Crise de panique ???

azurocean - 26 mars 2012 à 18:32
 loulou48 - 26 mars 2012 à 20:39
Bonjour à tous.
tout à commencé en 2007. Suite à de tristes évenements depuis cette date, décès, maladies, conflits, mensonges et autres remémorations de souvenirs douloureux, j'ai commencé à ressentir des extra-systoles (pulsation suplémentaire du coeur (3 au lieux de 2)). sans danger, mon médecin m'a confirmé que c'était du au fait que mon coeur était très développé, suite à mes activitées physiques. en effet, pulsant à 44 par minutes et au repos, il s'étonna sans en savoir plus, étant donné que je ne lui avait pas parler de mes soucis familiaux. continuant à vivre ainsi tout en continuant mon sport, mon coeur s'en portait parfaitement bien tout en faisant ses extra-systole, qui, en pleine effort, me provoquait un dilatement légèrement douloureux de l'aort, parfois quelques fibrilation toujours pendant l'effort, mais sans jamais fléchir et en reprenant un battement régulier à la seconde suivante. j'ai déménagé en mars 2010, les extra-systole ont commencé à se faire oublier. loin des conflits et de la douleur, je commencais à me sentir de mieux en mieux. en octobre 2010, j'eus un conflit avec mon patron. en effet, celui-ci voulait se débarrasser de moi, après lui avoir rendu service, au point de rater 20 semaines de cours sur 32 (j'ai repris les cours en aprentissage après mon service militaire en tant que EVAT). état donné que, malgrès toutes ces absences j'arrivais à faire que je sois attentif, sérieux et donnant de bon résultat, le réctorat ce refusa de ses commentaires et me laissa continuer tout en refusant d'autre semaines au patron. ce que je fit. le patron perdant une opportunité de ne pas me payer comme y le fallait et devant me payer le retard accumulé de mes heures, un conflit naissa. mes extra-systoles revinrent, sauf qu'à l'effort, ceux-ci me provoquairent de léger étourdissement, trouble et décallage du paysage m'entourant. après des mois de conflit, je me réveillait le matin, l'esprit trouble le voisinage tournant autour de mois les premières minutes du levé. j'ai pensé au plantes que j'ai sortit, sans résultat. au chauffage trop fort, un résultat satisfaisant mais pas total. puis au dioxide de carbone dégagé des appareils éléctroménagers, sans résultat, sauf un poisson pourris :) un soir de janvier 2012, alors que je faisais mon sport, un sentilment de perte d'élasticité de la peau un ralentissement au repos du coeur en pleine effort, le tout, alors que ce dernier conflit m'amena les démons, mes histoires créés de toutes pièces (en effet m'étant sentit seul tous ce temps, je me suis créé un monde à mois, qui, à ma grande impuissance, mon esprit et arrivé à me faire qu' il était parfois possible que tout existait) (depuis ce jour j'ai bannis mon monde, de peur de devenir malade. bien qu'il essais parfois de revenir, mais je reste assez lucide et c'est une force qui me rassure et repousse un peu plus sa crédibilité imaginaire) une crise de panique phénoménale s'empara de moi, mon coeur monta en flèche en battant si fort, que la peau de mon ventre faisait des vagues à travers mon survêtement. pris de panique, j'appella d'orgence les pompiers, qui vinrent me chercher. en les attendant, j'ai essayé de me relever. il est monté d'un cran et à commencé à m'obstruer l'ouie par intermittence des pulsations. un froid violent c'est emparré de moi, je ne souhaitais qu'une chose, m'évanouir, pour que tout ce calme. la panique augmenta d'avantage au moment ou je compris que ça devenais dangereux. en effet, quand on vous apprend qu'un coeur lent et en danger au dela de 110 ou 120 pulsation, et que le votre semble battre au-delà, vous perdez votre sensation de presèrvation. lors d'une envie de grande imspiration, il se bloqua (sans battre) puis repris à l'inspiration, toujours aussi vite, mais, avec une sensation de bien-être. je n'ai jamais compris, mais, une sensation d'endormissement pesa sur moi. à la vue du girophare, comme un réveil, il repris une accélèration, mais, sans axagération. je pris mon poux et compta 220. (note : au moment de l'exagération il devait, je pense, battre entre 120 et 140). les pompier arrivèrent tous ce calma presque instantanément. j'étais en hypothermie, avec des difficulté à me concentrer et a articuler. d'autre épisodes s'ensuivirent, mais, jamais ainsi et jamais à plus de 140 sans exagération. j'ai commencer à comprendre qu'il fallait bouger des que je sentais que quelques chose n'allait. il augmente, mais, dans ce cas, que comme-ci j'étais en pleine effort en travaillant sur moi, tout à commencer à s'éstomper progressivement. mes étourdissement sont la cause de tout ceci je pense, puisque cela arrive durant le moment ou je me sans déconnecté du monde. le café ou autre boisson exitante, l'enèrvement, le stress, le provoque : ce soucis. en gros : aucune accélération du coeur en effort, sursaut, seulement au moment ou je pose la main sur le coeur pour le sentir ou si j'y pense même inconsciement, sinon rien ne se passe (es-ce mentale ?) froid aux membres puis à tous le corps, l'esprit éveillé, plus d'étoudrissement, jusqu'aux moment du calme plat ou tout reviens au niveau de la tête : étourdissement... (note : mon coeur a, à ce jour, repris ses pulsations normale au repos, après plusieurs années) (es-ce dans ce cas un travail en réussite sur moi même ?) svp : es-ce que tous ceci est dû à de l'angoisse ? désolé pour le roman :) mais je voulais avoir le plus de renseignement possible sur cette sistuation que je ne souhaite à personnes. je pense qu'il n'y a rien de grave, mais ne pas savoir, me fait peur sur le possible développement de maladies du à l'angoisse que j'éprouve.
A voir également:

2 réponses

bonsoir,vous avez besoin d'une aide medicale avant que la depression insidieuse s'installe a votre insu;j'ai vecu ce meme debut et j'ai resisté 6 mois pour admettre que je ne pourrais pas resoudre le probleme seul ;du courage!
0
merci beaucoup loulou. depuis quelques jours, j'ai décidé inconsciement, de penser et moins au autres. pourtant en faisant cela, je pensais que ça risquerait de m'isoler par rapport au autres, que ça n'arrangerait rien. à ma grande surprise, je me sentais mieux de jours en jours. aujourd'hui, je tente de sortir un peu afin de voir du monde, d'être entouiré de mes semblable humains. grace à cette assurance, j'ai de plus en plus envie d'aller combattre les démons qui ont tourmenté ma famille et moi-même, pour mieux tourner le dos au passé. comme tu me le conseil, je vais aller voir un medecin dés que possible. je sens au fond de moi, que tous peux s'arranger. je rêve même de la mort. c'est bon présage :)
0
oui,il faut vivre pour soi les petits bonheurs presents et savourer a l'avance les joies a venir;croyez en vos capacités et ne vous jugez pas negativement; les autres n'auraient sans doute pas fait mieux s'ils avaient été a votre place et n'esayez pas de changer ceux- ci vis a vis de vous ;faites pour le mieux en pensant que demain sera peut-etre meilleur et surtout n'analyser pas vos problemes pour leur donner plus d'importance qu'ils en ont! a bientot
0