Si j'ai bien lu, l'histamine est de 2 sortes: celle de type 1 et celle de type 2

Bonjour,

En théorie, dans le corps, tout est fait pour "nous aider" (par exemple, on critique beaucoup "la fièvre" qui permet pourtant de freiner la prolifération des microbes [bactéries et virus] et d'aider à leur destruction; peu de gens savent qu'en fait, si on la fait tomber, c'est uniquement pour prévenir le rare pourcentage de personnes qui ne la supporte pas et qui risquent, par convulsion, de s'étouffer et/ou plus improbable encore, le risque de déshydratation), or partout, je ne lis QUE les soucis liés à la production d'histamine et des réactions allergiques associées.

J'ai lu également qu'il y a 2 types d'histamine: celle de type 1, responsable essentiellement des allergies (mais rien de positif?), et celle de type 2 qui peut causer des ulcères mais qui au départ sert à dissoudre des aliments potentiellement dangereux pour le corps, donc dans le processus de digestion.

Ceci est-il exact?

Dans ce cas, pourquoi ne pas développer un "vaccin" anti-histaminique de type 1 pour les poly-allergiques, c'est-à-dire quand-même la majorité des populations touchées, à part si ce n'est qu'un tel vaccin permettrait la quasi suppression de tous les médicaments anti-histaminiques et donc.... une perte sèche pour de nombreux laboratoires pharmaceutiques?
Donc en gros, on "s'interdirait" de développer une solution simple et efficace pour, comme souvent, des raisons financières, même si, à court terme, cela permettrait aux groupes pharmaceutiques une rentrée d'argent substantielle et supplémentaire, et à la société de nombreuses économies, et à la population concernée, une bien meilleure qualité de vie?

Merci pour votre réponse,
Cordialement,
Violette

NB: Je suis jeune, mais j'ai un raisonnement de "l'ancien temps": simple, efficace, dans la durée; attaquer le mal à la racine pour empêcher sa prolifération