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2 réponses
Bonjour Eliot30,
On peut stopper et même faire régresser l'évolution de la scoliose, mais on ne peut pas guérir définitivement cette maladie - même par la chirurgie, qui consiste toujours à souder les vertèbres entre elles sans pour autant revenir à zéro...au prix d'un report des contraintes sur les zones situées au dessus et au dessous de la partie opérée.
Mais tout dépend :
- de l'âge d'apparition (de découverte)
- des traitements déjà effectués
- du type de la scoliose (cause, nombre de courbures évolutives, nombre de vertèbres incluses dans la courbure...)
- de l'angle, des angles atteint(s) à l'instant "T"
ET SURTOUT :
- de la motivation de la jeune fille
- de sa compliance (faculté d'accepter et de suivre le traitement)
- de son environnement familial (qui entoure la patiente et l'aide au quotidien)
- de l'équipe qui la soigne - chirurgien, médecin, kiné... (sa qualification technologique, son implication professionnelle)
- du soutient psychologique éventuel apportém
ENFIN :
- D'un facteur « X » inconnu, qui est le « génie évolutif propre à chaque cas »
- Autrement dit l'imprévisibilité relative de chaque scoliose
- Donc pour la jeune patiente, le facteur « chance », qu'elle peut, qu'elle doit aider
On peut stopper et même faire régresser l'évolution de la scoliose, mais on ne peut pas guérir définitivement cette maladie - même par la chirurgie, qui consiste toujours à souder les vertèbres entre elles sans pour autant revenir à zéro...au prix d'un report des contraintes sur les zones situées au dessus et au dessous de la partie opérée.
Mais tout dépend :
- de l'âge d'apparition (de découverte)
- des traitements déjà effectués
- du type de la scoliose (cause, nombre de courbures évolutives, nombre de vertèbres incluses dans la courbure...)
- de l'angle, des angles atteint(s) à l'instant "T"
ET SURTOUT :
- de la motivation de la jeune fille
- de sa compliance (faculté d'accepter et de suivre le traitement)
- de son environnement familial (qui entoure la patiente et l'aide au quotidien)
- de l'équipe qui la soigne - chirurgien, médecin, kiné... (sa qualification technologique, son implication professionnelle)
- du soutient psychologique éventuel apportém
ENFIN :
- D'un facteur « X » inconnu, qui est le « génie évolutif propre à chaque cas »
- Autrement dit l'imprévisibilité relative de chaque scoliose
- Donc pour la jeune patiente, le facteur « chance », qu'elle peut, qu'elle doit aider
Il existe la kinésithérapie qui a un rôle important à jouer sur la scoliose, pour lutter contre la déformation et redresser la colonne! Grâce à la kiné, bons nombres de scoliotiques ont évité l'opération... Cependant, il faut le prendre à temps et c'est une rééducation longue.
Il n'existe pas de métier miracle : il n'est pas possible en peu de temps de redresser une colonne, que ça soit par la médecine conventionnelle, que la médecine non conventionnelle. D'ailleurs, si vous entendez le contraire, fuyez...
Par contre, la chirurgie contre la scoliose donne de bons résultats! Ca a changé la vie à un bon nombre de mes patient(e)s! Finalement, ils sont heureux de pouvoir lâcher le corset!
Il n'existe pas de métier miracle : il n'est pas possible en peu de temps de redresser une colonne, que ça soit par la médecine conventionnelle, que la médecine non conventionnelle. D'ailleurs, si vous entendez le contraire, fuyez...
Par contre, la chirurgie contre la scoliose donne de bons résultats! Ca a changé la vie à un bon nombre de mes patient(e)s! Finalement, ils sont heureux de pouvoir lâcher le corset!
