Cancer du poumon
marie
-
30 oct. 2015 à 22:42
LizaPaces Messages postés 13 Date d'inscription dimanche 1 novembre 2015 Statut Membre Dernière intervention 1 novembre 2015 - 1 nov. 2015 à 17:52
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LizaPaces
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L'hospitalisation peut durer plusieurs jours, enfin ça dépend de l'état et l'âge du patient.
Le recueil du liquide s'effectue soit par aspiration par une sonde reliée à un vide mural, le liquide étant recueilli dans un bocal (à visée évacuatrice), soit par aspiration à la seringue (à visée exploratoire) Pour réaliser une ponction pleurale, un certain matériel est nécessaire, il varie en fonction de la nature exploratrice ou évacuatrice de la ponction. L'opération nécessite un désinfectant cutané, des compresses, un trocart et de la lidocaïne à 1 % en général pour l'anesthésie, une seringue (dont le volume est variable), un système d'aspiration et bocal de réception du liquide en cas de drainage et des tubes pour prélèvement en cas de ponction diagnostique. Une radiographie pulmonaire est réalisée avant l'opération; permettant de visualiser l'importance de l'épanchement et son côté. Comme avant la plupart des opérations, il est important de renseigner le patient sur les étapes de son déroulement. Une ponction pleurale se réalise sur un patient en position assise et en l'abordant par la partie postérieure de son thorax. Le niveau de la ponction est repéré par percussion de la paroi (matité). Après désinfection, l'anesthésie est effectuée. L'aiguille, munie d'une seringue, est insérée au niveau du site de la ponction, juste au-dessus de la côte inférieure, afin d'éviter nerfs et vaisseaux sanguins (se situant en dessous de la côte supérieure). Lorsque l'aiguille arrive au niveau de la plèvre (reflux de liquide) on effectue les prélèvements ou le drainage. L'aiguille est ensuite retirée d'un coup et un pansement est mis en place. Une échographie pleurale est parfois réalisée en même temps, ou peu avant pour guider plus facilement la ponction pleurale, permettant d'avoir un taux de complication moindre. Cette technique est particulièrement intéressante en cas d'un épanchement de petite taille ou cloisonnée. Après l'opération, il est important de surveiller les constantes du patient. Une radio pulmonaire de contrôle est réalisée pour contrôler le niveau de l'épanchement et l'absence de pneumothorax, mais son utilité dans les cas simples reste discutée.
Le recueil du liquide s'effectue soit par aspiration par une sonde reliée à un vide mural, le liquide étant recueilli dans un bocal (à visée évacuatrice), soit par aspiration à la seringue (à visée exploratoire) Pour réaliser une ponction pleurale, un certain matériel est nécessaire, il varie en fonction de la nature exploratrice ou évacuatrice de la ponction. L'opération nécessite un désinfectant cutané, des compresses, un trocart et de la lidocaïne à 1 % en général pour l'anesthésie, une seringue (dont le volume est variable), un système d'aspiration et bocal de réception du liquide en cas de drainage et des tubes pour prélèvement en cas de ponction diagnostique. Une radiographie pulmonaire est réalisée avant l'opération; permettant de visualiser l'importance de l'épanchement et son côté. Comme avant la plupart des opérations, il est important de renseigner le patient sur les étapes de son déroulement. Une ponction pleurale se réalise sur un patient en position assise et en l'abordant par la partie postérieure de son thorax. Le niveau de la ponction est repéré par percussion de la paroi (matité). Après désinfection, l'anesthésie est effectuée. L'aiguille, munie d'une seringue, est insérée au niveau du site de la ponction, juste au-dessus de la côte inférieure, afin d'éviter nerfs et vaisseaux sanguins (se situant en dessous de la côte supérieure). Lorsque l'aiguille arrive au niveau de la plèvre (reflux de liquide) on effectue les prélèvements ou le drainage. L'aiguille est ensuite retirée d'un coup et un pansement est mis en place. Une échographie pleurale est parfois réalisée en même temps, ou peu avant pour guider plus facilement la ponction pleurale, permettant d'avoir un taux de complication moindre. Cette technique est particulièrement intéressante en cas d'un épanchement de petite taille ou cloisonnée. Après l'opération, il est important de surveiller les constantes du patient. Une radio pulmonaire de contrôle est réalisée pour contrôler le niveau de l'épanchement et l'absence de pneumothorax, mais son utilité dans les cas simples reste discutée.