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2 réponses
bonjour, Je ne sais pas quelle est cette mode complètement débile de boire.
Et en plus tu imagines que ça vient d'autre chose que de l'alcool...
Tu te ruines la santé pour faire comme les copains... un mouton quoi.
Tu arrêtes les co.....ries s'il en est encore temps, ou alors tu vas te retrouver clochard.
Ce n'est pas compliqué ça. Ce n'est pas une question de morale, mais de survie.
Et en plus tu imagines que ça vient d'autre chose que de l'alcool...
Tu te ruines la santé pour faire comme les copains... un mouton quoi.
Tu arrêtes les co.....ries s'il en est encore temps, ou alors tu vas te retrouver clochard.
Ce n'est pas compliqué ça. Ce n'est pas une question de morale, mais de survie.
begonie
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30 avril 2015 à 17:37
30 avril 2015 à 17:37
Bonjour.
L'alcool intoxique en premier le cerveau.
La consommation d'une quantité d'alcool importante en peu de temps est à haut risque pour la santé jusqu'à tomber dans le coma.
Il faudra le savoir.
Prend contact avec ton médecin personnel qui te connait bien, déjà pour un bilan général de ta santé et pour une orientation vers un alcoologue qui pourra t'aider à comprendre ce qui t'arrive, ce qui te pousse à consommer de si grandes quantités en si peu de temps et comment faire avec cette consommation qui est devenue ingérable et dangereuse.
L'alcool intoxique en premier le cerveau.
La consommation d'une quantité d'alcool importante en peu de temps est à haut risque pour la santé jusqu'à tomber dans le coma.
Il faudra le savoir.
Prend contact avec ton médecin personnel qui te connait bien, déjà pour un bilan général de ta santé et pour une orientation vers un alcoologue qui pourra t'aider à comprendre ce qui t'arrive, ce qui te pousse à consommer de si grandes quantités en si peu de temps et comment faire avec cette consommation qui est devenue ingérable et dangereuse.
30 avril 2015 à 17:16
18 juil. 2015 à 01:36
Ton témoignage me renvoit a mes premiers débuts ou plutôt deboires avec l'alcool. Je suis une femme d'apparence bien sous tout rapport qui souffre encore aujourd'hui d'alcolisme. En sus de l'heridite avec des problème d'alcool dans ma famillé ce à quoi tu n'es peut être pas confronté et bien j'ai développé mon alcolisme juste a la fin du lycée en prenant des cuites avec amis lors de soirée. Au début, Je vomissais mes tripes et donc c'était comme pour toi la fin de la partie. Ensuite ton corps finit par accepter l alcool et tu ne vomis plus. La est le danger car tu ne t arrêtes plus de boire,tu lâches prise et libére tes émotions. Résultat black out ou tu es en pilote automatique pendant des heures. Tu parles a des gens que tu ne reconnaîtras pas le lendemain, fais des choses insensées. Et le lendemain réveil dans des conditions déplorables ou tu te sens humilié d autant plus que tu ne sais pas ce que tu as dit ou fait.
Vriller c'est l addiction du verre de trop qui fait que tu vas perdre pied et partir en live. C'est tres bien que tu fasses cette démarche et de réfléchir aussi jeune car après le cercle vicieux s installe et il est plus difficile de virer de cap. Tu es a l aube de ta vie. Moi entre mes 18 et 33 ans ces blackt out m,ont causé de tres graves préjudices sur le plan perso, pro (conjoints que j'ai trompé, absence au boulot, réveil n importe où, amis qui ne supportent plus de te voir vriller,vols, relation sexuelle que je n'aurais jamais voulu sobre, parents meurtris et impuissants....). je vois un psychiatre spécialiste en addiction depuis 7 ans.
Et tu sais pourquoi je suis sur ce forum ce soir c'est que hier justement jai vrillé avec un beau black out et jai passé la journée alitée à culpabiliser. Ca arrive 1-2 fois par mois et plus jeune c'etait chaque semaine. Et si c'est a toi que je prends la peine décrire cest parce jai vu ton MSG. J'ai commencé comme toi et que le black out je ne connais que trop et ce n'est que souffrance, humiliation et danger. Pour ton info, mon médecin appelle ça une ivresse pathologique et il m a dit qu a chaque fois que je me mettais dans de tels états c'est comme si mon cerveau prenait des coups et était mis KO. En tout cas, à ton âgé mieux vaut prévenir comme toi que guérir comme moi. Après tu as peut être un profil différent moins addictif que moi mais je te mets juste en garde. Tout comme tes amis ne réagissent pas de la même facon que toi quand ils picolent tu as fait ce constat. Je n'ai jamais rencontré une femme qui vrillait comme moi. NB:cest plus rare chez les femmes et cest plus mal vu.
Je te rassure aussi sur le fait que malgré cette maladie, j'ai une bonne situation et suis heureuse en union. La difficulté d une femme alcoolique au quotidien c'est d'esquiver l alcool sans que les autres ne s en rendent compte. J'espère que mon témoignage t'a apporté quelque chose. Bon courage et prends soin de toi maintenant :-)
Moi de mon côté javais arrêté dans le perso du 01/01/15 à fin Mai (Milieu pro cest trop louche d'être abstinent). Et sur cette belle rechute d'hier et ce message que je t'adresse je redis stop. Merci tu m'as donné du courage :)