Suicide pour être libre de ceux censés aider

Salutation,
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Est-ce que en France (et ailleurs), la seule solution pour être entendu, c'est le suicide ?
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Stanley Milgram a démontré par l'expérience du même nom, que quoi qu'il arrive ou quelque soit la détresse affichée de la personne, le tortionnaire à divers degré je précise bien, sera incapable de s'arrêter car c'est son boulot de faire comme il fait.
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Un des aspects dramatiques de parler de mes problèmes est que, lors de cette phase de libération de la parole (de l'écrit en l'occurrence), je peux me discréditer gravement sur le plan social et professionnel (actuellement ou plus tard). Une fois cette phase passée, lorsque je me rendrais compte de la manière dont je me suis étalé, j'en serais sûrement accablé ; cela s'ajoutera à mon sentiment de dépression ou de détresse ; j'suis qu'une m*** ; j'arrive pas à resté accroché au cordon électrique ou au drap ; j'ai la trouille, je panique (ça fais peur quand on se sent partir comme une vielle télé que l'on éteint avec le point blanc au milieu) et j'enlève tout vite de la branche et je rentre chez moi quand je suis dehors.
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Dans ces moments, je sais qu'il est important que je ne sois pas seule (seule dans une foule) ; je veux surtout être soutenue massivement comme je l'ai vécu une fois, heu, 3 fois (rien à attendre des parents si il en reste une de vivante). Le désespoir n'est pas encore très intense (je supporte ...), le risque de suicide n'est pas très fort mais est présent ; je me dévalorise car je me juge nul, inutile et que l'on me le fait ressentir ; la situation actuelle c'est ma faute ; quoique tu fasses pour modifier ta situation, ça changera rien en pratique = tu es dans la m***, tu le restera, on fait tout pour (sans s'en rendre compte = principe de Milgram ; Expérience de Milgram).
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Merci, bonne journée ; dot.