Cuisse endormie
Bonjour,
J'ai fais un séjour à l'hôpital d'une semaine suite à un mal au dos car j'ai les disques usées par le temps, et là on m'a injecté de la morphine tellement que j'avais mal et instantanément, j'ai eu la sensation que la morphine s'est placé dans ma cuisse gauche.
Depuis je n'ai plus eu mal au dos mais ma cuisse est comme endormie, insensible, anextestiante surtout le soir et difficile de la toucher de se gratter par exemple, et cela je peu l'affirmer cela vien du moment où l'on m'a injecté la morphine aucun médecin ne pourra me faire dire le contraire.
Il t'il une réponse
Si un médecin peut me donner une réponse elle serai la bien venu
Merci
J'ai fais un séjour à l'hôpital d'une semaine suite à un mal au dos car j'ai les disques usées par le temps, et là on m'a injecté de la morphine tellement que j'avais mal et instantanément, j'ai eu la sensation que la morphine s'est placé dans ma cuisse gauche.
Depuis je n'ai plus eu mal au dos mais ma cuisse est comme endormie, insensible, anextestiante surtout le soir et difficile de la toucher de se gratter par exemple, et cela je peu l'affirmer cela vien du moment où l'on m'a injecté la morphine aucun médecin ne pourra me faire dire le contraire.
Il t'il une réponse
Si un médecin peut me donner une réponse elle serai la bien venu
Merci
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2 réponses
Donc la morphine n'y est pour rien.
Par contre, cette "anesthésie" de la cuisse, qui peut faire évoquer une cruralgie, est vraiemblablement à mettre sur le compte d'un conflit entre un disque intervertébral et une racine nerveuse à destinée de cette zone.
Mais, je le répète, l'injection de morphine n'y est absolument pour rien.
"Pour un homme, n'être entouré que de femmes induit un angoissant
sentiment de solitude"
Par contre, cette "anesthésie" de la cuisse, qui peut faire évoquer une cruralgie, est vraiemblablement à mettre sur le compte d'un conflit entre un disque intervertébral et une racine nerveuse à destinée de cette zone.
Mais, je le répète, l'injection de morphine n'y est absolument pour rien.
"Pour un homme, n'être entouré que de femmes induit un angoissant
sentiment de solitude"
