Addiction à la nourriture
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Ayleene
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A voir également:
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14 avril 2014 à 17:10
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Bonjour,
Ton souci pourrait faire évoquer ceci => https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-psycho-psychiatrie/2730199-hyperphagie-definition-tca-crise-symptomes-traitements/
Donc, le contexte psychologique n'est pas à négliger pour essayer d'arriver à une solution.
Ton souci pourrait faire évoquer ceci => https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-psycho-psychiatrie/2730199-hyperphagie-definition-tca-crise-symptomes-traitements/
Donc, le contexte psychologique n'est pas à négliger pour essayer d'arriver à une solution.
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14 avril 2014 à 17:31
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" le poids que j'ai, me dégoutent"
Une mauvaise estime de soi peut être un élément d'entretien de ce problème d'hyperphagie. Même si cela peut paraitre paradoxal.
Une mauvaise estime de soi peut être un élément d'entretien de ce problème d'hyperphagie. Même si cela peut paraitre paradoxal.
Ayleene
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14 avril 2014 à 17:41
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Je ne trouve pas ça paradoxal du tout, au contraire.
Y a plus de jour où je me dégoute de mon addiction que de mon poids, généralement j'arrive à passer outre ce à quoi je ressemble, justement parce que je me dis que c'est la cause de cette "hyperphagie", qui n'en est pas encore au point de me jeter tout le temps sur la nourriture.
J'imagine que ça peut venir de là, mais j'ai un peu de mal à le croire. Au contraire, ça me pousse à vouloir arrêter.
Y a plus de jour où je me dégoute de mon addiction que de mon poids, généralement j'arrive à passer outre ce à quoi je ressemble, justement parce que je me dis que c'est la cause de cette "hyperphagie", qui n'en est pas encore au point de me jeter tout le temps sur la nourriture.
J'imagine que ça peut venir de là, mais j'ai un peu de mal à le croire. Au contraire, ça me pousse à vouloir arrêter.
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14 avril 2014 à 17:43
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Il faudrait fouiller un peu plus sur le plan psychologique. Je pense que c'est la meilleure piste à suivre.
14 avril 2014 à 17:20
Je n'ai pas de problème à manger avec les autres, cependant, au contraire : quand je suis chez mes parents, ou quand je sors avec des amis pour manger, j'ai plus tendance à me restreindre (normes, règles et tout le blabla) que quand je suis chez moi. J'aimerai énormément pouvoir rester chez mes parents plus longtemps pour réapprendre à manger, malheureusement, mes études me gardent au loin.
De même, il y a une forte préférence vers les aliments gras. Pas forcément sucrés, mais gras oui. Je ne mange pas tout ce qui me passe sous la main.
Je ne vois pas de cause psychologique à ça. Je reconnais qu'on ne les vois pas forcément, mais j'ai cherché, vraiment, et rien ne me vient à l'esprit. Cette addiction, et par conséquent le poids que j'ai, me dégoutent, et me gardent de faire certaines choses, qui pourraient me manquer, mais quelque chose qui aurait pu être le déclencheur... A part ma dépression je ne vois rien, et ma dépression, eh bien, malgrès quelques jours dans le blues, je n'en vois plus trace...
14 avril 2014 à 17:20