FIV échouée, comment gérer

cocci35 Messages postés 1 Date d'inscription samedi 12 juillet 2014 Statut Membre Dernière intervention 12 juillet 2014 - 12 juil. 2014 à 11:50
izagathe Messages postés 1 Date d'inscription samedi 19 juillet 2014 Statut Membre Dernière intervention 19 juillet 2014 - 19 juil. 2014 à 14:50
Bonjour, après une 1ère ponction le 30 avril dernier, nous avons fait 3 transferts.

Le 1er transfert, le 2 mai, 2 embryons. Mais mes règles ont débarquées avant la fin des 15 jours. Gros chagrin immédiat.

2ème transfert, 2 embryons début juin. seins douloureux, aucune perte, mais résultats négatifs. Chagrin gérable. J'en ai profité pour faire du jardin, et toutes les choses un peu trop physiques dont on se prive en attendant les résultats. Mes règles ont débarqué 4 jours plus tard, et là, le vrai pétage de plomb. il m'a fallu au moins une semaine pour récupérer.

3ème transfert début juillet, 1 embryon. Nous avons eu les résultats hier. Taux de hCG à 5 ! en gros positif mais pas assez pour se réjouir. Je fais des piqûres de hCG pour aider l'embryon à s'accrocher s'il est encore là, mais le médecin m'a dit de ne pas avoir trop d'espoir. On va donc vers un 3ème échec. Outre le chagrin, comment gérer les variations hormonales qui nous anéantissent ? A chaque échec, c'est comme une brûlure au fer. On s'en remet mais ça laisse des cicatrices, chez nous et dans note couple.

si vous avez des trucs pour lâcher prise, de l'homéopathie pour moins subir le contre coup, merci de m'aider.
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1 réponse

izagathe Messages postés 1 Date d'inscription samedi 19 juillet 2014 Statut Membre Dernière intervention 19 juillet 2014
19 juil. 2014 à 14:50
J'ai eu mes enfants grâce à une fiv pour moi cela a reussi dès la première fois, aujourd'hui j'ai 4 enfants. Accrochez vous dîtes vous que vous avez de la chance de pouvoir bénéficier d'une fiv, et la prochaine fois ne bouger pas trop je me suis toujours mis en mode ralenti après les 2 implantations et puis là tout n'est pas perdu ! peut être que cela à quand même été. Vous êtes deux épaulez vous nous dès qu'un avait du mal l'autre prenait le relais cela vaut le coup de s'accrocher ! Je vous souhaite de réussir et pense très fort à vous. Ce n'est pas facile je sais mais pour un enfant cela vaut le coup et vous le savez. Bon courage !
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