Mourir facilement, rapidement et sans douleur. SOS

Comme je l'ai expliqué je veux en finir. J'en suis sûre. Je ne peux actuellement plus me battre. Je veux vraiment en finir.

Si j'ai posté cette question c'est que j'espérais qu'une personne de bon coeur et de bonne foi m'informe. Je ne suis pas venue pour en parler ou quoi..

Mes parents ne voudront pas que j'aie un psy et moi même je n'en veux pas.

Quand au poème je ne peux pas nier la vérité, si je veux à présent mettre fin à mes jours c'est bien pour qu'ils aient ma mort sur la conscience mais je fais ça aussi pour moi. Si je reste, je sais qu'adulte cela me tourmentera. Je ne veux pas vivre pour être tourmentée par les démons du passé. Je préfère partir et ne plus revenir.

Vivre et une chance qu'on aura qu'une fois , après se sera fini .
Il y a bien une personne au monde qui t'apprécie regarde autour de toi fais le vide et va voir tes parent ta soeur et dis leurs a tous ce que tu as sur le coeur. Moi aussi j'ai vécu cela et je me suis battu pour vivre . Aujourd'hui je remonte doucement la pente et je suis heureuse même si parfois je pleurs .
Garde cela a l'esprits : TU PEUX TEN SORTIR

Le psy je comprend que n'en veuillent moi aussi je n'en voulais pas :) je suis une personne de bon coeur qui te dis une boule au ventre ce que j'ai vécu et que c'est possible malgré ce qu'on vit ou a vécu de s'en sortir :) :)

Cela a peu de chance de te tourmenter plus tard. En effet, tu n'as refoulé aucun de tes sentiments. Par conséquent, c'est plus dur à vivre sur le moment présent, le refoulement étant une technique de défense inconsciente, qui aurait pu te permettre de vivre et d'accepter plus facilement (voir te cacher) ta condition actuelle. Cependant, si tu avais refoulé, là tu aurais sûrement eu des problèmes plus tard. Là tu as la "chance" (si je puis dire, pardonne moi l'expression) de connaitre l'origine de ton mal-être. Cela t'apporte alors également les moyens de t'en sortir.

Il est vrai que, si tu ne refoules pas (et donc ne te voile pas la face), il faut que tu acceptes la vérité, la réalité. Mais cette réalité est dure, te fait mal, aussi bien physiquement que psychologiquement. Je comprends alors qu la fuite soit pour toi la seule solution.

Mais tu as toutes les clés en main pour t'en sortir ! Evidemment, pas avec la famille que tu as. Si tu veux fuir, tu peux aussi, peut-être aller dans une famille d'accueil. Ces familles sont souvent gentilles, compréhensive, on ne décide pas d'accueillir des enfants/adolescent si on ne les aiment pas. Et là ta famille payerait. Vu comment ils se comporte avec toi, penses-tu qu'ils auront l'intelligence, la bonne foie, la culpabilité de ce dire que si tu t'es suicidée, c'est de leurs fautes? Je ne pense pas.

Enfin, un sujet dont j'avais oublié de parler: l'école.
Tu n'as aucun amis, que des gens qui se moquent?
Je peux te comprendre. J'ai 16 ans, et toute mes années de collège, et celles du lycées ont été et peuvent semblé difficile. Je te comprend. Tu as cette impression toujours être mise de coté. Cette impression d'être différente. Et même quand tu as des amis, tu peux avoir cette impression de ne pas réagir normalement, comparé à eux.
Mais ce n'est qu'une impression. Et sans vouloir remettre toute la faute sur les autres, c'est eux qui ont un certain problème. C'est eux qui se moquent, qui sont incompréhensif, puéril.
Tu as eu vécu difficile. Les enfants avec un vécu difficile peuvent avoir tendance à s'enfermer sur eux même, se construire un monde à eux. Cela développe aussi chez eux une maturité disons plus précoce. Tu es peut-être de ces enfants là, mature, plus que les autres collégiens autour de toi.

Bonjour.

Ma seule m'humilie, m'a avoué que j'étais ''la honte de la famille'' et je reprends ses mots, et je dois me confier à elle ?

Tu as raison.

Comme je l'ai dit, en trois ans j'ai fait toutes les recherches possibles dont la famille d'accueil. C'est impossible d'être placée autre part que dans ma famille ; si je ne vais pas chez mon père ou ma mère j'irais chez ma tante etc.. Hors je ne peux pas, mon père a prit le soin de ''me salir'' auprès d'eux, inventant toutes sortes de choses sur moi, les incitant donc à me renier.. Ils ne veulent plus de moi.

J'ai beaucoup d'amis mais ils ne sont pas dans ma classe.
Je suis dans une classe condamnée jusqu'à la fin de troisième et peut être au delà et il y a peu de temps j'ai subi du.. Je ne préfère pas dire de l'harcelement mais c'est le cas.

Et puis je veux vraiment en finir.

Dans un cas normal, tu serais envoyé chez un autre membre de ta famille. Sauf que là:
-Comme tu l'as dis, les autres membres de ta famille te renient, ne veulent pas de toi. Ils ne pourront donc pas te prendre, car personne ne peut les forcer.
-Il y a sûrement un moyen de ne pas aller chez un de tes membre de la famille. Les réponses que tu as trouvé sur internet sont assez générale. Si tu expliques ton cas, que tu es rabaissée par ta mère, frappé et calomnié par ton père dans ta famille, il y a moyen.

Quel genre de harcèlement?

En tout cas, même si tu dis que tu ne veux pas parler, ça me ferais plaisir de discuter par mail par exemple.

Je ne crois pas que tu me comprennes. Ce que tu me dis en gros c'est d'en parler et continuer à souffrir ? Non merci, je préfère de loin la mort.

