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3 réponses
Utilisateur anonyme
18 févr. 2009 à 16:07
18 févr. 2009 à 16:07
Désolée, il faut que je change de lunettes...
Alors voici pour ce qui concerne le cancer du REIN :
Le diagnostic est généralement tardif :
Selon une étude de l’Association française d’urologie, le diagnostic est fortuit dans 40 % des cas lors d’une échographie ou d’un scanner abdominal demandé pour des problèmes sans rapport avec la maladie. Dans 40 %, ce sont des signes urologiques révélateurs, qui conduisent au diagnostic. Viennent ensuite des signes généraux (altération de l’état de santé global, asthénie, anorexie, amaigrissement…) et ce que l’on appelle un syndrome paranéoplasique, qui se caractérise par une fièvre au long cours, une polyglobulie (augmentation du nombre de globules rouges), une hypercalcémie...
Au moment du diagnostic, on peut considérer trois cas de figure : les patients atteints d’une tumeur localisée dont le traitement est uniquement et strictement chirurgical, les patients ayant une tumeur d’emblée métastatique dont le traitement est médico-chirurgical et celui des patients qui ont une tumeur apparemment localisée mais qui évoluera dans le temps.
Mais la faible spécificité des symptômes font que ces cancers sont souvent découverts à des stades avancés. Classiquement, on estime qu’environ la moitié des cancers du rein sont ou deviendront métastatiques au sens large.
La prise en charge de ce cancer repose principalement sur la chirurgie plus ou moins étendue de la tumeur initiale mais si besoin également des métastases. L’immunothérapie était ensuite le traitement des formes avancées avec des résultats très limités. Mais de nouveaux médicaments capables d’affamer les tumeurs (des médicaments anti-angiogéniques) offrent de nouveaux espoirs.
J'espère avoir répondu à votre question.
Cordialement, Jasmine.
Alors voici pour ce qui concerne le cancer du REIN :
Le diagnostic est généralement tardif :
Selon une étude de l’Association française d’urologie, le diagnostic est fortuit dans 40 % des cas lors d’une échographie ou d’un scanner abdominal demandé pour des problèmes sans rapport avec la maladie. Dans 40 %, ce sont des signes urologiques révélateurs, qui conduisent au diagnostic. Viennent ensuite des signes généraux (altération de l’état de santé global, asthénie, anorexie, amaigrissement…) et ce que l’on appelle un syndrome paranéoplasique, qui se caractérise par une fièvre au long cours, une polyglobulie (augmentation du nombre de globules rouges), une hypercalcémie...
Au moment du diagnostic, on peut considérer trois cas de figure : les patients atteints d’une tumeur localisée dont le traitement est uniquement et strictement chirurgical, les patients ayant une tumeur d’emblée métastatique dont le traitement est médico-chirurgical et celui des patients qui ont une tumeur apparemment localisée mais qui évoluera dans le temps.
Mais la faible spécificité des symptômes font que ces cancers sont souvent découverts à des stades avancés. Classiquement, on estime qu’environ la moitié des cancers du rein sont ou deviendront métastatiques au sens large.
La prise en charge de ce cancer repose principalement sur la chirurgie plus ou moins étendue de la tumeur initiale mais si besoin également des métastases. L’immunothérapie était ensuite le traitement des formes avancées avec des résultats très limités. Mais de nouveaux médicaments capables d’affamer les tumeurs (des médicaments anti-angiogéniques) offrent de nouveaux espoirs.
J'espère avoir répondu à votre question.
Cordialement, Jasmine.
18 févr. 2009 à 16:39
18 févr. 2009 à 16:41
L'Association Française d'Urologie est tout de même mentionnée !