Je voudrais mourir
joseefrigon
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joraline Messages postés 47855 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
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Bonjour,
Je veux mourir depuis que j'ai 10 ans et peut-être plus jeune encore. J'ai 31 maintenant. J'ai fait quelques tentatives. 4 sérieuses. Je m'automutile depuis que j'ai 3 ou 4 ans. Je suis incapable d'entretenir des relations amicales. Je suis incapable d'avoir des relations amoureuses. Je suis borderline. Je ne suis même pas certaine de mon orientation sexuelle. Je crois que toutes les relations que j'ai avec les personnes de mon entourage sont centrées sur mes enjeux de manque d'amour et de sentiment de manque de sécurité. J'ai un pattern très clair avec tous les professeurs peu importe leur sexe.
Je crois avoir été abusé étant enfant car lors de mes quelques relations sexuels je me suis mise à trembler comme une feuille sans raison cohérente. Je n'ai jamais eu de relation sexuelle à jeun non plus. Je n'en serais pas capable.
Ce qui me retiens de me tuer :
Ne pas faire de peine à mes parent malades
Sentiment de culpabilité parce que je suis marraine d'un petit bébé mignon comme tout.
Mais, je n'ai pas envie de vivre. Je me suis enfermée dans mon coin depuis 3 ans.
J'ai cherché de l'aide mais, en vain. J'ai vu et payé plusieurs psy. J'ai rencontré des travailleuses social et des spécialistes en gestion de crise suicidaire. La dernière psychothérapeute que j'ai vu pendant une année complète m'a jeté comme un vieux kleenex. Elle n'a jamais voulu me dire pourquoi. Je lui disais depuis plusieurs semaines que je n'avais plus envi de vivre. Elle s'avait très bien que j'allais passé à l'acte et tout ce qu'elle m'a dit c'est que c'était mon problème et pas le siens si j'avais envi de me "flinguer". Je suis allée voir une travailleuse sociale dans un clsc pour avoir de l'aide puisque la psy que je payais 75$ chaque semaine depuis un an s'en foutait. Ce qu'elle à fait : me faire arrêter par la police et j'ai été enfermée pendant 24h de force, à moitié toute nue dans un corridor de l'hopital Jean-talon. Je devais subir l'humiliation de montrer les coupures que j'avais sur les bras à tout le monde.
Je veux mourir sans que ça fasse de vague. sans déranger personne. Je voudrais ne jamais avoir exister. Je me déteste. Je suis inutile.
Je veux mourir depuis que j'ai 10 ans et peut-être plus jeune encore. J'ai 31 maintenant. J'ai fait quelques tentatives. 4 sérieuses. Je m'automutile depuis que j'ai 3 ou 4 ans. Je suis incapable d'entretenir des relations amicales. Je suis incapable d'avoir des relations amoureuses. Je suis borderline. Je ne suis même pas certaine de mon orientation sexuelle. Je crois que toutes les relations que j'ai avec les personnes de mon entourage sont centrées sur mes enjeux de manque d'amour et de sentiment de manque de sécurité. J'ai un pattern très clair avec tous les professeurs peu importe leur sexe.
Je crois avoir été abusé étant enfant car lors de mes quelques relations sexuels je me suis mise à trembler comme une feuille sans raison cohérente. Je n'ai jamais eu de relation sexuelle à jeun non plus. Je n'en serais pas capable.
Ce qui me retiens de me tuer :
Ne pas faire de peine à mes parent malades
Sentiment de culpabilité parce que je suis marraine d'un petit bébé mignon comme tout.
Mais, je n'ai pas envie de vivre. Je me suis enfermée dans mon coin depuis 3 ans.
J'ai cherché de l'aide mais, en vain. J'ai vu et payé plusieurs psy. J'ai rencontré des travailleuses social et des spécialistes en gestion de crise suicidaire. La dernière psychothérapeute que j'ai vu pendant une année complète m'a jeté comme un vieux kleenex. Elle n'a jamais voulu me dire pourquoi. Je lui disais depuis plusieurs semaines que je n'avais plus envi de vivre. Elle s'avait très bien que j'allais passé à l'acte et tout ce qu'elle m'a dit c'est que c'était mon problème et pas le siens si j'avais envi de me "flinguer". Je suis allée voir une travailleuse sociale dans un clsc pour avoir de l'aide puisque la psy que je payais 75$ chaque semaine depuis un an s'en foutait. Ce qu'elle à fait : me faire arrêter par la police et j'ai été enfermée pendant 24h de force, à moitié toute nue dans un corridor de l'hopital Jean-talon. Je devais subir l'humiliation de montrer les coupures que j'avais sur les bras à tout le monde.
Je veux mourir sans que ça fasse de vague. sans déranger personne. Je voudrais ne jamais avoir exister. Je me déteste. Je suis inutile.
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4 réponses
Bonsoir, peut etre que certains psy sont moins competant que d autres mais il ne faut pas laissertomber et trouver un psy qui te convienne mieu. Et sinon est ce que tu t es deja confié a quelqu un de ton entourage?! Parce qu il ne faut pas que tu garde tes probleme pour toi, si tu te confi c'est deja un debut pour aller vers le mieu. Tu as vecu des choses pas evidente et il ne faut pas que tu garde ces choses pour toi.
Coucou ...
Accroche toi
Il faut qu'on t'aide tu en a vraiment besoin
Si tu cherche déjà de l'aide c'est que tu cherche a avancer et c'est déjà positif
Il faut voir du monde et t'ouvrir aux autres
Et ta psy qui s'en fou c'est peut être qu'une impression c'est ton ressenti a toi .
Change si ça ne va pas il faut te sentir a l'aise avec ton psy c'est important
Accroche toi
Il faut qu'on t'aide tu en a vraiment besoin
Si tu cherche déjà de l'aide c'est que tu cherche a avancer et c'est déjà positif
Il faut voir du monde et t'ouvrir aux autres
Et ta psy qui s'en fou c'est peut être qu'une impression c'est ton ressenti a toi .
Change si ça ne va pas il faut te sentir a l'aise avec ton psy c'est important
J'ai eu une évaluation psychiatrique qui a déterminé que j'étais borderline il y a plusieurs années déjà.
Autrement, j'ai vu un psychiatre après les 24h enfermée à l'hopital après ma tentative de suicide. Je l'ai vu pendant 10 minutes. Tout ce qu'il a proposé c'est de me mettre sous médication. Je n'aurais pas été supervisé et, à l'époque, je n'avais même pas de médecin de famille.
Finalement, il m'aurait laissé me débrouiller toute seule. Clairement le domaine médicale ne sais pas plus que quiconque gérer ce genre de situations.
Pour comprendre où tu en es, actuellement, en tenant compte du contenu de la question.
C'est auprès d'un psychiatre-psychothérapeute que tu trouveras ce soutien et de l'aide.
La collaboration entre psy et patient (client) restant une priorité.