ne me serai pas bercé de l'espoir que j'aurai des proches vert lesquels me tourner".
La, tu te contredis totalement. Tu n'es pas calculateur, mais ce dernier passage tu dis vraiment l'inverse. Tu as fait des choses espérant avoir fait un bon investissement.
Revois ta vision des choses, en tout cas, sois en harmonie entre ce que tu veux de ce que tu dis, c'est un de tes problèmes, mais comme tu dis les choses au compte goute et rien de ton environnement, juste les faits mais pas la scène, tout cela devient mystérieux.
J'ai comme le sentiment qu'avec cette façon de narrer que ce qui puisse t'être favorable, tu n'es pas exempt de reproches, d'erreurs aussi de ta part envers cet "entourage" qui n'a pas de nom.
Nous faisons tous des erreurs, ouvres ton esprit a une véritable analyse des faits et tu verras que des erreurs ont probablement étaient faites de par et d'autres.
Si tu vois un psy et que tu lui dit les choses de la même manière que ce que tu as écrit ici jusqu'a présent, pardon de te le dire, tu ne lui dut rien, de ce fait vous n'avancez pas, et toi, tu restes dans tes tourments.
Vois ton psy, dis les choses telles qu'elles ont existaient, pas comme tu voudrais les dire, faire exister, c'est ainsi que tu avanceras.
Si tu n'as pas un suivi actuellement, fais le. Un forum a ses limites, il faut voir un pro en face a face, et il faut absolument s'ouvrir et dire les faits réels et ton ressenti. C'est pour ton propre bien.
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16 juin 2017
14 juin 2017 à 23:55
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De toute évidence j'ai encore été mal compris.
Quand mes troubles ont commencés, j'ai mis plus de six mois avant d'en parler. Et quand je l'ai finalement fait, on m'a fait le reproche d'avoir gardé ça pour moi si longtemps.D'autant plus que la majeur partie d'entre eux n'a été au courant de tout ça qu'après ma première overdose médicamenteuse. Et là on m'a dit qu'on serait toujours là pour moi. J'ai juste rappelé aux gens qui si mon état ne s'améliorait pas, ils ne seraient pas toujours là, parce qu'ils avaient leurs propres problèmes.
Si j'ai mis autant de temps avant de m'ouvrir là dessus, c'est parce que je savais que j'étais le seul à porter ça, que ça se règle ou non. Si je ne leur en veux pas de ne plus être présents aujourd'hui, c'est d'une part parce que je reste seul avec, et d'autre part parce que j'avais prévu qu'ils prendraient leurs distances.
Je ne vois pas où est la contradiction. Je ne vois pas non plus où est le calcul puisque je n'avais pas prévu d'avoir ce que j'ai aujourd'hui.
Quand mes troubles ont commencés, j'ai mis plus de six mois avant d'en parler. Et quand je l'ai finalement fait, on m'a fait le reproche d'avoir gardé ça pour moi si longtemps.D'autant plus que la majeur partie d'entre eux n'a été au courant de tout ça qu'après ma première overdose médicamenteuse. Et là on m'a dit qu'on serait toujours là pour moi. J'ai juste rappelé aux gens qui si mon état ne s'améliorait pas, ils ne seraient pas toujours là, parce qu'ils avaient leurs propres problèmes.
Si j'ai mis autant de temps avant de m'ouvrir là dessus, c'est parce que je savais que j'étais le seul à porter ça, que ça se règle ou non. Si je ne leur en veux pas de ne plus être présents aujourd'hui, c'est d'une part parce que je reste seul avec, et d'autre part parce que j'avais prévu qu'ils prendraient leurs distances.
Je ne vois pas où est la contradiction. Je ne vois pas non plus où est le calcul puisque je n'avais pas prévu d'avoir ce que j'ai aujourd'hui.
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14 juin 2017 à 23:57
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Par ailleurs, si je disais que je suis exempt de reproches, je sous entendrais que je suis parfait. Ce qui n'est pas le cas.
Enfin bref. En fin de semaine j'ai rendez-vous avec un psychiatre, et on verra bien ce que ça donne
Enfin bref. En fin de semaine j'ai rendez-vous avec un psychiatre, et on verra bien ce que ça donne
lekabilien
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15 juin 2017 à 00:08
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Voila une bonne chose, un RDV avec un pro de santé.
