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XxMajesticksxX
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mercredi 11 novembre 2009
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14 août 2011
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16 déc. 2009 à 16:10
16 déc. 2009 à 16:10
Ecoute Koukit,
ce que dis l'anglais n'est pas faut ...
Mais bon soit moin timide va vers les autres,
Mais pas trop après les autres vont abuser de ton intelligence.
Mais ne t'inquiete pas si tu es encore timide quelqu'un va venir vers toi
Voi que tu n'es pas un con ou un bouffon, bref pris defends toi si les gens te traite ...
Ils verronts tu n'es pas un lache
Savoir se defendre dans la vie !
ce que dis l'anglais n'est pas faut ...
Mais bon soit moin timide va vers les autres,
Mais pas trop après les autres vont abuser de ton intelligence.
Mais ne t'inquiete pas si tu es encore timide quelqu'un va venir vers toi
Voi que tu n'es pas un con ou un bouffon, bref pris defends toi si les gens te traite ...
Ils verronts tu n'es pas un lache
Savoir se defendre dans la vie !
sousou888
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15 novembre 2010
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5 déc. 2009 à 22:02
5 déc. 2009 à 22:02
tu pourrais retourner en 3éme dans un autre collège non celui ou tu étais avant et ne pas dire aux autres que tu as sauté deux classes fais comme si tu as changer de collège uniquement par ce que vous avez déménagé
on te martirise parce que les autres sont jaloux car tu es intelligent ,faut pas les ecouter....
bye!
bye!
Salut jeune homme,
Je prends au vol et un peu tard cette discussion.
Ce sujet ne m'est pas étranger: mon fils aîné vient de 'sauter' une classe et mes deux autres enfants vont très vraisemblablement bientôt faire de même.
Ce que tu considères comme un évènement finalement assez difficile à vivre et assumer n'est qu'un juste retour de la façon dont tu as fait valoir tes compétences.
Il faut être pathologiquement angélique pour croire à l'égalité.
C'est un vague concept bien souvent destiné à caresser les médicocres dans le sens du poil, car la majorité étant la règle, on préfère s'acheter la paix sociale à coup de grandes idées plutôt que de s'intéresser au sort des quelques 200 000 enfants précoces(oui, tu as bien lu: estimation basse) de ce pays auxquels aucune structure n'est dédiée, et qui ont pour la plupart hélas de fortes 'chances' de connaître l'échec scolaire.
L'ennui en classe, le désintérêt... Il y a une expression, pour cela: "Mozart assassiné".
Peut- être a-t-il été imprudent de brûler les étapes, et l'intégration en seconde serait- elle une bonne solution de transition? Si tu exposes la situation à tes parents, assures- toi d'avoir une solution crédible et agréable à tous à leur proposer. Il y va également de leur amour- propre. Tu es leur enfant, et à ce titre, ils tirent une légitime fierté de ton potentiel.
Un retour en arrière peut être interprété par eux comme un échec. Présente- leur par exemple la seconde comme une période de consolidation des acquis. Des matières plus faciles à intégrer qu'en première te premettraient de te ménager plus de temps pour les activités extra- scolaire (cours de langue, musique, sport...).
La socialisation est essentielle: ne jamais se poser en victime, mais avoir conscience de son potentiel. Tu vas vers les autres, tu fais l'effort de... Ce sera payant, car démontrant ta volonté d'intégration.
Les remarques désobligeantes - l'expérience parle!-sont le fait d'enfants frustrés et vaguement conscients de leur incapacité à appréhender les choses aussi aisément que toi.
Les bons éléments t'apprécieront plus sûrement.
Entre autres conseils, je te dirais de fuir la crapule qui hante habituellement tous les lycées de France, de Navarre et d'ailleurs: ce sont en général de petites frappes sans avenir qui déterminent sur des critères dont eux- mêmes n'ont pas conscience ce qui 'le fait' et ce qui 'ne le fait pas', stupidissime expression qui établit la hiérarchie sociale bancale et morte- née des adolescences faussement rebelles.
Ne cherches pas leur assentiment. Tu te dévaluerais à tes propres yeux, perdrais l'estime de toi- même.
