Menteur ou pas ? VIH ou pipeau ?
Hidanera
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^^Marie^^ Messages postés 113901 Date d'inscription mardi 6 septembre 2005 Statut Membre Dernière intervention 28 août 2020 - 9 nov. 2012 à 15:45
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puissance13
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12 novembre 2012
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9 nov. 2012 à 08:14
9 nov. 2012 à 08:14
bonjour
des tricheurs et menteurs ne manquent pas ,mais au point de se déclarer porteur du VIH,alors que non c'est invraisemblable!!!
1er) les test de dépistage ne se font pas en pharmacie,à moins que celle-ci soit labo en même temps!
si votre ami est séropo, il est systématiquement sous traitement,mais ne tenons compte que de vos préoccupations, faites-vous dépister pourquoi pas avec votre nouvelle rencontre au moins votre relation démarrerait sur des bases saines quant à,l'autre laissez-le dans ses mensoges, pensez à vous et à l'avenir ne faites qu'un minimum confiance des affabulateurs sont déroutants bonne continuation
des tricheurs et menteurs ne manquent pas ,mais au point de se déclarer porteur du VIH,alors que non c'est invraisemblable!!!
1er) les test de dépistage ne se font pas en pharmacie,à moins que celle-ci soit labo en même temps!
si votre ami est séropo, il est systématiquement sous traitement,mais ne tenons compte que de vos préoccupations, faites-vous dépister pourquoi pas avec votre nouvelle rencontre au moins votre relation démarrerait sur des bases saines quant à,l'autre laissez-le dans ses mensoges, pensez à vous et à l'avenir ne faites qu'un minimum confiance des affabulateurs sont déroutants bonne continuation
Hidanera
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9 novembre 2012
9 nov. 2012 à 14:58
9 nov. 2012 à 14:58
Bon, il m'a répondu qu'il n'avait rien, comme plusieurs de ses amis qui ne l'ont jamais vu prendre un médicament pendant tout le temps passé avec lui !
J'irai quand même faire un test avec mon copain ! Merci beaucoup pour ta réponse !
J'irai quand même faire un test avec mon copain ! Merci beaucoup pour ta réponse !
^^Marie^^
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28 août 2020
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9 nov. 2012 à 15:45
9 nov. 2012 à 15:45
Bonjour
1er) les test de dépistage ne se font pas en pharmacie,à moins que celle-ci soit labo en même temps!
Désolée, mais c'est faux.
Deux types d'autotests
Ces tests de dépistage du sida pourraient prochainement débarquer en France. Mais tout d'abord, une première distinction s'impose. Ces dispositifs sont de deux types :
Sida VIH virus dépistage test autotest L'autoprélèvement à domicile : Dans ce cas, le prélèvement sanguin est effectué par la personne elle-même. Le plus souvent, il s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur une sorte de buvard qui est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ensuite par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas de résultat positif, elle est le plus souvent mise en relation, au téléphone, avec une personne qui lui donne des explications et des conseils. Le test "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué par le laboratoire Home Access Health Corporation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Administration. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement de salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à domicile. Le prélèvement, la lecture et l'interprétation des résultats sont effectués par l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune intervention d'un professionnel de santé soit possible. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces tests proposent une réponse en 1 minute, avec une visualisation proche de celle des tests de grossesse : Une seule bande colorée, vous n'êtes pas infecté - Deux bandes colorées et vous êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, le directeur général de la santé avait demandé son avis sur le sujet au Comité consultatif national d'éthique.
De nombreuses réserves éthiques
Selon le CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur statut sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" et en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages ne semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et techniques soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % de faux positifs
S'appuyant sur un document du Conseil national du Sida et une étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de faux positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce qui veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. En outre, certains de ces tests rapides ne permettent de dépister que l'infection par le virus VIH1, à l'exclusion de celle par le VIH2 qui contamine les populations de certains pays africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation par un test en laboratoire.
L'absence d'encadrement médical
Durant le mois qui suit l'infection, la personne n'a pas développé les anticorps spécifiques permettant le diagnostic. L'absence de conseil par un professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à une augmentation de la prise de risques liée à un autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence de prise en charge médicale constitue une véritable négation de la responsabilité médicale et va à l'encontre d'une politique de santé publique. La prise en charge administrative et sociale qui doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, en particulier pour les personnes en situation de précarité (qui d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Par ailleurs, une telle annonce peut susciter un état de détresse et des conséquences importantes sur le plan social ;
++
1er) les test de dépistage ne se font pas en pharmacie,à moins que celle-ci soit labo en même temps!
Désolée, mais c'est faux.
Deux types d'autotests
Ces tests de dépistage du sida pourraient prochainement débarquer en France. Mais tout d'abord, une première distinction s'impose. Ces dispositifs sont de deux types :
Sida VIH virus dépistage test autotest L'autoprélèvement à domicile : Dans ce cas, le prélèvement sanguin est effectué par la personne elle-même. Le plus souvent, il s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur une sorte de buvard qui est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ensuite par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas de résultat positif, elle est le plus souvent mise en relation, au téléphone, avec une personne qui lui donne des explications et des conseils. Le test "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué par le laboratoire Home Access Health Corporation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Administration. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement de salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à domicile. Le prélèvement, la lecture et l'interprétation des résultats sont effectués par l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune intervention d'un professionnel de santé soit possible. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces tests proposent une réponse en 1 minute, avec une visualisation proche de celle des tests de grossesse : Une seule bande colorée, vous n'êtes pas infecté - Deux bandes colorées et vous êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, le directeur général de la santé avait demandé son avis sur le sujet au Comité consultatif national d'éthique.
De nombreuses réserves éthiques
Selon le CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur statut sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" et en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages ne semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et techniques soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % de faux positifs
S'appuyant sur un document du Conseil national du Sida et une étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de faux positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce qui veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. En outre, certains de ces tests rapides ne permettent de dépister que l'infection par le virus VIH1, à l'exclusion de celle par le VIH2 qui contamine les populations de certains pays africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation par un test en laboratoire.
L'absence d'encadrement médical
Durant le mois qui suit l'infection, la personne n'a pas développé les anticorps spécifiques permettant le diagnostic. L'absence de conseil par un professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à une augmentation de la prise de risques liée à un autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence de prise en charge médicale constitue une véritable négation de la responsabilité médicale et va à l'encontre d'une politique de santé publique. La prise en charge administrative et sociale qui doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, en particulier pour les personnes en situation de précarité (qui d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Par ailleurs, une telle annonce peut susciter un état de détresse et des conséquences importantes sur le plan social ;
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