Je n'ai jamais eu une vie des plus simple mais la c'est insupportable

Bonjour, depuis ces deux dernières années beaupcoup d'élènemants difficiles. Le premier, un collègue que je connais depuis 18 ans, ime propose un 5 à 7 que je refuse. Mais j'apprendrai quant 20 ans nous avons pu remonter à 11 victimes. Les victimes ont besoin de mes preuves et la méthode n'est pas idéal. Après avoir prévue mon employeur au bout de 5 semaines aucune lettre aucun appel. Je décide de Césir le CSE et tout se précipite, Directeur de l'établissement vienne me rencontrer pour le coup en urgent. Autre souci j'ai des heures dues par mon employeur que je veux absolument récupéré, en effet le problème plus grand est mon frère aîné, il est atteint dans cancer du pancréas. Ces heures vont me servir pour l'accompagner au mieux. Après de très fortes intimidations, je l'ai obtiens. Avec une autre collègues nous découvrons de gros problèmes de dysfonctionnements sur des distributions de méthane, nous travaillons dans le social et dans le traitement de substitution pour des usagers de drogues. Comme tout lanceur d'alerte avec les preuves de ce que nous avons constaté. Comme tout lanceurs d'alerte à ce jour nous nous retrouvons sur le grille .
Puis c'est la maladie de mon frère qui fait partie de mes priorités, il entre soins Paliatif en février 2020 pour une septicémie , c'est un battant il sent sort. Mais impossible pour lui de rentrer à son domicile seul, il doit-être accompagné 24h24. La première personne qui l'accompagnera , va malheureusement tomber malade au bout d'une semaine, le Covide19. Je prend le râlais le jour de son départ, et je vais vivre des moments extraordinaires de richesse entre mon frère et moi, mais ils en arrivent aussi de très difficiles. Je passe ici les détails, je reste chez lui totalement en autarcie et ceux durant 2 mois, et pour ne pas l'abandonner a l'hôpital où les visites sont interdites aux mieux une fois par semaine emballé de jet sacs et masque, mon frère restera tant que possible à la maison et s'envolera dans la nuit du 11 au 12 mai. Ça n'a pas été la petite maison dans la praire, les famille peuvent- être dans ces moments cruelle. Mais mon frère ne devait rien voir de tout ça, alors j'ai pris sur moi.

Depuis son départ, bien-sûr la tristesse le vide le manque, c'est certain.
Mais je pense que j'étais dans un très mauvais état en arrivant chez lui, mais j'ai relevé mes manches, et j'ai tout mis de côté pour vivre avec lui ses derniers instants et le soulager de ses terribles angoisses qui le terrassaient.
Aujourd'hui c'est moi qui suis terrassait, je n'ai toujours pas repris le travail, je ne me sens plus en adêquation avec ce monde, je suis régulièrement prise d'angoisses qui me paralyse, je ne vais en ville que pour mes RDV médicaux, mais parfois c'est si violent que je voudrait que tout finisse que cette souffrance s'arrête. Mon frère est mieux là où il est aujourd'hui ce n'était plus tenables pour lui. Bien-sûr qu'il me manque terriblement, mais c'est moi aujourd'hui qui ne gère plus. Je ne sors de mon appartement que si cela m'est nécessaire, c'est violant pour moi de voir les gens reprendre le cour de leur vie, moi je ne trouve plus le fil, et des jours comme aujourd'hui j'aimerai que tout s'arrête, j'ai fait mon temps, je pense même par mes bonnes actions avoir gagné quelques marches pour le paradis