Je suppose que le qualificatif de 'bouffon' vient d'eux. Leur acception du terme en dit long sur ces brillants crétins qui ignorent sans doute tout du rôle joué à travers les siècles par les amuseurs de nos souverains, prompts à la répartie et pleins d'esprit, jouant bien souvent le rôle de conseiller sans s'attarder à devoir masquer à un roi une réalité qu'il ne peut toujours saisir...
Assumes ce que tu es. C'est un formidable atout, et la société a besoin de gens qui 'pédalent' plus vite que les autres.
Tu es dans une période transitoire: l'adolescence, ce n'est pas tous les jours rock'n roll... J'en souris maintenant, mais à l'époque, j'avais le nez dans Baudelaire et mon nombrilisme, tout comme bon nombre de mes contemporains! Et je ne parle pas des filles que je n'osais aborder... Encore un truc qui a bien changé avec le temps, le sport et des chemises Paul Smith... Mais je m'éloigne du sujet: toi.
Sache que tu n'es pas seul, que ceux qui vivent ta situation sont plus nombreux qu'on le pense... Ne pensez pas tous vous rassembler un jour main dans la main, vous n'auriez pas l'air fin...Et il manquerait Yves Duteil... Mais la conscience du nombre participe de ta socialisation.
Je te souhaite de prendre la chose dans le sens le plus positif qui soit, et de ne pas hésiter, le cas échéant, à prendre conseil auprès d'un pedopsychiatre. Ils sont facilement accessibles et leurs séances sont gratuites en milieu hospitalier.
Je puis t'assurer qu'ils sont de bon conseil et loin de l'idée que l'on se fait de leur rôle.
Beaucoup de précoces ont recours à leurs petites séances de discussion.
Bon courage à toi, et vas de l'avant!
S.
Je prends au vol et un peu tard cette discussion.
Ce sujet ne m'est pas étranger: mon fils aîné vient de 'sauter' une classe et mes deux autres enfants vont très vraisemblablement bientôt faire de même.
Ce que tu considères comme un évènement finalement assez difficile à vivre et assumer n'est qu'un juste retour de la façon dont tu as fait valoir tes compétences.
Il faut être pathologiquement angélique pour croire à l'égalité.
C'est un vague concept bien souvent destiné à caresser les médicocres dans le sens du poil, car la majorité étant la règle, on préfère s'acheter la paix sociale à coup de grandes idées plutôt que de s'intéresser au sort des quelques 200 000 enfants précoces(oui, tu as bien lu: estimation basse) de ce pays auxquels aucune structure n'est dédiée, et qui ont pour la plupart hélas de fortes 'chances' de connaître l'échec scolaire.
L'ennui en classe, le désintérêt... Il y a une expression, pour cela: "Mozart assassiné".
Peut- être a-t-il été imprudent de brûler les étapes, et l'intégration en seconde serait- elle une bonne solution de transition? Si tu exposes la situation à tes parents, assures- toi d'avoir une solution crédible et agréable à tous à leur proposer. Il y va également de leur amour- propre. Tu es leur enfant, et à ce titre, ils tirent une légitime fierté de ton potentiel.
Un retour en arrière peut être interprété par eux comme un échec. Présente- leur par exemple la seconde comme une période de consolidation des acquis. Des matières plus faciles à intégrer qu'en première te premettraient de te ménager plus de temps pour les activités extra- scolaire (cours de langue, musique, sport...).
La socialisation est essentielle: ne jamais se poser en victime, mais avoir conscience de son potentiel. Tu vas vers les autres, tu fais l'effort de... Ce sera payant, car démontrant ta volonté d'intégration.
Les remarques désobligeantes - l'expérience parle!-sont le fait d'enfants frustrés et vaguement conscients de leur incapacité à appréhender les choses aussi aisément que toi.
Les bons éléments t'apprécieront plus sûrement.
Entre autres conseils, je te dirais de fuir la crapule qui hante habituellement tous les lycées de France, de Navarre et d'ailleurs: ce sont en général de petites frappes sans avenir qui déterminent sur des critères dont eux- mêmes n'ont pas conscience ce qui 'le fait' et ce qui 'ne le fait pas', stupidissime expression qui établit la hiérarchie sociale bancale et morte- née des adolescences faussement rebelles.
Ne cherches pas leur assentiment. Tu te dévaluerais à tes propres yeux, perdrais l'estime de toi- même.