Penses a toi et non a ton entourage.
Relativises les choses, et dis toi bien que personne dans ton entourage n'a la capacité de te comprendre et t'aider.
Soignes toi. Bon courage.
Penses a toi et non a ton entourage.
Relativises les choses, et dis toi bien que personne dans ton entourage n'a la capacité de te comprendre et t'aider.
Soignes toi. Bon courage.
iwanttodiscover
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Je tente de comprendre ce qui fait qu'on a envie de se faire du mal comme toi dans tes plus mauvais moments : te reproches tu quelques chose ? Au fond ?
Quand tu imagines (si tu y arrives), ta vie idéale, comment serait-elle ? Je veux dire si tu t'enlèves toutes contraintes de lieux et d'entourage "affectif" (c'est le seul mot que j'ai trouvé même si j'ai bien compris que ce n'est pas ce qui caractérise ton entourage).
Quand tu imagines (si tu y arrives), ta vie idéale, comment serait-elle ? Je veux dire si tu t'enlèves toutes contraintes de lieux et d'entourage "affectif" (c'est le seul mot que j'ai trouvé même si j'ai bien compris que ce n'est pas ce qui caractérise ton entourage).
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16 juin 2017 à 01:39
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Je vais être honnête envers toi, actuellement, je ne pourrais même pas dire comment je pense ma vie idéale.
Je crois que ça fait partie des raisons pour lesquelles je n'arrive justement pas à acter dans ce sens.
A certains moments, je pense à reprendre mes études de finance, ou à carrément changer de domaine et faire du design, ou même à rentrer en première année de droit. Des fois je me dis même que je pourrais faire infirmier. Alors je projette, je définis un plan ou un programme à suivre, et je suis plein d'engouement et d'espoir que mon état va s'améliorer. Je me dis des fois que peu importe ce que je vais entreprendre je réussirai. Les gens ont coutume de dire que je suis très intelligent.
Alors je me dis que s'ils le disent, c'est que ça doit être vrai.
Et puis sans raison apparente, ou parce qu'il y a un obstacle de rien de tout qu'en temps normal j'aurai surmonté, je craque et je me mets dans un état d'esprit totalement opposé.
Je n'ai pas toujours été comme ça. Le Moi d'il y a deux ans, était combatif, et je me souviens que les gens admiraient ça chez moi. Ma mère spécialement savait et répétait à qui voulais l'entendre que baisser les bras ne fesait pas partie de mon vocabulaire.
Des fois fois je me réveille et je me sens nul à chier, incapable d'accomplir quoi que ce soit, vide, et même pas bon pour que des mouches viennent pondre sur mon cadavre. Des fois j'envoie le monde se faire f****e, mais genre vraiment, je décroche aucun appel et je répond à aucun message, je coupe mon portable, je donne pas de nouvelles, je reste chez moi, et puis un beau jour je me sens seul et isolé u abandonné. Je sais que c'est contradictoire et même peut-être con mais voilà...
Je crois que ça fait partie des raisons pour lesquelles je n'arrive justement pas à acter dans ce sens.
A certains moments, je pense à reprendre mes études de finance, ou à carrément changer de domaine et faire du design, ou même à rentrer en première année de droit. Des fois je me dis même que je pourrais faire infirmier. Alors je projette, je définis un plan ou un programme à suivre, et je suis plein d'engouement et d'espoir que mon état va s'améliorer. Je me dis des fois que peu importe ce que je vais entreprendre je réussirai. Les gens ont coutume de dire que je suis très intelligent.
Alors je me dis que s'ils le disent, c'est que ça doit être vrai.
Et puis sans raison apparente, ou parce qu'il y a un obstacle de rien de tout qu'en temps normal j'aurai surmonté, je craque et je me mets dans un état d'esprit totalement opposé.
Je n'ai pas toujours été comme ça. Le Moi d'il y a deux ans, était combatif, et je me souviens que les gens admiraient ça chez moi. Ma mère spécialement savait et répétait à qui voulais l'entendre que baisser les bras ne fesait pas partie de mon vocabulaire.
