Est-ce de l'alcoolisme ? (J'ai 17 ans).
forever
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Utilisateur anonyme -
Utilisateur anonyme -
Bonjour,
Voilà je viens d'avoir 17 ans, j'ai traversé ces derniers temps de nombreuses périodes à vide, notamment un avortement en janvier, et un procès il y a 2 semaines que j'attendais depuis maintenant 4 ans sur une agression sexuelle que j'ai subis étant plus jeune. J'ai pris la mauvaise habitude de boire quand je repense à tout ça. Une amie m'a fait remarqué en soirée le week-end dernier que je buvais plus qu'en temps normal, notamment que j'avais pris de la vodka pure, ce que je ne faisais pas avant. Elle avait remarqué ça depuis quelques temps déjà. Elle m'a même dis m'avoir suprise entrain de boire seule. Mes parents voient bien que leurs bouteilles se vident plus vite qu'ils ne boivent mais ne pensent pas à moi. Je me sens mal et j'ai peur de ne plus pouvoir m'arrêter, c'est comme un échapatoire malsain et je ne sais pas à qui en parler sans être jugée.
Voilà je viens d'avoir 17 ans, j'ai traversé ces derniers temps de nombreuses périodes à vide, notamment un avortement en janvier, et un procès il y a 2 semaines que j'attendais depuis maintenant 4 ans sur une agression sexuelle que j'ai subis étant plus jeune. J'ai pris la mauvaise habitude de boire quand je repense à tout ça. Une amie m'a fait remarqué en soirée le week-end dernier que je buvais plus qu'en temps normal, notamment que j'avais pris de la vodka pure, ce que je ne faisais pas avant. Elle avait remarqué ça depuis quelques temps déjà. Elle m'a même dis m'avoir suprise entrain de boire seule. Mes parents voient bien que leurs bouteilles se vident plus vite qu'ils ne boivent mais ne pensent pas à moi. Je me sens mal et j'ai peur de ne plus pouvoir m'arrêter, c'est comme un échapatoire malsain et je ne sais pas à qui en parler sans être jugée.
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5 réponses
bonjour
Es-tu suivis par un psychologue pour tes soucis?(procès, IVG)
ensuite il serait bien d'en parler soit à tes parents soit a ton médecin de famille (seul ou avec tes parents) pour avoir une aide car ses maintenant qu'il faut arrêter la machine tant que tu en as la volonté et que tu te rends compte qu'il y a quelque chose qui ne va plus
voici un n° qui pourrait t'aider a parler anonymement
Alcooliques anonymes : 0820 32 68 83
SOS Viol : 0 800 05 95 95
trouver sur le lien du site santé médecine
https://www.journaldesfemmes.fr/societe/actu/2955359-forum-jdf-telephones-des-urgences-et-assistances/
Es-tu suivis par un psychologue pour tes soucis?(procès, IVG)
ensuite il serait bien d'en parler soit à tes parents soit a ton médecin de famille (seul ou avec tes parents) pour avoir une aide car ses maintenant qu'il faut arrêter la machine tant que tu en as la volonté et que tu te rends compte qu'il y a quelque chose qui ne va plus
voici un n° qui pourrait t'aider a parler anonymement
Alcooliques anonymes : 0820 32 68 83
SOS Viol : 0 800 05 95 95
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https://www.journaldesfemmes.fr/societe/actu/2955359-forum-jdf-telephones-des-urgences-et-assistances/
Bonjour
Oui, c'est de l'alcoolisme. Rapproche-toi rapidement de ton médecin.
Tu as les Associations Alcoolique Anonyme qui pourront t'aider. Se trouve généralement dans les centres hospitaliers.
Tu as fait un "pas" de le reconnaitre, malgré ta souffrance et ce que tu traverses, échappe-toi de l'alcool.
Bon courage
@+
Oui, c'est de l'alcoolisme. Rapproche-toi rapidement de ton médecin.
Tu as les Associations Alcoolique Anonyme qui pourront t'aider. Se trouve généralement dans les centres hospitaliers.
Tu as fait un "pas" de le reconnaitre, malgré ta souffrance et ce que tu traverses, échappe-toi de l'alcool.
Bon courage
@+
Non je ne suis pas suivie psychologiquement. J'ai pris conscience qui y a vraiment un problème dans ma façon de boire, y a parfois même ou je seche les cours de peur qu'on le remarque. Je voudrais m'en sortir mais c'est pas évidant .. Mes parents on un problème avec "l'addiction" mon frère est "accro" au shit depuis ses 15 ans (il en a 21) et n'a jamais réussi à s'en sortir, pour eux les addicts sont insoignables et j'ai peur qu'ils ne me fassent plus confiance si je leur parle de mon problème avec l'alcool.
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salut
il faut soigner le pourquoi tu bois sinon...
psychologue et alcoologue au départ, un sevrage du moins dépendance physique se fait en quelques jours
il y a plus moderne que les alcooliques anonymes c'est vie libre
mais je te préviens, il y a beaucoup de gens non soignés aux réunions et de souvenirs de bitures qui gavent assez vite,sans compter un certain racolage pour enrôler des bénévoles à prendre avec des pincettes dans certains cas
il faut soigner le pourquoi tu bois sinon...
psychologue et alcoologue au départ, un sevrage du moins dépendance physique se fait en quelques jours
il y a plus moderne que les alcooliques anonymes c'est vie libre
mais je te préviens, il y a beaucoup de gens non soignés aux réunions et de souvenirs de bitures qui gavent assez vite,sans compter un certain racolage pour enrôler des bénévoles à prendre avec des pincettes dans certains cas
