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10 réponses
Celle dans laquelle j'ai vécu (les "30 glorieuses", les années précédent 1980 surtout) car je n'ai pas connu de guerre, il n'y avait pas de chômage et l'ascenseur social fonctionnait. Celui qui voulait travailler trouvait aisement un emploi stable et pouvait vivre dignement ;
La nôtre. Et ma réaction est la suivante:
Vouloir quitter le navire ne me paraît pas très solidaire, ni responsable. Comme je l'ai déjà publié dans une réponse précédente
ON EST TOUS SUR LA PHOTO (même quand ça ne va pas )
S'il y a beaucoup de chose à changer ou à améliorer :
QUE FAIS-JE, MOI-MËME, QUI PROUVE QUE J'AGI SUIVANT MES DIRES et qui va dans le sens de l'amélioration. En tout cas moi, je propose de rester où on est même si ça sent mauvais.
Quand on est d'accord pour évoluer il est BIZARRE que c'est TOUJOURS à l'autre de commencer.
N'est-ce pas ?
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Avec certitude, les années 80 et 90, tout comme la période 86/98, les + belles années de mon enfance et l'insouciance qui va avec.
S'il n'y avait pas eu crise de 1929 ni de menace de conflit mondial, j'aurais bien choisi les années 30, rien que pour le plaisir d'être bercé par la musique de Benny Goodman, d'Artie Shaw et de quelques autres ...
Véronique, pourquoi aller chercher dans un autre siècle des références pour l'éducation et le respect de soi et des autres ? Je t'approuve totalement lorsque tu fustiges la mentalité du chacun pour soi et la démission des parents vis-à-vis de l'éducation de leurs enfants. Cependant, n'oublie pas que cette même tendance s'est constituée en réaction à autre chose; et cette autre chose ce sont les abus d'une certaine éducation bourgeoise, notamment à partir de l'ère victorienne. À ce propos, je te recommande, si ce n'est déjà fait, la lecture de "La seconde révolution française" d'Henri Mendras, qui décrit avec brio le contraste entre l'avant- et l'après-mai 68. Un excès mène à l'excès contraire. Je pense que le plus sage est de trouver un juste milieu.