Des fois fois je me réveille et je me sens nul à chier, incapable d'accomplir quoi que ce soit, vide, et même pas bon pour que des mouches viennent pondre sur mon cadavre. Des fois j'envoie le monde se faire f****e, mais genre vraiment, je décroche aucun appel et je répond à aucun message, je coupe mon portable, je donne pas de nouvelles, je reste chez moi, et puis un beau jour je me sens seul et isolé u abandonné. Je sais que c'est contradictoire et même peut-être con mais voilà...
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Bonjour
Pour mettre a ta place, il faudrait que je ressente tout ce que tu ressens, que je sois dans ton environnement familial, amical, travail et je ne sais quoi encore, donc, je ne peux répondre a ta question.
Oui des sujets de motivations, il y en a, a toi de voir lequel suivre, niveau travail.
Une autre motivation et non des moindre, une vie familiale, une femme, des enfants, mais dans ce domaine, je sais que cela t'est personnel donc pas a t'etaler, mais je pense que tu n'es pas heureux non. Ce type de combat ne se mène pas seule. Il faut être accompagner par un pro de santé ća c'est primordial, avoir ensuite un soutien amical si possible, mais le plus important c'est d'avoir un couple soudé, une femme a qui tu fais confiance, qui te guide dans ces moments ou tu es perdu, et que toi, tu fasses des efforts pour ne pas la perdre.
Tu sais, si tu veux, tu peux t'en sortir, mais j'ai comme l'impression que d'être dans cette situation ne te gène pas temps que ça. Tu es victime de je ne sais pas quoi, au lieu de te battre, l'instinct animal vivre, toi tu te plains de tous ton entourage qui peu-être t'a un peu rabaissé, mais tu te renfermes sur toi même pour pleurer au lieu, par toi même, les envoyer ch... Sur les roses et faire ta vie.
Ce qui est fait est fait. Que tu aies tors ou raison, tu estime avoir raison, rien ne peut t'obliger a garder cet entourage que tu estime néfaste est faire ta vie sans eux comme tu le veux.
Le fait que tu aies pris une claque, cela t'apprends a plus de maturité, de méfiance pour ta vie future.
Difficile de te donner d'autres conseils que ce que je t'ai déjà donné en ce qui me concerne. Si tu prends en compte tout cela, tu peux rebondir, il ne tient qu'a toi de faire le reste.
Bonne chance.
Pour mettre a ta place, il faudrait que je ressente tout ce que tu ressens, que je sois dans ton environnement familial, amical, travail et je ne sais quoi encore, donc, je ne peux répondre a ta question.
Oui des sujets de motivations, il y en a, a toi de voir lequel suivre, niveau travail.
Une autre motivation et non des moindre, une vie familiale, une femme, des enfants, mais dans ce domaine, je sais que cela t'est personnel donc pas a t'etaler, mais je pense que tu n'es pas heureux non. Ce type de combat ne se mène pas seule. Il faut être accompagner par un pro de santé ća c'est primordial, avoir ensuite un soutien amical si possible, mais le plus important c'est d'avoir un couple soudé, une femme a qui tu fais confiance, qui te guide dans ces moments ou tu es perdu, et que toi, tu fasses des efforts pour ne pas la perdre.
Tu sais, si tu veux, tu peux t'en sortir, mais j'ai comme l'impression que d'être dans cette situation ne te gène pas temps que ça. Tu es victime de je ne sais pas quoi, au lieu de te battre, l'instinct animal vivre, toi tu te plains de tous ton entourage qui peu-être t'a un peu rabaissé, mais tu te renfermes sur toi même pour pleurer au lieu, par toi même, les envoyer ch... Sur les roses et faire ta vie.
Ce qui est fait est fait. Que tu aies tors ou raison, tu estime avoir raison, rien ne peut t'obliger a garder cet entourage que tu estime néfaste est faire ta vie sans eux comme tu le veux.
Le fait que tu aies pris une claque, cela t'apprends a plus de maturité, de méfiance pour ta vie future.
Difficile de te donner d'autres conseils que ce que je t'ai déjà donné en ce qui me concerne. Si tu prends en compte tout cela, tu peux rebondir, il ne tient qu'a toi de faire le reste.
Bonne chance.
12 juin 2017 à 13:32
12 juin 2017 à 13:58
12 juin 2017 à 15:35