Aide svp impression de ne pas être dans le monde réel
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Sortique
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Bonjour,
J'aurais vraiment besoin d'aide j'ai cherché partout moi-même, demandé des conseils à des médecins, psychologues, amis, etc.. et ça ne m'a mené qu'a dépenser beaucoup d'argent pour rien, en soit ça ne me dérange pas mais mon problème n'est toujours pas résolu et j'en ai plus que marre, en fait je suis au fond et je pense au suicide tout le temps.
Je m'appelle Thibaud, j'ai 17 ans et je suis en première S au lycée.
Pendant les vacances d'été je me suis couché à environ 2 h pour me lever vers les 12-14 h sans soucis de sommeil. A partir de la première nuit je n'ai pas pu dormir, c'est la que les problèmes ont commencés, pendant la première semaine de cours j'ai eu de grosses insomnies, j'étais fatigué mais pas plus. Après une semaine j'ai commencé à me sentir vraiment bizarre, pas fatigué mais comme si j'étais drogué en permanence, ça en devenait vraiment effrayant des fois le temps passait beaucoup plus lentement, des fois ou j'écoutais de la musique j'avais l'impression d'y avoir passé des heures mais en réalité ça ne faisait que 10 minutes, et cette impression constante d'être dans un rêve, avec une barrière entre moi et le monde réel, si proche et en même temps inaccessible...Cela me cause évidemment de gros problèmes au niveau scolaire, déjà que je suis assez tête en l'air de base alors avec cela en plus il m'est quasiment impossible de me concentrer et de pouvoir vraiment réfléchir à une chose précise.
Depuis donc cette rentrée scolaire je me réveille la nuit, mais depuis 2 mois ce n'est plus que 1 fois par nuit. Il n'y a par contre eu aucune nuit ou je ne me sois pas du tout réveillé depuis. Mon problème n'est donc pas le sommeil en lui-même mais l'état dans lequel je suis mentalement à cause (peut-être) de mes troubles du sommeil. Je n'ai pas un instant de répit c'est un vrai calvaire, en permanence dans cet état c'est insupportable. J'ai consulté sur internet, ou j'ai vu beaucoup de ressemblances avec une maladie, la déréalisation, et des médecins en vrai qui mon donné des anti-stress jusqu'à finalement des somnifères mais qui n'ont eut aucun effet, un psychiatre qui ne m'a pas plus aidé, et finalement une bioénergéticienne qui n'a rien fait non plus. J'espère que je ne passerai pas ma vie entière dans cet état là, elle n'aura alors pas valut la peine d'être vécue; je serai condamné à être mort pour le reste de ma vie. Si quelqu'un voulait bien m'aider, me donner des conseils, et si par chance il voyait ce que j'ai et aurait un remède, je lui en serait mille fois reconnaissant de bien vouloir me le communiquer, merci d'avoir prit le temps de lire .
J'aurais vraiment besoin d'aide j'ai cherché partout moi-même, demandé des conseils à des médecins, psychologues, amis, etc.. et ça ne m'a mené qu'a dépenser beaucoup d'argent pour rien, en soit ça ne me dérange pas mais mon problème n'est toujours pas résolu et j'en ai plus que marre, en fait je suis au fond et je pense au suicide tout le temps.
Je m'appelle Thibaud, j'ai 17 ans et je suis en première S au lycée.
Pendant les vacances d'été je me suis couché à environ 2 h pour me lever vers les 12-14 h sans soucis de sommeil. A partir de la première nuit je n'ai pas pu dormir, c'est la que les problèmes ont commencés, pendant la première semaine de cours j'ai eu de grosses insomnies, j'étais fatigué mais pas plus. Après une semaine j'ai commencé à me sentir vraiment bizarre, pas fatigué mais comme si j'étais drogué en permanence, ça en devenait vraiment effrayant des fois le temps passait beaucoup plus lentement, des fois ou j'écoutais de la musique j'avais l'impression d'y avoir passé des heures mais en réalité ça ne faisait que 10 minutes, et cette impression constante d'être dans un rêve, avec une barrière entre moi et le monde réel, si proche et en même temps inaccessible...Cela me cause évidemment de gros problèmes au niveau scolaire, déjà que je suis assez tête en l'air de base alors avec cela en plus il m'est quasiment impossible de me concentrer et de pouvoir vraiment réfléchir à une chose précise.
Depuis donc cette rentrée scolaire je me réveille la nuit, mais depuis 2 mois ce n'est plus que 1 fois par nuit. Il n'y a par contre eu aucune nuit ou je ne me sois pas du tout réveillé depuis. Mon problème n'est donc pas le sommeil en lui-même mais l'état dans lequel je suis mentalement à cause (peut-être) de mes troubles du sommeil. Je n'ai pas un instant de répit c'est un vrai calvaire, en permanence dans cet état c'est insupportable. J'ai consulté sur internet, ou j'ai vu beaucoup de ressemblances avec une maladie, la déréalisation, et des médecins en vrai qui mon donné des anti-stress jusqu'à finalement des somnifères mais qui n'ont eut aucun effet, un psychiatre qui ne m'a pas plus aidé, et finalement une bioénergéticienne qui n'a rien fait non plus. J'espère que je ne passerai pas ma vie entière dans cet état là, elle n'aura alors pas valut la peine d'être vécue; je serai condamné à être mort pour le reste de ma vie. Si quelqu'un voulait bien m'aider, me donner des conseils, et si par chance il voyait ce que j'ai et aurait un remède, je lui en serait mille fois reconnaissant de bien vouloir me le communiquer, merci d'avoir prit le temps de lire .
