Arrêt des anti-dépresseurs
Bonjour, je prend des anti dépresseurs depuis 2006. La pression au travail était trop forte.
J'étais seul rescapé d'un licenciement collectif? EN télétravail à 800 kms de ma boite avec un enfant autisme asperger (non diagnostiqué à l'époque) et qui venait de passer 1 an en fauteuil roulant heureusement sans séquelles.
Séropram, seroplex qutres etc..
Au début je ne prenais qu'un 1/4 de cachet par jour sinon j'aurai été littéralement assommé, mes jambes se seraient dérobées sous moi.
Les cachets m'ont aidés à survivre. de plus en plus renfermé sur moi même, fatigué, avec des angoisses légèrement, des sentiments légers et des trous de mémoire gênants !
Aujourd'hui, j'ai décidé de rompre avec cet esclavage, cette vie en demi teinte.
J'arrête : je passe de 20 mg à 0 entre les 2 tours de la présidentielle.
Ma femme ne supporte pas que j'arrête sans doute une façon de ma garder sous sa dépendance.
Déroulement : une première semaine à 10 mg de seropram + 1 témesta.
Je me suis senti parfais réveillé avec des envies de faire. Au stade 5mg, une forme de léthargie s'installe avec de la tristesse et des pensée fugaces de veines tailladées.
Mai je tiens le coup. La tête tourne, la fatigue est accablante, la motivation au travail en berne, les rapports de couple épouvantables. Elle s'ennuie pendant que je lutte contre le manque. J'espère tenir et arrête en 15 jours. Le dimanche des élection il y aura 2 gagnants : le nouveau président et moi !
Conseils, encouragements bienvenus !
J'étais seul rescapé d'un licenciement collectif? EN télétravail à 800 kms de ma boite avec un enfant autisme asperger (non diagnostiqué à l'époque) et qui venait de passer 1 an en fauteuil roulant heureusement sans séquelles.
Séropram, seroplex qutres etc..
Au début je ne prenais qu'un 1/4 de cachet par jour sinon j'aurai été littéralement assommé, mes jambes se seraient dérobées sous moi.
Les cachets m'ont aidés à survivre. de plus en plus renfermé sur moi même, fatigué, avec des angoisses légèrement, des sentiments légers et des trous de mémoire gênants !
Aujourd'hui, j'ai décidé de rompre avec cet esclavage, cette vie en demi teinte.
J'arrête : je passe de 20 mg à 0 entre les 2 tours de la présidentielle.
Ma femme ne supporte pas que j'arrête sans doute une façon de ma garder sous sa dépendance.
Déroulement : une première semaine à 10 mg de seropram + 1 témesta.
Je me suis senti parfais réveillé avec des envies de faire. Au stade 5mg, une forme de léthargie s'installe avec de la tristesse et des pensée fugaces de veines tailladées.
Mai je tiens le coup. La tête tourne, la fatigue est accablante, la motivation au travail en berne, les rapports de couple épouvantables. Elle s'ennuie pendant que je lutte contre le manque. J'espère tenir et arrête en 15 jours. Le dimanche des élection il y aura 2 gagnants : le nouveau président et moi !
Conseils, encouragements bienvenus !
A voir également:
- Arrêt des anti-dépresseurs
- Anticorps anti thyroperoxydase - Accueil - Analyses de sang
- Anticorps anti thyroglobuline - Accueil - Analyses de sang
- Anti inflammatoire naturel - Accueil - Remèdes naturels et autres médecines douces
- Pilule anti acné - Accueil - Pilules contraceptives
- Liste des anti-inflammatoire sans ordonnance - Accueil - Types de médicaments
5 réponses
Blnjour
Il faut diminuer beaucoup plus lentement que ça.
Tu risque de te recasser la figure.
Tu te fais aider par un psychiatre ?
Tu fais une thérapie ?
Il faut diminuer beaucoup plus lentement que ça.
Tu risque de te recasser la figure.
Tu te fais aider par un psychiatre ?
Tu fais une thérapie ?
Bonjour.
Retourne chez le médecin qui a prescrit la médication.
Une médication de ce type ne s'arrête pas par sa propre initiative mais en ayant discuté sur les problèmes que tu rencontres.
Ton discours fait ressortir un besoin d'un accompagnement psychologique et en particulier par un médecin-psychiatre.
Retourne chez le médecin qui a prescrit la médication.
Une médication de ce type ne s'arrête pas par sa propre initiative mais en ayant discuté sur les problèmes que tu rencontres.
Ton discours fait ressortir un besoin d'un accompagnement psychologique et en particulier par un médecin-psychiatre.
j'ai relu mon post : il n'est effectivement pas très rassurant !
Aprés une journée à dormir et a me disputer avec ma dulcinée, j'ai lu vos réponses et suis remonté à demi dose. j'ai consulté un psychiatre pendant 2 ans, avant la prise de médicaments.
les anti depresseurs m'ont toujours été fournis par des généralistes. avant j'avais des difficultés à prendre la moindre initiative, maintenant, j'ignore ce qui se cache sous le séropram et j'aimerai bien le savoir. Merci pour vos encouragements.
Aprés une journée à dormir et a me disputer avec ma dulcinée, j'ai lu vos réponses et suis remonté à demi dose. j'ai consulté un psychiatre pendant 2 ans, avant la prise de médicaments.
les anti depresseurs m'ont toujours été fournis par des généralistes. avant j'avais des difficultés à prendre la moindre initiative, maintenant, j'ignore ce qui se cache sous le séropram et j'aimerai bien le savoir. Merci pour vos encouragements.
je confirme : il ne faut pas jouer a ça tout seul.
j'ai arreté mes betises au bout de 3 semaines dans un sale état.
Merci à tous pour vos conseils : ils m'ont fait du bien !
j'ai arreté mes betises au bout de 3 semaines dans un sale état.
Merci à tous pour vos conseils : ils m'ont fait du bien !
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
alors la psychanalyse...
C'est un vaste débat.
Mon fils ainé est autiste asperger.
Avec la psychanalyse il serait en hopital de jour au mieux.
Avec un psychiatre ouvert, il prend sa ritaline, va au lycée avec un an d'avance et 15 de moyenne. A même qq amis presque normaux (!) et un certaine joie de vivre.
Le mal etre est l' état naturel de tout humain sensé.
Apprendre à le dépasser est probablement de l'ordre de la foi seule.
je n'en suis pas là. :-(
C'est un vaste débat.
Mon fils ainé est autiste asperger.
Avec la psychanalyse il serait en hopital de jour au mieux.
Avec un psychiatre ouvert, il prend sa ritaline, va au lycée avec un an d'avance et 15 de moyenne. A même qq amis presque normaux (!) et un certaine joie de vivre.
Le mal etre est l' état naturel de tout humain sensé.
Apprendre à le dépasser est probablement de l'ordre de la foi seule.
je n'en suis pas là. :-(