La maladie mentale est-elle un obstacle a l'amour ?
Résolu
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6 réponses
tout dépend de ce que vous entendez par maladie mentale la dépression n'est pas une maladie mentale .....et on peut être déprimé et amoureux...
Reste donc a définir les limites de la maladie mentale....Ou plus simplement ce qu'est la norme d'une nosographie psychiatrique sur la santé mentale, je croit qu'il existe un classement des maladies mentales dans le D.S.M. 3 R.et le C.I.M. 10, je regarderai aussi sur le net.
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Tout médicament a un effet secondaire....De la a se passer de médicament, qu'en on souffre psychiquement... C'est atroce la douleur psychique qu'on peut ressentir (chagrin d'amour par exemple), alors se servir d'un anti-douleur (antidépresseur voir neuroleptique) ou se mettre sous un train , le choix est vite fait (dans la dépression mélancolique)....Les médicaments servent a atténuer la douleur quand c'est possible , il ont des effets dangeureux (dit secondaire) c'est au médecin et non a une autre autorité de juger de leurs emplois, mais quand on a pas le choix ils sont une nécessitée vitale , malgré ce qu'en pense les médias, évidemment l'idéal c'est de s'en passer mais ils sont souvent une béquille nécessaire a l'existence pour bon nombres de "malades" psychiques (la dépression nerveuse en est un bon exemple) , pour une période provisoire voire définitive (comme une jambe de bois), " pour " tenir encore debout" c'est une prothése indispensable a la bonne marche du cerveau dans certaine pathologie dite grave, nécessitant l'intervention d'un spécialiste appelé psychiatre).Il y a bien sure l'idéologie de l'antipsychiatrie mais je croyais que l'on s'en était débarasser avec le 21éme siécle...C'est un autre débat...
La dépression est due soit à une carence de sérotonine, soit à une "captation" (consécutivement à un trauma ,le plus svt). Il existe aujourd'hui une pharmacopée très efficace pour contrer cette maladie (paroxétine, lexomil, xanax et génétiques)., et permettant au patient de reprendre assez rapidement (2 à 3 semaines) une vie sociale satisfaisante.
Bien évidemment le suivi par un psychiatre s'impose tant pour le dosage des prises de médicament que pour le sevrage éventuel.
