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illouna
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lundi 18 août 2008
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10 septembre 2008
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31 août 2008 à 19:15
31 août 2008 à 19:15
Bonjour Rom,déjà c'est très émouvant de ta part de t'inquièter ainsi mais c'est vrai
que ce n'est pas une situation facile et que l'on doit prendre à la légère.
Enfête le mieux c'est que dans ces moment là quand une personne ne l'
accepte pas c'est qu'elle se fasse suivre par un psy et dans votre cas de couple
parceque il y a beaucoup de couple qui se déchire parceque les réactions de l'un
et de l' autre devienne incompréhensif.
L'autre chose continue à la regardée comme ta femme,à la désirée même si elle
te rejette mais n'insiste pas quand m^me,ne la regarde pas comme quelqu'un de
malade.
Voilà j'espère que j'aurai un peu pu t'aider.
que ce n'est pas une situation facile et que l'on doit prendre à la légère.
Enfête le mieux c'est que dans ces moment là quand une personne ne l'
accepte pas c'est qu'elle se fasse suivre par un psy et dans votre cas de couple
parceque il y a beaucoup de couple qui se déchire parceque les réactions de l'un
et de l' autre devienne incompréhensif.
L'autre chose continue à la regardée comme ta femme,à la désirée même si elle
te rejette mais n'insiste pas quand m^me,ne la regarde pas comme quelqu'un de
malade.
Voilà j'espère que j'aurai un peu pu t'aider.
Bonjour Rom,
Je viens longtemps après la tempête ! Mais enfin, il n'est jamais trop tard pour apporter un petit témoignage. Je me permets de te raconter mon cas, ce qui t'aidera peut-être, je l'espère.
Lorsque j'ai été diagnostiquée il y a 8 ans, j'étais encore à l'école, j'avais à peine 15 ans. J'ai terminé mon année scolaire sans difficulté puis est venu le temps de la rentrée et du changement d'établissement scolaire et là j'ai "disjoncté", je n'arrivais plus à faire face. Je me suis alors engoncée dans une phobie scolaire et sociale dont j'ai eu beaucoup de peine à sortir (ce n'est pas tout à fait ça encore aujourd'hui mais je m'améliore). J'ai du arrêter les cours rapidement et je n'ai plus jamais mis les pieds dans une école. Une psychologue m'a suivie pendant 2 ans pour m'aider à analyser mes émotions, comprendre le blocage, puis prendre les devants et chercher une voie professionnelle. Malheureusement, ça n'a rien donné.
Ma gastro-gastro-entérologue de l'époque m'a dit qu'il existait apparemment un lien entre angoisse et rechute de la maladie. Une corrélation difficile à établir.
Difficile également de savoir dans quelle mesure la maladie en elle-même peut amener des soucis psychologiques ou si ceux-ci font suite au diagnostic. Car moi, j'ai accepté la maladie dès le début, le problème n'était pas là.
En tous les cas, je te donne les conseils suivants:
Respecte son besoin d'intimité mais ne la laisse pas s'enfoncer dans un repli social car il est très difficile d'en sortir.
Essaie de lui redonner espoir lorsqu'elle a peur, dis-lui que la roue tourne et qu'elle finira par aller mieux et "oublier" sa maladie au quotidien. La mienne dort depuis 5 ans environ grâce à un traitement efficace et je vis parfaitement normalement. Dis-lui aussi que le nombre de malades atteints du crohn a énormément augmenté ces dernières années et que la recherche est très active.
Je crois, et ce n'est que mon avis, que l'on ne peut pas souhaiter pleinement "vivre sa maladie seule". C'est la honte, la colère ou peut-être le sentiment d'injustice qui nous font dire des mots aussi durs. Tu es son copain et il est possible qu'elle ressente de la gêne avec ses symptômes. Rassure-la sur le sujet si tu le peux.
Voilà, j'espère avoir pu t'aider un peu.
Comment va-t-elle aujourd'hui ?
Camille
Je viens longtemps après la tempête ! Mais enfin, il n'est jamais trop tard pour apporter un petit témoignage. Je me permets de te raconter mon cas, ce qui t'aidera peut-être, je l'espère.
Lorsque j'ai été diagnostiquée il y a 8 ans, j'étais encore à l'école, j'avais à peine 15 ans. J'ai terminé mon année scolaire sans difficulté puis est venu le temps de la rentrée et du changement d'établissement scolaire et là j'ai "disjoncté", je n'arrivais plus à faire face. Je me suis alors engoncée dans une phobie scolaire et sociale dont j'ai eu beaucoup de peine à sortir (ce n'est pas tout à fait ça encore aujourd'hui mais je m'améliore). J'ai du arrêter les cours rapidement et je n'ai plus jamais mis les pieds dans une école. Une psychologue m'a suivie pendant 2 ans pour m'aider à analyser mes émotions, comprendre le blocage, puis prendre les devants et chercher une voie professionnelle. Malheureusement, ça n'a rien donné.
Ma gastro-gastro-entérologue de l'époque m'a dit qu'il existait apparemment un lien entre angoisse et rechute de la maladie. Une corrélation difficile à établir.
Difficile également de savoir dans quelle mesure la maladie en elle-même peut amener des soucis psychologiques ou si ceux-ci font suite au diagnostic. Car moi, j'ai accepté la maladie dès le début, le problème n'était pas là.
En tous les cas, je te donne les conseils suivants:
Respecte son besoin d'intimité mais ne la laisse pas s'enfoncer dans un repli social car il est très difficile d'en sortir.
Essaie de lui redonner espoir lorsqu'elle a peur, dis-lui que la roue tourne et qu'elle finira par aller mieux et "oublier" sa maladie au quotidien. La mienne dort depuis 5 ans environ grâce à un traitement efficace et je vis parfaitement normalement. Dis-lui aussi que le nombre de malades atteints du crohn a énormément augmenté ces dernières années et que la recherche est très active.
Je crois, et ce n'est que mon avis, que l'on ne peut pas souhaiter pleinement "vivre sa maladie seule". C'est la honte, la colère ou peut-être le sentiment d'injustice qui nous font dire des mots aussi durs. Tu es son copain et il est possible qu'elle ressente de la gêne avec ses symptômes. Rassure-la sur le sujet si tu le peux.
Voilà, j'espère avoir pu t'aider un peu.
Comment va-t-elle aujourd'hui ?
Camille
miracle25
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31 août 2008 à 19:16
31 août 2008 à 19:16
salut rom .un diagnostic de pathologie est toujours dur a gerer il va falloir laisser a ton amie le temps d'accepter ....qui peut etre dur et long ...je pense qu'il faut que tu respecte pour le moment le fait qu'elle ai besoin de solitude pour pouvoir passer toute ces ptites etapes jusqu'a l'acceptation de sa maladie qui n'est pas facile .....sans t'eloigner et sans couper les ponts essaye de prendre un peu de distance en lui expliquant que sa maladie n'empeche en rien votre amour et que tu es la si elle a besoin de toi ....j'espere t'avoir un peu aider je vous souhaite plein de bonheur et garde courage ...bisous tiens nous au courant ( je suis sure qu'elle t'aime tres fort mais qu'elle n'est pas encore prete a partager sa douleur car elle meme n'accepte srement pas ce qu'il lui arrive ) mais en sachant que tu es la elle il arrivera ..bisous