Bonjour..
Peut-être que je le mérite mais je n'en est plus envie, ma vie est devenue un long cauchemar.

As tu un rêve ?(je veux dire dans le domaine du réalisable) un métier que tu voudrais faire plus tard ? Tu ne veux pas prendre une revenche sur la vie ? Prouver que tu es capable de t'en sortir ? Ou une passion ?la mienne était l'écriture j'écrivais tous et tout les jours ça m'as sauver . Tu peux devenir une fille heureuse et épanoui, il faut juste t'en donner les moyens et serrer les dents, la vie vaut la peine d'être vécue crois moi même la tienne, le bonheur finiras par arriver

Développez s'il vous plaît..

Déjà, faut que tu te mettes en évidence que tu veux que les autres souffrent de ta mort pour te « venger » de la souffrance qui t'a été infligée; tu veux te soulager, ne plus souffrir... Ce sont des SENTIMENTS, et tu ne peux pas ressentir des sentiments en étant morte: tu cesses d'exister.

Si tu ne peux pas en parler à tes parents, tu peux en parler à un(e) ami(e), voire à un membre du personnel de ton établissement scolaire si tu en as le courage. L'un des plus gros problèmes que les dépressifs/suicidaires ont, c'est de tout garder pour soi.

Il faut impérativement que tu en parles. Je sais très bien que ça peut être difficile, mais c'est possible, quelque soit ton âge. Et, contrairement à ce que tu peux penser, tu ne dois pas avoir honte d'en parler à quelqu'un. Au contraire, tu dois faire preuve de courage.

Et, crois-moi, vu ce que MOI j'ai vécu comme atrocités diverses, et après une longue dépression avec des T.S. régulières (j'ai 14 ans), en parler t'aidera beaucoup à t'en sortir. En plus, je trouve ça atroce de pouvoir penser à une telle chose à un si jeune âge.

Cesser d'exister ? C'est encore mieux...

Je n'en parlerais pas, c'est trop humiliant, je ne pense pas être tombée si bas..

En parler ne m'aiderait pas, auparavant j'en avais parlé et ça m'avait valu d'innombrables ennuis ainsi que moqueries alors non.
12 ans c'est bien non, j'ai résisté beaucoup de temps je trouve.

Bon, je ne vais pas chercher à te forcer à en parler, ce n'est pas utile.

Je ne vais pas aborder le sujet du futur car il n'est pas prévisible, donc mieux vaut ne pas mentir.

En effet, tu as résisté beaucoup de temps, on peut dire. Et il semble qu'aujourd'hui, tu n'es plus la force de lutter (ce n'est pas une critique).

...

Bon, je ne vois pas vraiment de solution pour le moment. Tu peux -- éventuellement -- téléphoner au 119 mais ce pourrait ne pas être d'une très grande aide. Dans tous les cas, je vais chercher une solution à ton problème qui ne sera -- bien sûr -- pas la mort.

P.S.: Je suis sûr que tu ne te rends pas compte de ce qu'est ne plus exister. À l'heure actuelle, je suis sûr que tu t'imagines des choses qui arriveraient après ton décès, et que ça peut même te réconforter; et tu as vraisemblablement envie de les vivre (ces moments), sauf que ce ne sera pas le cas puisque tu n'existeras plus.
Personne ne sait ce qui se passe quand on n'existe plus; c'est de là que sont apparus les religions qui -- malheureusement -- créent des croyances. Pourtant, il faut que toi (et que tout le monde, mais ce n'est pas possible) comprenne que la mort c'est cesser d'exister, disparaître... Je ne peux même pas dire que c'est juste du vide où l'on voit que du noir, car ça signifierait que l'on existe encore. NON, on n'existe absolument plus, tu es détruit(e), aboli(e) de l'Univers tout entier. Tu n'entres pas dans un autre monde; tu te DISSOUS. Tu... cesses d'exister, mais il est impossible pour nous de concevoir cela (d'où les religions).

Ah non, personnellement je m'en rends compte. Ne plus rien ressentir, ne plus penser, ne plus rêver. Rassures toi, c'est bien ce que je veux.

Mon frère voilà ce qu'il fait :
- M'énerver.
- Manger.
- Dormir.
- Pleurer pour que dalle.
- Manger encore une fois.
- M'insulter.

Et je devrais faire comme lui ?

Ce pseudo résume très bien ma situation..

Je n'ai même pas le droit d'aligner deux mots alors..

Je ne vois pas à quoi ça sert d'appeler ce numéro..

J'ai peur d'être jugée car à l'extérieur je m'invente une famille aimante m'offrant milles et uns cadeaux alors que je ''travaille'' et j'économise pour avoir ce dont j'ai besoin malgré le fait que mes parents me volent..

Je n'y arrive pas.. Lorsque j'essaie d'approcher quelque chose de ma bouche, ma main se bloque..

" alors que je ''travaille'' et j'économise pour avoir ce dont j'ai besoin malgré le fait que mes parents me volent.."

Tu travailles pour gagner de l'argent pour répondre à tes besoins ?
Tu fais quoi comme boulot ?

Plus de réponses de ta part deadgirl ?
Merci de donner juste quelques informations à ce sujet.

Je travaille pas vraiment, il ne faut pas abuser. Moi je prends ça comme un travail.
Pendant quelques heures je m'occupe du fils de la voisine.
Et j'achète du matériel d'école, c'est pas ''subvenir à mes besoins''

Désolée, j'ai une vie chargée.

Ah d'accord, c'est plus claire.
Et ta voisine, que tu vois donc régulièrement, tu n'as jamais pu dire un petit mot pour qu'elle comprenne tes soucis personnels ?