Prostate
dandinette
-
13 févr. 2015 à 19:43
superjéjé Messages postés 334 Date d'inscription samedi 23 août 2008 Statut Membre Dernière intervention 6 janvier 2019 - 16 févr. 2015 à 23:26
superjéjé Messages postés 334 Date d'inscription samedi 23 août 2008 Statut Membre Dernière intervention 6 janvier 2019 - 16 févr. 2015 à 23:26
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DCI
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23 novembre 2024
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13 févr. 2015 à 20:08
13 févr. 2015 à 20:08
Bonjour,
OK
Et la question est ...???
OK
Et la question est ...???
superjéjé
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6 janvier 2019
81
16 févr. 2015 à 23:26
16 févr. 2015 à 23:26
salut,
la question semble être : "ai-je des risques d'avoir un cancer de prostate"
ou autrement dit "ai je raison de m'inquieter".
Question a laquelle je ne me hasarderais pas à répondre.
Désolé c'est la confrontation de l'examen, d'une echographie, de la comparaison avec les résultats antérieurs, des antécédents familiaux et personnels etc etc etc...qui conduira le prescripteur à proposer des investigations complémentaires, ou une surveillance simple et dans ce cas d'en déterminer la fréquence.
Courage en attendant.
note personnelle :
Je m'aperçois chaque jour un peu plus, de l'inquiétude générée par les examens (notamment les examens de dépistages) qui peut parfois rendre l'existence invivable et nous faire réfléchir sur (non pas la pertinence médicale mais la pertinence psychologique ) l'attitude de refus de subir certains examens de la part de certains patients qui sans doute considèrent comme plus acceptable de faire l'autruche en préservant leur bien être psychologique (au risque évident d'arriver trop tard sur une pathologie détectable) que de vivre dans l'angoisse permanente du prochain examen. [expérience personnelle à l'appui]
Bien que pour ma part cela ne se discute médicalement pas il faut accepter que tout le monde n'est peut être pas en mesure d'assumer ces attentes.
la question semble être : "ai-je des risques d'avoir un cancer de prostate"
ou autrement dit "ai je raison de m'inquieter".
Question a laquelle je ne me hasarderais pas à répondre.
Désolé c'est la confrontation de l'examen, d'une echographie, de la comparaison avec les résultats antérieurs, des antécédents familiaux et personnels etc etc etc...qui conduira le prescripteur à proposer des investigations complémentaires, ou une surveillance simple et dans ce cas d'en déterminer la fréquence.
Courage en attendant.
note personnelle :
Je m'aperçois chaque jour un peu plus, de l'inquiétude générée par les examens (notamment les examens de dépistages) qui peut parfois rendre l'existence invivable et nous faire réfléchir sur (non pas la pertinence médicale mais la pertinence psychologique ) l'attitude de refus de subir certains examens de la part de certains patients qui sans doute considèrent comme plus acceptable de faire l'autruche en préservant leur bien être psychologique (au risque évident d'arriver trop tard sur une pathologie détectable) que de vivre dans l'angoisse permanente du prochain examen. [expérience personnelle à l'appui]
Bien que pour ma part cela ne se discute médicalement pas il faut accepter que tout le monde n'est peut être pas en mesure d'assumer ces attentes.
