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7 réponses
" Il n'y a pas de soins de qualité sans confidences, de confidences sans confiance, de confiance sans secret"
soraya80
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14 nov. 2011 à 10:58
14 nov. 2011 à 10:58
Bonjour,
Dans un premier temps, changez de psychiatre.
Votre thérapie ne peut fonctionner uniquement si vous avez confiance en votre médecin.
Si ce n'est pas le cas, alors il ne faut pas insister, sous peine de mettre en échec vos chances d'aller mieux.
Dans un premier temps, changez de psychiatre.
Votre thérapie ne peut fonctionner uniquement si vous avez confiance en votre médecin.
Si ce n'est pas le cas, alors il ne faut pas insister, sous peine de mettre en échec vos chances d'aller mieux.
Dois-je préciser que j'ai une demande de reconnaissance a la MDPH qui est partie ? Donc qu'elle n'est pas partie pour rien, qu'il y a forcément une maladie, reconnue et sue par cette personne ?
La confiance n'a rien avoir la dedans, il est question simplement de répondre aux inquiétudes fondées d'un patient. Je ne peux pas me permettre d'attendre 8 mois le traitement de mon dossier pour y apprendre de quoi il est question, dans mon état psychologique c'est évident que je ne tiendrais pas.
La confiance n'a rien avoir la dedans, il est question simplement de répondre aux inquiétudes fondées d'un patient. Je ne peux pas me permettre d'attendre 8 mois le traitement de mon dossier pour y apprendre de quoi il est question, dans mon état psychologique c'est évident que je ne tiendrais pas.
soraya80
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14 nov. 2011 à 11:11
14 nov. 2011 à 11:11
Dans votre cas, la prise en charge est urgente.
Parlez-en à votre médecin traitant pour qu'il vous oriente vers un autre de ces confrères.
La confiance est la clé de la réussite, donc vous n'avez pas à hésiter, il s'agit de vous amener vers votre propre réussite.
Parlez-en à votre médecin traitant pour qu'il vous oriente vers un autre de ces confrères.
La confiance est la clé de la réussite, donc vous n'avez pas à hésiter, il s'agit de vous amener vers votre propre réussite.
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C'est un dialogue de sourd de toute évidence. Je vais donc formuler ca différement. Mon psychiatre m'a proposer un arrêt maladie. Stricto sensus sur un arrêt maladie il y a un code qui correspond a la maladie qui correspond a la maladie a l'origine de l'arrêt. Je le sais pour la bonne raison que ma meilleure amie a du en arriver a ces extrémités pour le savoir. Vous pensez que cette politique du silence et donc de faire avancer son patient a l'aveuglette répond a une quelconque forme d'éthique ?
begonie
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14 nov. 2011 à 12:01
14 nov. 2011 à 12:01
Bonjour desertdelarmes ( indigo ??? )
Je viens de relire les questions précédentes (sous pseudo indigo).
Tu as beaucoup de soucis avec les médecins (médecin généraliste et psychiatre) et avec ta famille aussi.
Discute demain avec ton psychiatre de tes problème actuels et exprime tes inquiétudes face à ton traitement ainsi que tes besoins de soutien.
Le plus confortable sera que tu écrits sur une feuille de papier tout ce qui te pose des problèmes, par priorité.
Changer pour changer de médecin n'est peut-être pas la meilleure solution.
En absence de données autour de ton histoire de vie, de ta naissance, etc. personne ne pourra te donner d'autres conseils que de t'encourager à suivre ceux de ton psychiatre et de ton médecin généraliste.
Ce sont des professionnels qui te connaissent et qui peuvent t'aider directement même si cela prend du temps.
Tu sais aussi qu'en cas de mal-être tu peux leur téléphoner.
Je viens de relire les questions précédentes (sous pseudo indigo).
Tu as beaucoup de soucis avec les médecins (médecin généraliste et psychiatre) et avec ta famille aussi.
Discute demain avec ton psychiatre de tes problème actuels et exprime tes inquiétudes face à ton traitement ainsi que tes besoins de soutien.