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3 réponses
Bonsoir,
La déréalisation n'est pas une maladie mais plutôt un symptôme et qui se soigne et se guérit.
Le souci c'est que les soins en psychiatrie sont parfois longs et qu'il faut avoir la patience d'entamer une authentique psychothérapie car ce ne sont pas quelques consultations chez un psychiatre qui vont être efficaces . Les psychotropes peuvent être efficaces mais lequel ? C'est pourquoi il faut se sentir en confiance avec le thérapeute, le premier médicament ne va peut être pas être efficace et il faudra alors essayer autre chose.
Tu n'es pas seul à souffrir de ce symptôme aussi, je te conseille de taper "déréalisation " en haut de cette page ; " rechercher" tu va trouver d'autres discussions traitant de ton problème qui pour certains à été résolu.
La déréalisation n'est pas une maladie mais plutôt un symptôme et qui se soigne et se guérit.
Le souci c'est que les soins en psychiatrie sont parfois longs et qu'il faut avoir la patience d'entamer une authentique psychothérapie car ce ne sont pas quelques consultations chez un psychiatre qui vont être efficaces . Les psychotropes peuvent être efficaces mais lequel ? C'est pourquoi il faut se sentir en confiance avec le thérapeute, le premier médicament ne va peut être pas être efficace et il faudra alors essayer autre chose.
Tu n'es pas seul à souffrir de ce symptôme aussi, je te conseille de taper "déréalisation " en haut de cette page ; " rechercher" tu va trouver d'autres discussions traitant de ton problème qui pour certains à été résolu.
Bonjour!
Ma réponse ne sera peut-être pas d'une grande aide (elle pourrait même être tout à fait inutile) mais qui ne tente rien n'a rien.
Ayant un cerveau de mouche (si j'ai arrêté les math, c'est pas pour rien), je me demandais quand s'est déroulée "la première nuit". C'était les horaires citées précédemment? Ou la première nuit après les vacances?
Tu n'aimes pas ton école? Ou ta filière? Ou des personnes qui s'y trouvent, l'ambiance? Le stress du bac? Ça expliquerait les troubles du sommeil...
J'ai l'impression d'avoir vécu la même chose l'année dernière, mais je préfère ne pas l'affirmer. J'avais effectivement un brouillard constant, comme si j'étais dans une espèce de bulle à part de tout. Je ne parlais presque plus, ou alors vraiment bas: j'étais comme inquiète à l'idée de briser l'espèce de barrière, comme si tout allait me revenir dans la gueule. J'avais aussi des sortes de maux de tête étranges, comme si j'avais des vertiges cotonneux. Je sais depuis peu que j'essayais de me cacher quelque chose et que je ne voulais pas voir que j'étais en train de me planter dans mes études (et dans ma vie sociale, mais je passe les détails). Bref, j'essayais d'oublier que j'étais constamment de mauvaise humeur en me séparant inconsciemment et progressivement de tout et de tout le monde.
Mais j'ai une espèce de flemme mentale et je crois avoir des problèmes de distance qui n'ont rien avoir avec ma vue (j'essaye d'attraper un objet, mais ce dernier est plus loin que ce que je pensais), donc tu as le droit de me frapper si je suis complétement à côté de la plaque, à côté de ce que tu vis.
M'enfin comme tu peux le voir, je suis loin d'être psychologue. Est-ce que des gens t'ont répondu par mp?
Ma réponse ne sera peut-être pas d'une grande aide (elle pourrait même être tout à fait inutile) mais qui ne tente rien n'a rien.
Ayant un cerveau de mouche (si j'ai arrêté les math, c'est pas pour rien), je me demandais quand s'est déroulée "la première nuit". C'était les horaires citées précédemment? Ou la première nuit après les vacances?
Tu n'aimes pas ton école? Ou ta filière? Ou des personnes qui s'y trouvent, l'ambiance? Le stress du bac? Ça expliquerait les troubles du sommeil...
J'ai l'impression d'avoir vécu la même chose l'année dernière, mais je préfère ne pas l'affirmer. J'avais effectivement un brouillard constant, comme si j'étais dans une espèce de bulle à part de tout. Je ne parlais presque plus, ou alors vraiment bas: j'étais comme inquiète à l'idée de briser l'espèce de barrière, comme si tout allait me revenir dans la gueule. J'avais aussi des sortes de maux de tête étranges, comme si j'avais des vertiges cotonneux. Je sais depuis peu que j'essayais de me cacher quelque chose et que je ne voulais pas voir que j'étais en train de me planter dans mes études (et dans ma vie sociale, mais je passe les détails). Bref, j'essayais d'oublier que j'étais constamment de mauvaise humeur en me séparant inconsciemment et progressivement de tout et de tout le monde.
Mais j'ai une espèce de flemme mentale et je crois avoir des problèmes de distance qui n'ont rien avoir avec ma vue (j'essaye d'attraper un objet, mais ce dernier est plus loin que ce que je pensais), donc tu as le droit de me frapper si je suis complétement à côté de la plaque, à côté de ce que tu vis.
M'enfin comme tu peux le voir, je suis loin d'être psychologue. Est-ce que des gens t'ont répondu par mp?