Je suppose que le qualificatif de 'bouffon' vient d'eux. Leur acception du terme en dit long sur ces brillants crétins qui ignorent sans doute tout du rôle joué à travers les siècles par les amuseurs de nos souverains, prompts à la répartie et pleins d'esprit, jouant bien souvent le rôle de conseiller sans s'attarder à devoir masquer à un roi une réalité qu'il ne peut toujours saisir...
Assumes ce que tu es. C'est un formidable atout, et la société a besoin de gens qui 'pédalent' plus vite que les autres.
Tu es dans une période transitoire: l'adolescence, ce n'est pas tous les jours rock'n roll... J'en souris maintenant, mais à l'époque, j'avais le nez dans Baudelaire et mon nombrilisme, tout comme bon nombre de mes contemporains! Et je ne parle pas des filles que je n'osais aborder... Encore un truc qui a bien changé avec le temps, le sport et des chemises Paul Smith... Mais je m'éloigne du sujet: toi.
Sache que tu n'es pas seul, que ceux qui vivent ta situation sont plus nombreux qu'on le pense... Ne pensez pas tous vous rassembler un jour main dans la main, vous n'auriez pas l'air fin...Et il manquerait Yves Duteil... Mais la conscience du nombre participe de ta socialisation.
Je te souhaite de prendre la chose dans le sens le plus positif qui soit, et de ne pas hésiter, le cas échéant, à prendre conseil auprès d'un pedopsychiatre. Ils sont facilement accessibles et leurs séances sont gratuites en milieu hospitalier.
Je puis t'assurer qu'ils sont de bon conseil et loin de l'idée que l'on se fait de leur rôle.
Beaucoup de précoces ont recours à leurs petites séances de discussion.
Bon courage à toi, et vas de l'avant!
S.
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DCI
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5 déc. 2009 à 21:00
5 déc. 2009 à 21:00
Bonsoir,
Supposons: tu viens de 1° S et tu reviens en 3° au collège... Imagine l'accueil des autres élèves de 3°....
Ta situation serait, à mon avis, bien pire que ce que tu connais en 1° S.
Supposons: tu viens de 1° S et tu reviens en 3° au collège... Imagine l'accueil des autres élèves de 3°....
Ta situation serait, à mon avis, bien pire que ce que tu connais en 1° S.
Utilisateur anonyme
12 déc. 2009 à 08:46
12 déc. 2009 à 08:46
Merci beaucoup mais mes parents refusent que je retourne en 3e. Je ne sais plus quoi faire...
Utilisateur anonyme
17 déc. 2009 à 18:14
17 déc. 2009 à 18:14
J'aimerais redoubler et changer de lycée mais mes parents m'y autorisent pas.
Utilisateur anonyme
21 févr. 2010 à 21:46
21 févr. 2010 à 21:46
Moi aussi on m'a proposé de sauter une classe et j'ai dit non direct (merci à mes parents )
Concrètement ça sert à quoi de sauter une classe?
A rien à part prendre de l'avance mais pourquoi?
Finir ses études plus tôt que les autres en ayant toujours été exclu c'est débile, ça t'empêche de te forger une vrai personnalité au contact des gens, ça peut te poursuivre toute ta vie...
"Veuillez accueillir votre nouveau camarade X, il a décidé de quitter le lycée pour le collège pour 1 an"
Pas top pour s'intégrer même si on est pas spécialement timide hein?
Parlez de ton mal être et tout je ne pense pas trop que ça va le faire non plus, essaye d'aller vers les autres, l'humour est un bon moyen pour ça.
Concrètement ça sert à quoi de sauter une classe?
A rien à part prendre de l'avance mais pourquoi?
Finir ses études plus tôt que les autres en ayant toujours été exclu c'est débile, ça t'empêche de te forger une vrai personnalité au contact des gens, ça peut te poursuivre toute ta vie...
"Veuillez accueillir votre nouveau camarade X, il a décidé de quitter le lycée pour le collège pour 1 an"
Pas top pour s'intégrer même si on est pas spécialement timide hein?
Parlez de ton mal être et tout je ne pense pas trop que ça va le faire non plus, essaye d'aller vers les autres, l'humour est un bon moyen pour ça.