Le plus confortable sera que tu écrits sur une feuille de papier tout ce qui te pose des problèmes, par priorité.
Changer pour changer de médecin n'est peut-être pas la meilleure solution.
En absence de données autour de ton histoire de vie, de ta naissance, etc. personne ne pourra te donner d'autres conseils que de t'encourager à suivre ceux de ton psychiatre et de ton médecin généraliste.
Ce sont des professionnels qui te connaissent et qui peuvent t'aider directement même si cela prend du temps.
Tu sais aussi qu'en cas de mal-être tu peux leur téléphoner.
Bonjour Begonie
Je sais tout cela, mais je ne change pas de pseudo pour le plaisir mais surtout parce que faire étalage de cette mauvaise éducation n'est en rien flatteuse tu l'imagine.
De même que ça n'est pas comme si je tenais ce psychiatre dans une notion d'inconnu, ou de silence. Il sait tout de ma vie familiale dans les moindres détails (état psychologique de ma mère, antécédents familiaux) et de mon père. Mon quotidien est limpide maintenant je vais peut-être devoir faire une comparaison.
Vous avez des symptômes cliniques. Vous allez voir un médecin. Cette personne vous donnes des traitements (je suis passé du seroplex, a l'alprazolam, en passant par l'ixel, a l'abilify, puis par les bétablocants). Vous faites quoi a part avoir la sensation d'être un banc de test ?
Si en gardant l'exemple du médecin, la personne ne peut pas vous répondre (je pars du principe que cette personne est de bonne foi et franche) mais qu'elle vous donne des traitements, donc au final a l'aveuglette, traitement qui bien sur sont bourrés d'effets secondaires vous faites quoi ?
Malheureusement je ne m'envoie pas des smarties mais des médicaments lourds d'effets secondaires et si effectivement la maladie ciblée n'est pas la bonne les conséquences sont plus nocives qu'autre chose. Ce discours est-il plus approprié ?
Je sais tout cela, mais je ne change pas de pseudo pour le plaisir mais surtout parce que faire étalage de cette mauvaise éducation n'est en rien flatteuse tu l'imagine.
De même que ça n'est pas comme si je tenais ce psychiatre dans une notion d'inconnu, ou de silence. Il sait tout de ma vie familiale dans les moindres détails (état psychologique de ma mère, antécédents familiaux) et de mon père. Mon quotidien est limpide maintenant je vais peut-être devoir faire une comparaison.
Vous avez des symptômes cliniques. Vous allez voir un médecin. Cette personne vous donnes des traitements (je suis passé du seroplex, a l'alprazolam, en passant par l'ixel, a l'abilify, puis par les bétablocants). Vous faites quoi a part avoir la sensation d'être un banc de test ?
Si en gardant l'exemple du médecin, la personne ne peut pas vous répondre (je pars du principe que cette personne est de bonne foi et franche) mais qu'elle vous donne des traitements, donc au final a l'aveuglette, traitement qui bien sur sont bourrés d'effets secondaires vous faites quoi ?
Malheureusement je ne m'envoie pas des smarties mais des médicaments lourds d'effets secondaires et si effectivement la maladie ciblée n'est pas la bonne les conséquences sont plus nocives qu'autre chose. Ce discours est-il plus approprié ?
begonie
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14 nov. 2011 à 12:32
14 nov. 2011 à 12:32
" je ne change pas de pseudo pour le plaisir "
Ce n'était pas mon intention de reprocher le changement.
Mais comme tout est en lien, la dernière question n'était pas simple à comprendre.
Je t'encourage vivement d'en parler directement avec tes médecins.
Et d'expliquer demain tes problèmes d'effets secondaires, entre autres.
Ce n'était pas mon intention de reprocher le changement.
Mais comme tout est en lien, la dernière question n'était pas simple à comprendre.
Je t'encourage vivement d'en parler directement avec tes médecins.
Et d'expliquer demain tes problèmes d'effets secondaires, entre autres.
14 nov. 2011 à 17:16
14 nov. 2011 à 17:40
Je n'ai pas l'habitude de faire de l'humour sur ce site.