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3 réponses
Le paracétamol est une " bombe à retardement" et les symptômes surviennent à distance, appelle immédiatement le 15 comme il t"a déjà été conseillé pour conseil et conduite à tenir
" j’aimerai juste avoir quelque renseignements"
Enfonçons donc le clou :
"Sur 663 patients hospitalisés pour des lésions hépatiques graves provoquées par le paracétamol, les trois quarts avaient absorbé une dose massive de paracétamol. Le quart restant avait juste ingéré des quantités supérieures aux doses thérapeutiques (c'est-à-dire plus de 4 grammes par jour) sur les sept derniers jours, principalement pour calmer des douleurs. Les auteurs de l'étude ont constaté que ces surdosages réguliers étaient plus dangereux pour les personnes que l'intoxication massive en seule fois. Notamment en raison d'une arrivée trop tardive à l'hôpital.
Ces surdosages de paracétamol font également des ravages en France. «C'est la première cause d'indication de greffe hépatique en raison d'une hépatite aiguë grave», confirme au Figaro le professeur Dominique Larray, hépato-gastro-entérologue du CHU de Montpellier. Ce médecin a participé à l'étude Salt, présentée en octobre lors du congrès de pharmacovigilance à Istanbul. Réalisée sur 3 ans dans les centres de transplantation hépatiques de sept pays européens, cette enquête avait pour but d'étudier le rôle des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) dans les transplantation hépatique pour hépatites graves chez les adultes. Et, surprise, les AINS sont innocentés. Le responsable de plus de 90% des surdosages aboutissant à une transplantation hépatique est le paracétamol. «Mais il était également retrouvé fréquemment en-dehors de tout surdosage, avec une fréquence de survenue entre le double et le triple de celle des AINS. Le risque hépatique du paracétamol ne semble donc pas se limiter au seul surdosage», précise le professeur Nicolas Moore, pharmacologue au CHU de Bordeaux.
Pas plus de 1 gramme à la fois "
Enfonçons donc le clou :
"Sur 663 patients hospitalisés pour des lésions hépatiques graves provoquées par le paracétamol, les trois quarts avaient absorbé une dose massive de paracétamol. Le quart restant avait juste ingéré des quantités supérieures aux doses thérapeutiques (c'est-à-dire plus de 4 grammes par jour) sur les sept derniers jours, principalement pour calmer des douleurs. Les auteurs de l'étude ont constaté que ces surdosages réguliers étaient plus dangereux pour les personnes que l'intoxication massive en seule fois. Notamment en raison d'une arrivée trop tardive à l'hôpital.
Ces surdosages de paracétamol font également des ravages en France. «C'est la première cause d'indication de greffe hépatique en raison d'une hépatite aiguë grave», confirme au Figaro le professeur Dominique Larray, hépato-gastro-entérologue du CHU de Montpellier. Ce médecin a participé à l'étude Salt, présentée en octobre lors du congrès de pharmacovigilance à Istanbul. Réalisée sur 3 ans dans les centres de transplantation hépatiques de sept pays européens, cette enquête avait pour but d'étudier le rôle des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) dans les transplantation hépatique pour hépatites graves chez les adultes. Et, surprise, les AINS sont innocentés. Le responsable de plus de 90% des surdosages aboutissant à une transplantation hépatique est le paracétamol. «Mais il était également retrouvé fréquemment en-dehors de tout surdosage, avec une fréquence de survenue entre le double et le triple de celle des AINS. Le risque hépatique du paracétamol ne semble donc pas se limiter au seul surdosage», précise le professeur Nicolas Moore, pharmacologue au CHU de Bordeaux.
Pas plus de 1 gramme à la fois "